(hot) un besoin de se retrouver après une énième dispute. (Kalence - 4)

Je ris à tes paroles. La réponse était évidente, mais j’avais envie que tu le dises, mais tu ne me donneras pas ce plaisir. Petit con ! Il faut croire que je n’arrive pas à te résister, car je ne cherche pas à te tirer les nerfs du nez. Tes jambes autour de moi, tu remontes ton bassin pour me donner un angle d’action plus qu’excitant. T’es vraiment trop désirable, putain ! Ma bouche s’amourache de la tienne de manière bien sensuelle. J’applique le gel sur mes doigts qui viennent effleurer la peau brûlante de tes fesses, s’immiscent naturellement en leur sein pour titiller cette partie sensible que je meurs d’envie de retrouver. Je caresse cet endroit, le détends dans des mouvements circulaires, des légers mouvements de va et vient avec le bout d’un de mes doigts. Je sens tes reins se détendre, ton corps savourer ce bien-être que ce lubrifiant engendre. Tu es en train de t’enflammer, je le vois bien et c’est exquis. Tu ne manques pas de m’en faire part, mais je compte rendre cette fournaise plus conséquente. Mes lèvres s’enivrent de ta nuque. Je la dévore avec appétit, tandis que je badigeonne ma menotte libre de ce liquide exaltant pour lubrifier ta virilité dans des mouvements qui te retourneront inévitablement les reins. « Je n’en doute pas, c’est la meilleure pour ça. »

Tu appliques la solution contre tes doigts pour titiller l'entrée de mon intimité, tu me fais savourer tes frôlements doux. C'est si agréable de sentir tes doigts, et mes reins être dévorés par la passion vorace que tu propages en moi. Je t'embrasse avant de poser ma tête tout contre l'oreiller pour profiter davantage, me laissant emporter par le plaisir. Je gémis doucement, au rythme de tes doigts gourmands. J'adore les sensations que tu me procures. "En effet ça enflamme les reins." Je te dis en souriant, m'accrochant à ton cou pour que nos lèvres viennent se dévorer de nouveau. Tu t'appliques également dans des coups de main contre ma virilité, c'est si agréable. Je ris à ta remarque et continue de gémir, sans relâche, les paupières presque closes tant le plaisir est fort.

Je me régale face à cette vision enchanteresse que tu m’offres. Je te trouve incroyablement désirable dans cette position si érotique. Tu laisses le plaisir grandir en toi, grignoter avec vigueur chaque parcelle de ta chair. Nos souffles se mêlent, nos lèvres se trouvent et ton odeur vient titiller mes narines avec la même violence que tes gémissements accroissent mon excitation. Mes doigts ne se lassent pas de te provoquer, titiller chaque point sensible. Mes actions se précisent comme mes ambitions. Mon corps a faim de toi et mes baisers deviennent de plus en plus brûlant contre tes lèvres, ta mâchoire, ta nuque. « Tu veux que je te prenne comment ? » Je te questionne en venant coller ma virilité brûlante de plaisir contre la tienne. Une manière de te montrer que je te désire intimement, mais je valide cette action par quelques mots. « J’ai envie de me fondre en toi. » Cela me brûle les entrailles avec violence. J’en meurs d’impatience.

Tu me caresses un peu le creux de mon intimité, tandis que je me donne déjà à toi dans une position suggestive. J'apprécie mais tu reprends rapidement ton côté bestial en voulant me baiser tout de suite. Je n'ai pas envie que ce soit comme ça avec toi, alors je pose une main contre ton torse. "Pourquoi tu es si pressé ? Continue..." Il a envie de sentir ses doigts au fond de lui, de l'impatienter, de jouer avec son excitation.

Cette chaleur brûle tellement mes reins qu’elle créée une frustration profonde que j’ai du mal à supporter. Il m’est tellement rare de préparer mes amants à mon intrusion, que je ne peux pas m’empêcher d’être insatisfait. Pourtant, mes doigts poursuivent leurs mouvements pour préparer tes reins à mon intrusion. Ma virilité est gorgée de plaisir, elle désire ardemment retrouver l’étroitesse de ton bassin, mais tu me repousse doucement, me poser une question. « Parce que je meurs d’envie de sentir tes reins contre ma queue. » Sans doute des paroles crues, mais qui reflète mes désirs et mes pensées. Je meurs d’envie de retrouver ton bassin et j’essaye d’activer ce désir en toi également en mordillant ton oreille, laissant mon souffle brûlant effleurer ta nuque, t’enivrer. Laisse-toi aller.

Tu as toujours été un grand impatient, même quand je t'ai rencontré. J'ai plusieurs fois dû te calmer, faire chasser ton empressement - rien que pour un cadeau que tu voulais déballer avant ton anniversaire ou Noël juste parce qu'il traînait sous tes yeux. Pas question de subir ta rapidité au pieu, parce que la luxure doit être lente, sensuelle, intense, entre nous deux. "Prends ton temps, je ne suis pas un vide couilles." Je m'exprime pour te faire comprendre mes intentions et désirs, avant de sourire contre ta bouche. Je plaisante seulement, je sais parfaitement que tu ne me considéreras jamais ainsi. Je m'écarte ensuite pour me positionner sur le flanc et tendre un peu mes fesses vers toi. "C'est mieux comme ça. C'est fatigant de lever les jambes." Je ris puis réclame : "Je veux tes doigts."

Je n’y peux rien. L’impatience me grignote avec rage. J’ai envie de me sentir au creux de tes reins, je cherche à te tenter, mais rien n’y fait, tu demeures intransigeant et use de mots crus, tout comme moi. Cela m’arrache tout de même un sourire alors que je murmure contre tes lèvres. « Tu ne l’es pas, ne le sera jamais, petit con. » Comme si tu pouvais en douter. Tu sais bien l’importance et le respect que je te porte, non ? Tu changes de position, semble déterminer à me tenter sans me donner satisfaction. Tu veux mes doigts et j’abdique, applique d’autant plus du gel sur mes doigts que j’immisce lentement au creux de tes fesses. C’est vraiment frustrant, mais j’en profite pour me coller à toi, ma virilité frôle la chair de tes fesses. Cela titille mon excitation et décroit la frustration qui me gagne. « Je n’y peux rien, si tu es sex et que tu me donnes faim. » Et je suis affamé à l’idée de retrouver ton bassin, l’envahir de ma chaleur. Mon cœur bat à tout rompre alors que je t’admire prendre ton pied sous l’agilité de mes doigts. Tu m’excites trop, bordel.

Tu m'écoutes attentivement, tu t'adonnes à la concrétisation de mes envies en me rassurant. Tu appliques du lubrifiant contre tes doigts et les insinue de nouveau au creux de mon intimité. C'est si délicieux, bon, agréable. Je me laisse complètement faire, emporter par l'excitation que tu déverses en moi avec autant de facilité. Je savoure et gémis, avant de me pencher vers l'arrière pour atteindre tes lèvres et les embrasser avec passion et affection. "Tu me donnes faim aussi... mets-en un autre. C'est trop bon."

Tu réclames mes lèvres que je te donne sans aucune gêne. Ma langue se lit à la tienne tandis que mes doigts continuent de faire leur loi au sein de tes reins. Je te sens fébrile, excité, brûlant face à ce désir qui te dévore, nous dévore avec rage. Je m’enflamme à ton contact. Ma menotte libre dépose une nouvelle dose de gel sur ma main et j’immisce une nouvelle phalange, cherchant à titiller ton point sensible. Tout ceci me donne cruellement chaud et tes paroles m’envoutent tellement, comme le rythme de ta respiration, tes soupirs de plaisir. C’est presque une torture et mon corps vient se coller plus intimement à toi, ma virilité glisse en dessous de tes fesses pour se frotter entre tes cuisses. Je ne contrôle pas mon action, je me laisse juste dévorer par l’ambition qui me gagne et brûle mes entrailles. Ma bouche quant à elle libère des gémissements tandis que je te mordille l’omoplate avec appétit.

Je sens ta virilité se coller à mes fesses, je sens ton excitation qui la gonfle volontiers de plaisir. C'est agréable de me presser contre toi, de sentir tes doigts faire des merveilles, s'agiter au rythme désiré. Tu en enfonces un troisième, et malgré une légère douleur au début, le plaisir revient pour chasser toutes traces de morosité. Ton autre main vient recouvrir mon sexe tendu, dans des coups adroits et fermes. Tout est jouissif, chacun de tes mouvements est précis et excitant. Alors mes lèvres laissent échapper plusieurs soupirs de plaisir intense. Je bande même comme un taureau sous le coup de ce fort désir qui s'abat sur moi, et pour mieux en profiter, je ferme les yeux et me laisse emporter. Je sens ton sexe venir frôler mes cuisses et c'est doublement excitant. Je gémis d'autant plus fort.