Louka le trouve attendrissant dans sa manière d'excuser, et de rougir pour un fait peu important. Il n'a pourtant pas besoin de douter ou se laisser emporter par la morosité, surtout quand il agit de manière aussi charmante. Le blond lui adresse des sourires séduits, et aussi amusés, face à son désarroi. Il semble paniquer pour rien, se tracasser de l'avoir déçu ou frustré. Louka l'est mais il peut comprendre que cela ne soit pas de son goût de s'adonner à la luxure dans un box, surtout quand un cheval est témoin du moindre fait et geste. Il rit pour répondre à ses excuses, ne trouvant pas la peine de lui préciser que ce n'est pas grave. Il doit certainement le comprendre, vivement indiqué au fond de son regard amusé. "Je pourrais obtenir ce que je veux si je te trouve un lit alors ?" Il lui sourit avec taquinerie, toutefois accentué par une touche sérieuse. Il veut surtout savoir s'il se donne des excuses pour éviter ce moment ou si c'est vraiment un problème d'endroit. Il le titille un peu dans ses convictions, curieux de connaître ses tendances. "J'ai l'impression aussi. C'est un critère pour mériter ton affection ?" Il l'interroge, toujours en riant. Il aime le blaguer, le taquiner. Apercevoir un sourire se dessiner sur ses lèvres. Il le laisse se rhabiller puis se glisse à l'extérieur lorsqu'il attrape sa main dans la sienne. Il commence à marcher, lentement, savourant ce contact. Ses doigts viennent caresser le dos de sa main. "Un vrai petit couple." Il plaisante de nouveau, la tête tournée vers lui, un rire s'échappant de ses lèvres. "Un endroit te ferait plaisir ?" Il demande pour connaître ses envies et les concrétiser, de toute façon ils ont tout leur temps.