(hot) un besoin de se retrouver après une énième dispute. (Kalence - 4)

Tu es l’objet de mes désirs à cet instant. D’autant plus après ce baiser, que tu réitère en t’accrochant à mon cou. L’envie me consomme. J’ai envie de plus, alors je me perds dans ton baiser, y répond avec appétit. Je te bloque contre le plan de travail après avoir éteint le feu. Je me fais plus gourmand, presse mon bassin contre le tien. « J’aime bien la combine. Elle n’est pas déplaisante. » Je te déclare dans une voix charmeuse, car l’ambition de gouter de nouveau à tes formes me tente.

J'apprécie apercevoir autant l'envie te dévorer ; le désir est perceptible dans ton regard et tes mouvements. Il m'envahit aussi, en même temps difficile de ne pas être excité quand tu me fais des propositions alléchantes. Tu éteins la gazinière et tu me pousses contre le rebord de l'évier, me bloquant contre le meuble. Nos corps se retrouvent, se heurtent avec envie. "Oui. Elle fonctionne bien. Je ne risque de plus t'entendre dans deux minutes." Je te souris car je sais parfaitement ce que tu as en tête.

Je ne résiste pas au désir qui me gagne. Je te bloque contre le plan de travail pour savourer la chaleur de ton corps contre le mien. Je ne me lasse pas de cette sensation. Tes propos m’arrachent un sourire. « Cela t’arrange bien, je suis sûr. Tu as de toute façon la même envie. » Ma voix est chaude. Je suis sûr de mes propos. Je le sens dans la lueur de ton regard et c’est tout naturellement que ma main s’immisce dans ton boxer pour retrouver la chair tendue de ta virilité que je frôle. Je viens embrasser ta nuque dans des baisers chauds et humides, remonte jusqu’à ton oreille pour la mordiller avec envie. Je sens le plaisir qui te gagne en même temps que ta virilité se tend sous la pulpe de mes doigts. Tu m’excites.

Tu as raison, j'en ai autant envie que toi, c'est indéniable. J'ai envie que tu t'enfonces en moi, que tu parsèmes ma peau de caresses cupides, mais aussi que tu enflammes la peau comme tu as eu l'habitude de le faire. Tu embrasses mon cou et je frisonne, mon ventre se tord. Alors quand tu glisses ta main contre ma virilité et que tu mordilles mon oreille, l'excitation m'inonde fortement. Je ne peux pas m'empêcher de te le montrer en t'embrassant passionnément. "oui. Mais fais plus attention que la dernière fois." Je te laisse faire et gémis dans ton cou lorsque tu continues tes caresses.

C’est délicieux de te sentir sensible sous la caresse de mes doigts, de mes lèvres sur ta chair. Je savoure le feu incandescent que j’engendre au creux de tes reins, qui rend ta virilité si ferme et excitée sous mon emprise. L’excitation me gagne tout autant et tes propos m’arrache un sourire. Il est vrai que je n’ai pas été particulièrement tendre la dernière fois, bien trop excité pour contenir mon besoin de me fondre en toi. Pourtant, aujourd’hui, c’est différent. « Promis. » Je te murmure alors que mes lèvres glissent sur ta nuque, la parsème de son toucher brûlant et humide jusqu’au creux de ton oreille. Je te mordille l’oreille, redescend ma bouche contre ta clavicule. Je te sens à ma merci et c’est envoutant. Ma poigne s’est affermie, te procure des mouvements de va-et-vient, qui doivent tout autant t’enivrer. « Tu veux rester là ou aller dans la chambre, où il y a tout le nécessaire pour ? » Je questionne pour t’inciter à rejoindre la chambre, car je compte bien te dévorer quoi qu’il en soit. Mon corps a faim du tien.

Ta poigne contre ma virilité se fait ferme, tu tiens véritablement à m'exciter avec rapidité. Tu as faim de moi, cela se sent dans tes mouvements experts. J'apprécie te captiver, te rendre aussi désireux de dévorer mon corps. Je te fais confiance quand tu me promets d'être moins bestial que la première fois, je sais que tu t'adonneras à de la luxure douce durant notre prochain ébat. Je gémis dans ton cou, tout contre ta bouche. "Tu prendras soin de mon cul dans ton lit ?" Je ris pour répondre à ta proposition, toutefois profondément excité et chamboulé par l'extase qui m'attend. Je te tire par la main jusqu'à la chambre, je m'allonge puis te tire vers moi pour que tu prennes place au-dessus de moi. Je baisse ton boxer au milieu de tes fesses en parcourant le bas de ton dos de mes mains gourmandes et exploratrices.

Ta fébrilité a un effet tout particulier sur ma chair. Cela me plait cruellement de te caresser de la sorte, d’accroitre le feu qui taraude tes entrailles et t’incites à être tenter par la suite. J’aime entendre tes gémissements s’évanouir contre ma nuque, ton odeur envahir mes sens et ma proposition à s’adonner une étreinte plus intime se fait naturellement. Ta remarque m’arrache un rire franc. « Oui, tu vas prendre ton pied. Encore plus que la dernière fois. » Ma voix est chauve. Mon arrogance éclate, car je ne manque pas de confiance en moi dans ce domaine. Tu sembles sous le charme de mes propos, me tire vers la chambre où tu viens te laisser tomber sur le lit. Putain que t’es sexy. Je bande rien que par la vision que tu m’offres alors que je te rejoins. Je t’embrasse en plein bouche, cupide et désireux d’apprivoiser et dévorer tes formes. Je te défais de ton boxer avec sensualité pour laisser nos bassins se retrouver, nos virilités se frôler, ambitieuses et désireuses d’entrevoir ce que la suite les réserve. Je ne peux plus rester sage.

Je me laisse complètement faire entre tes doigts, même déshabiller simplement. Il n'y a pas de tabou entre nous, aucune gêne d'ailleurs. Tu m'as vu trente mille fois nu, alors je me laisse guider. Nos virilités se heurtent avec passion, on s'enivre si facilement. La passion me dévore tout le temps avec toi, c'est fou. "Tu as du lubrifiant ?" Je te demande en caressant ta mâchoire, après un baiser, car je veux faire ça bien. Tu me réponds en riant : "Oui dans ma table de nuit. Du lubrifiant aux multiples effets." Et je te vois te pencher en avant vers le meuble pour les attraper. "Dis-moi tout sur eux. " Je ris en t'embrassant. Je suis tellement bien avec toi, Kaleb. Si bien.

Notre complicité demeure intacte malgré l’intimité profonde que nous partageons. Je m’en délecte, satisfait d’entrevoir que tout ceci me semble naturel. Je ris à tes propos, un sourire orne mes lèvres. C’est si facile de se laisser aller à tes côtés que cela me trouble profondément. « Oui, dans ma table de nuit. Du lubrifiant aux multiples effets. » Je t’avoue avec cet air mutin qui me caractérise tant à tes côtés. Tu ris à ton tour, demande des informations que je te donne sur ces lubrifiants coquins. « Tu préfères lequel ? Celui qui va enflammer tes reins ou au contraire te donner une sensation de fraicheur exquises ? » Mon regard se fait inquisiteur alors que mon souffle se mêle au tiens. Je suis curieux d’entendre ta réponse.

Tout est naturel entre nous, même si notre relation amicale s'est intensifiée ces derniers jours. Alors tu me présentes simplement les lubrifiants en me les tendant et en me donnant leurs caractéristiques. Fraîcheur ou reins enflammés ? Tu le sais très bien mais tu t'assures de la réponse. « Tu es vraiment un coquin, j'ai pas tout ça chez moi ! Et tu sais très bien celui que je préfère. » Je te souris pour instaurer une véritable complicité entre nous et je t'embrasse. Puis je glisse mes jambes autour de toi pour te donner accès à mon intimité.