Hot - retrouvailles (loukaël)

Retrouver son homme lui insuffle une bonne dose d'énergie et d'amour au creux du cœur. Il se perd rapidement dans le fond de ses yeux, en scrutant son sourire merveilleux. Sa main attachée à la sienne, le blond écoute attentivement ses épisodes sur le psychologue qui semblent lui apporter un soutien bienfaiteur. « Culpabilité de quoi ? J'AI merdé. » Il insiste sur sa responsabilité car il est plus en tort que lui, mais Ismaël serait capable de se définir comme l'auteur de tous ces petits désagréments. S'il ne les avait pas enfoncés dans ce mensonge grotesque, alors peut-être que rien ne serait arrivé. Mais avec des si, on refait le monde... Il serre sa main plus activement lorsqu'il se noie de tristesse. Louka veut tout mettre derrière alors il ne commente pas, il préfère revenir sur des événements plus joyeux, comme ses balades avec Horian, leur cheval. « Merci à lui, il m'a sauvé la peau. » Il rit un instant avant de se laisser surprendre par les mots doux de son amant ainsi que le serveur qui pose les plats sur la table. « Je t'aime aussi. » Il prononce tout bas, ravi de le retrouver.
Quelques minutes s'écoulent, et les deux hommes se retrouvent chez lui. Après quelques échanges avec les beau-parents, ils se faufilent pour retrouver un semblant d'intimité dans sa chambre d'enfant, Ismaël porté comme une mariée à travers les escaliers. Ils se glissent dans le lit, Louka vêtu d'un simple boxer. Il hésite un instant, mais trop désireux de retrouver le contact de sa peau chaude, il avance vers lui pour se frotter à son corps allongé. Il pose une main sur sa hanche, qui glisse le long de sa peau, longeant parfois son ventre. Sa tête se place naturellement au creux de son cou, y déposant quelques baisers tendres au passage. Il a envie de lui mais il tait son désir. « Je crois que le pire c'est ton odeur. Je suis trop en manque à chaque fois. » Il le respire sans honte, s'imprégnant de sa saveur. S'il pouvait amener une chose avec lui, qui le suivrait lors des combats, ce serait son parfum.

J’avais sous-estimé le bonheur des retrouvailles. C’était bien plus fort que l’on ne se l’imagine, tellement fort que c’est est indescriptible. Je ne parviens pas à lâcher ta main, même pour manger ce qui ne facilite pas les choses. Mais je ne veux plus rester éloigné de toi, alors j’ai l’impression que si je te lâche, tu peux t’envoler. « Oui mais j’ai aussi ma part de responsabilité, on l’a tous les deux. » Et puis, je ne parlais pas que de ça. Mais aussi de tout ce qui s’est passé avant ça. Tout, depuis ce fameux mensonge. Bien sûr la culpabilité avait pris le pas sur ma vie, m’empêchant d’avancer, aussi bien dans ma convalescence que dans ma relation avec toi. Un peu comme si je roulais le frein à main serré. Je souris en sentant la pression de ta main sur la mienne, contact rassurant. Je bouge pour lier nos doigts ensemble. Nous ressortirons plus fort de tout cela, j’en suis convaincu. « Il est fort pour ça. » je commente en souriant. Ma déclaration sort sans réfléchir. Mais ça fait un bien fou. Surtout quand je remarque qu’instantanément tes trais s’adoucissent, que tu te détends. Je souris, comblé par tes mots. Je me penche et tire sur ta main pour que tu avances et que je te vole un baiser.
Le repas se passe dans d’excellentes conditions, et l’envie grimpe en moi à chaque minutes qui passent. Je sais que je ne suis pas encore prêt pour que l’on fasse l’amour, des images sont encore présentes. Mais je sais de quelle manière je peux te rassurer. Et, franchement, ça me donne très envie. Je me laisse porter par tes bras. Profitant de ce moment pour grignoter ta peau, avant de me déshabiller et de ne garder que mon boxer. Je veux sentir ta peau contre la mienne. Je caresse ton bras tendrement. Je souris « Tu peux en profiter de nouveau. Mais pas tout de suite. » Je te repousse sur le matelas, un sourire taquin accroché sur mes lèvres. J’aime voir ton regard ahuri, je hausse simplement les épaules gardant mon sourire. Glissant le long de ton corps comme je peux, à la force de mes bras, je dépose un baiser sur ton aine, laissant mes cheveux te chatouiller. Ma main glisse dans ton boxer, appréciant la chaleur qui s’y trouve, et surtout quand mes doigts entourent ton membre. Je me mords la lèvre inférieure alors que mes doigts s’activent autour de ton membre. De l’autre main je tire sur ton boxer pour libérer ton érection, m’arrachant un gémissent à cette vue excitante.

Les retrouvailles se passent avec bonne humeur, ils réussissent à mettre l'amertume et les remords de côté pour se concentrer sur l'autre. Ils se dévorent longuement des yeux, se touchent du bout des doigts, savourent le dîner aux chandelles sans se presser. Ils ont tout leur temps pour se retrouver, c'est pourquoi Louka prend son temps, profite de cette soirée qu'il lui accorde. Il est toutefois comblé lorsqu'ils se logent sous les couettes, leurs corps assemblés. Tout du moins, le temps de se réchauffer et de quelques secondes, puisqu'Ismaël se tourne pour le plaquer contre le matelas. A l'aide de ses bras posés aux extrémités de ses cuisses, son amant se déplace à ses côtés. Il l'observe faire, l'air surpris et décontenancé. Où est-ce qu'il veut en venir ? Ses doigts lui donnent rapidement une réponse, quand ils se faufilent contre son torse, ses aines, avant de glisser dans son boxer. Sa bouche dépose quant à elle un baiser au bas de son ventre, ce qui lui crée une brûlure au creux des tripes. C'est un de ses points sensibles et il ne résiste pas. Sa main s'active le long de son membre, qui se gonfle davantage à chacun de ses coups. Ses lèvres laissent glisser quelques gémissements, les soupirs de plaisir n'en finissent d'ailleurs plus. Il est trop excité si bien que son sexe se gonfle, et quand Ismaël le libère de la dernière couche de vêtement, il bondit et réclame d'autres caresses. Le brun ne cesse pas ses mouvements, au plus grand contentement de Louka. Sa tête se renverse sur le coussin, tandis que son corps en ébullition se tend légèrement vers sa main. C'est si bon qu'il grogne de plaisir, les paupières lourdes, mi-closes. « Tu es sûr que je ne peux pas en profiter tout de suite ? » Il a toutefois la force de demander avec un sourire sur les lèvres.

Le bonheur dépasse l’amertume de la trahison. Les retrouvailles sont essentielles à mon bonheur. Cette séparation a été douloureuse mais a eu au moins le mérite de prouver que l’on ne pouvait pas vivre l’un sans l’autre. Cette soirée est absolument parfaite, et même si encore quelques troubles se mettent entre nous, rien ne saurait briser le bonheur retrouvé entre nous. Ni même les cauchemars que je fais. J’aimerais retrouver cette complicité, même au lit, lors de nos étreintes passionnées, mais il va me falloir du temps avant que je te laisse de nouveau les clés de mon corps, totalement. Une fois dans notre, ou plutôt dans ma chambre, je ne peux que savourer notre rapprochement. Et surtout, te montrer que tu es à moi et rien qu’à moi. J’aime voir la surprise dans tes prunelles. Je souris malicieusement ravi de voir ta surprise dans tes yeux, et d’arriver surtout à te surprendre. Mes doigts vont à la rencontre de ton membre gonflé de désir. Je fais grimper la température alors que ma main s’active sur ton membre et que ma bouche dévore ta peau délicieuse. J’adore entendre ta réaction. Tes gémissement et soupirs sont absolument très agréable à entendre. Je laisse échapper un léger rire en voyant ta réaction alors que je termine de te dénuder. Je grignote ta peau par de légers mordillements descendant au creux de tes cuisses. Mes mains flattent tes cuisses musclées, ton corps que j’idolâtre tellement. Je savoure la moindre de tes réactions. Je redresse la tête et sourit avant de secouer la tête négativement. Je ne peux pas te laisser le pouvoir, pas encore. » Estime-toi heureux que je t’accorde ce plaisir buccal » je hausse un sourcil droit. J’aurais très bien pu te priver de tout contact. Je me rapproche, soufflant sur ton érection avant de la prendre, entièrement, en bouche, par pure gourmandise. Je lève les yeux pour scruter ta réaction.

Ismaël sait attiser son excitation avec facilité, être source de frustration aussi. Il sait manipuler son désir, même s'il est bien aidé par le manque considérable qui l'envahit. Louka est incapable de résister aux mains baladeuses qui découvrent son corps, le parsèment de douces caresses tentatrices. Son contact le captive, son regard le rend fébrile. Il ne pense pas à dominer, ni bouger, se laisse totalement emporter par le désir coincé au fond de ses tripes. Il se délecte de ses touchers, de sa main qui recouvre sa virilité pour la gonfler de plaisir dans des coups adroits, fermes. Le délice est cruel, si bien que Louka propose de poursuivre tout de même sur une pente plus vertigineuse. Ismaël ignore sans doute à quel point il peut avoir envie de lui ; combien il aimerait le dévorer, le retrouver, proclamer sa possession sur lui. Louka gémit, ses soupirs retentissant chaleureusement à travers la pièce. Il se laisse toutefois surprendre par la réponse de son amant, et l'action, le premier pas qu'il donne à leur relation. Il avance son visage vers son membre bien tendu par l'excitation, l'empoigne pour l'enfouir totalement au creux de ses lèvres. Son geste est gourmand, expert, sensuel, si bien que l'étonnement est vite remplacé par l'extase. Louka jouit fortement, ce contact humide lui ayant cruellement manqué. Il reste planté sur le matelas, la tête contre l'oreiller. Il est incapable de bouger, tant le plaisir se renforce au creux de ses reins, les embrasant pleinement dans un feu incandescent. Il soupire, gémit, plus ses coups de langue s'imposent contre son sexe bien durci. Il ne cesse de le contempler dans son action tentatrice, le trouvant véritablement sexy et irrésistible lorsqu'il s'adonne à ce préliminaire. « Je suis très heureux... » Il murmure dans un soupir de jouissance, puis il emmêle ses doigts dans ses cheveux longs pour le caresser, et le guider, l'accompagner, dans ses mouvements excitants. « J'ai envie de toi, bébé... » Les mots s'échappent de ses lèvres naturellement, il ne peut pas les contrôler. C'est plus fort que lui.

J’avais besoin de nous retrouver, presque sous tout les plans. En tout cas, un grand besoin de te rassurer, de ne plus sentir ton angoisse de me perdre. Parce que ça n’arrivera plus. J’ai vécu l’enfer loin de toi, je ne réitérerais pas cette expérience. Quel plaisir que de retrouver ta peau si douce et chaude, cette peau dont je raffole. J’apprécie encore plus le fait que tu te soumettes sans aucune hésitation. Alors que tu sais très bien que ce genre d’attention n’est pas vraiment ma tasse de thé. La fellation et moi on n’est pas vraiment amis. Même, et si tu l’ignores, j’ai appris sur le tas avec toi, tu sais très bien que je n’étais pas vraiment friand de t’offrir ce genres d’attention, je préférais te faire perdre la tête autrement. Mais parfois je me ‘forçais’ à t’offrir ce plaisir que tu appréciais tant. Et ce soir, tes gémissements, soupirs m’encourageaient. Je n’hésite pas longtemps avant de t’offrir ce plaisir. Je me dis que je te dois bien ce premier geste vers toi. Tu as non seulement assez attendu, mais en plus, j’avais décidé de te pardonner et donc, je ne pouvais pas continuer à t’en vouloir. Je ne te quitte pas du regard, je veux te voir réagir. Tu m’as tellement manqué, que je mets mon ressentiment de côté, pour te procurer le maximum de plaisir. Mes mains se plantent dans tes cuisses musclées. Tu exploses en moi, et je retiens une grimace de dégoût, mais j’avale, finalement ça ne me rebute pas autant que ça. Je garde ton membre gonflé en bouche, continuant de le couvrir d’attentions. Je me cale contre toi, alors que ma main droite cherche sa consœur pour que nos doigts se lient. Je te prends avec gourmandise et surtout avec tout l’amour. Je gémis, la bouche pleine de ton membre, alors que tes doigts s’emmêlent dans mes cheveux. Je souris alors que ma main gauche soulève ta jambe pour la poser au-dessus de mon épaule. Ma main glisse ensuite le long de ta cuisse avant de se glisser entre tes fesses, pour taquiner ton entrée de chair. Je veux te rendre fou, te faire perdre la tête.

Louka ne s'était pas attendu, ne l'avait même pas espéré - juste désiré au plus profond de ses tripes - à ce que les retrouvailles soient aussi gourmandes. Il ne pensait pas que son amant serait si cupide, qu'il frôlerait son sexe avec autant d'envie et d'appétit. Ses doigts et sa langue sont entêtés à l'idée de le faire jouir, gémir. Et Ismaël y parvient facilement, le blond parsemant le creux de sa bouche de tout son désir. Il voit son homme avaler, savourer, ce qui est encore plus étonnant que la fellation ensorcelante qu'il vient de lui accorder. Louka est celui qui entreprend en temps habituel, qui établit les préliminaires et envoie son chéri au septième ciel. Pourtant Ismaël semble vouloir rattraper le temps perdu d'une manière particulière, certainement symbolique, en dominant leur étreinte lascive. Il prend le dessus, contrôle, et a une emprise magnétique sur Louka. Il peut faire ce qu'il veut de lui, jusqu'à le rendre fragile et vacillant contre le matelas. Il y arrive lorsqu'il attrape sa jambe gauche pour la placer sur son épaule et rendre son intimité accessible ; afin de la titiller. Louka se contracte un instant sous le coup du désir et du manque, et il ne veut qu'une chose : qu'il s'introduise en lui pour enflammer davantage ses reins. Il n'en peut plus de courber le dos, de le réclamer ; de gémir aussi bruyamment. Il le veut. Tout entier. "Isma, j'peux plus là. Prends-moi si tu veux mais je te veux. Tout de suite." Son ton est brusque, direct. Son désir parle pour lui.

je n’avais pas prévu cela. Je n’avais pas imaginé que je serais tellement en manque, que mes craintes les plus profondes commenceraient à s’estomper. Et même de commencer à estomper certaines craintes non fondées. Je prenais un malin plaisir à savourer ton sexe avec gourmandise. Il ne faut pas longtemps pour que je t’emmène où je veux, pour mon plus grand plaisir. Et, étonnamment, j’avale, chose que je ne fais jamais. Mais ce n’est as aussi désagréable que je ne le pensais, même que je pourrais recommencer à l’avenir. Et je suis fier, au final, d’arriver à te donner autant de plaisir, à te rendre le plaisir que tu m’as toujours procuré, un juste retour des choses. Je voulais effacer toutes les traces que mon rival d’une nuit a pu laisser. Je voulais que tu ne penses qu’à moi. Et, apparemment c’est plutôt réussi.je souris, assez fier de moi. Mais je monte d’un cran alors que mes doigts viennent titiller ton entrée, afin de l’élargir, et surtout de te frustrer un peu plus. Parce qu’il est hors de question que j’aille plus loin. J’apprécie tes gémissements, je m’en repais même. Je relâche mon emprise buccale sur ton sexe, et mes doigts arrête de te chatouiller. Je prends appui sur tes bras pour me glisser au-dessus de toi. « mais tu crois vraiment que je vais t‘accorder ça mon amour ? Tu penses le mériter ? » Mes mains glissent le long de tes bras. « Et je suis fatigué. » Je souris avant de t’embrasser lascivement, bien conscient de te laisser frustrer.

La jouissance est à son comble lorsque Ismaël lui accorde des coups de langue précis, adroits, le long de sa virilité ; quand sa bouche la recouvre totalement. Le blond savoure, se délecte de ses caresses agréables, luxuriantes, qu'il lui accorde durant de bonnes minutes. C'est un cruel délice pour le militaire, qui se tord de plaisir, vacille complètement à son contact humide et enflammé. Louka n'a pas fini de gémir, de désirer son amoureux, car ce dernier décide de demeurer gourmand et coquin. Non seulement il avale le témoin de son excitation profonde, mais il se laisse emporter par le plaisir en titillant son intimité du bout de ses doigts, les insinuant avec délicatesse. Louka est au bord de l'orgasme, d'une autre explosion. Ses cris brusques et sa respiration saccadée résonne à travers la pièce, tandis qu'il s'accroche à ses cheveux pour tenter de calmer le feu incandescent qui brûle ses reins. Il le veut tout de suite. Mais Ismaël ne semble pas vouloir lui offrir ce qu'il réclame, l'interroge sur son mérite. En effet le blond ne croit pas pouvoir profiter de cette gourmandise alors qu'il a manqué de fidélité quelques jours auparavant. Il n'évoque pas cette vérité dont ils ont conscience tous les deux et tente la supplique. "Oh bébé... S'il te plaît... j'en meurs d'envie et toi aussi je suis sûr." Il le supplie, il ne peut pas attendre et se laisser envahir par la frustration. Ismaël relâche toute son emprise et remonte à l'aide de ses bras, s'installant contre lui. "Juste 30 secondes si tu es crevé... Je veux te sentir à un point." Il fait travailler ses abdominaux développés pour se redresser légèrement et embrasser ses lèvres, puis son cou, avant de mordiller le lobe de son oreille. "Tu en as envie..." Il essaye de l'inciter vers la voie de la luxure, s'aide en glissant sa main sous son boxer pour titiller sa virilité à son tour. C'est bon de le retrouver, lui et ses atouts.

Te retrouver physique et sensuellement est tout simplement magnifique. Surtout quand tu es aussi réceptif, c'est un plaisir cruel et absolument envoûtant. Plus tu te tends et plus je deviens gourmand. Tes cris emplissent la pièce pour mon plus grand plaisir. Me ainsi continuent de rire grimper le plaisir au point de te rendre totalement sous mon emprise. Mais tu me réclames au plus profond de toi. J'avoue que je me transforme en un véritable démon alors que tu me supplier ce qui fait battre mon petit coeur à toute vitesse. "Non j'en ai très envie mais pas ce soir. Prenons le temps de nous retrouver.." mais tu me prends en traître alors que tes mains entourent ma virilité m'arrachant un gémissement sonore. Je t'embrasse avec avidité.