Première rencontre (Loukaël #2)

Je sens la tension sexuelle augmenter. Je suis totalement sous ton charme. Je ne te quitte pas du regard. Je souris à tes compliments, qui me font rougir, d’ailleurs. Je n’avais pas l’habitude de charmer, et surtout d’être charmé, généralement je coupais court à toute tentative de drague, mais là, c’est moi-même qui a initié ça. « Peut-être que la prochaine fois je mettrais des œillères. » je souris mais, au contraire, je ne te lâche pas du regard. Je souris même un peu plus. Je me rapproche de toi avant d’éclater de rire. « J’avoue, en plus je déteste enseigner, donc ça ne l’aurait pas fait je pense, je suis nul en matière de conseil. » Et en plus, je déteste travailler en groupe, je suis plutôt quelqu’un de solitaire. Je tolère de bosser avec l’équipe, mais heureusement ce n’est pas tous les jours. Et en plus, enseigner à des gosses, non merci. Enfin peut-être un jour je trouverais le déclencheur et que je trouverais ce plaisir çà enseigner, mais pas pour le moment. « Ca fait quand même long comme séparation. Ça ne doit pas être évident à gérer. Il faut vraiment faire ce métier par passion. » Je souris, j’étais content d’apprendre des choses sur toi. Et j’avais aussi envie que tu découvres ma vie, choses que je n’avais jamais eu envies avec tout ceux qui m’ont abordé. Mon cœur battait plus rapidement. Et puis, passait un peu de temps seul avec toi dans le box de mon cheval, c’était une sacrée bonne opportunité. Quand je regarde comment tu te comportes avec mon cheval, je ne peux qu’avoir le cœur qui bat la chamade. Et je n’hésite pas avant de t’embrasser, comme si c’était la finalité de cette rencontre. Mes bras viennent naturellement entourer tes épaules alors que nos lèvres se détachent pour t’admirer avec passion. Le souffle court, je souris ne te quittant pas d’un centimètre. Je gémis alors que tu reprends possession de mes lèvres, mais également de mon corps. Me retrouvant coincé, je frissonne alors que mes mains trouvent leur place dans tes cheveux ras. Ma langue trouve sa comparse avec avidité alors que ce baiser me transporte loin de la réalité.

Après une discussion intéressante sur leurs métiers, partagée entre rires et séduction, les deux hommes se dirigent dans le box de son cheval. Louka découvre l'animal, le caresse, l'apprivoise d'une manière satisfaisante, puisqu'il n'a pas de mouvement de recul. Il se tourne ensuite vers le dresseur, ravi de se tenir si proche de cette bête somptueuse, admirable pour ses compétences - toutefois des moindres lorsque le cavalier se révèle dissipé. Il se laisse surprendre par son baiser, à la fois doux et passionné, mais en tout cas savoureux et hypnotisant. C'est le premier pas qui sert au blond pour laisser sa réserve naturelle se volatiliser et prendre la situation en mains. Il étreint son corps contre une paroi, le bloquant de ses courbes sculptées et musclées par les multiples entraînements physiques institués par l'armée. Il n'échappera pas à son emprise, pas avant d'avoir abusé de son corps, de sa bouche, de ses yeux, de ses mains, et il espère, de son sexe, qui commence par ailleurs à gonfler au contact du sien. Leurs langues se frôlent tandis que la main de son partenaire se loge dans sa nuque. Sa proximité est captivante, appréciable, si bien qu'il décharge son désir et ses envies en relevant davantage son haut pour lui retirer. Il lui embrasse de nouveau le cou, le torse, les lèvres, pendant que ses doigts caressent son torse, l'extrémité de ses hanches, glissant le long de son corps. Sa bouche aussi pratique ce même parcours, dévorant la moindre parcelle de son corps, avant de terminer contre ses aines, qu'il titille du bout de sa langue, la tête relevée vers le haut pour le scruter sensuellement, les genoux posés au sol. Il retire le bouton de son jean en observant sa réaction, envieux de lui offrir une fellation.

Nous voilà seuls, bon pas tout à fait puisque Horian nous tient compagnie. Je trouve très touchant la façon dont tu l’abordes et surtout la manière dont tu prends le temps de l’approcher. Ça conquis mon cœur. je m’approche de toi, fasciné par ta personne. Je t’observe en me rapprochant de toi. Ton parfum envahit mes narines. C’est assez perturbant. Enfin j’ai l’impression d’être perturbé depuis que j’ai croisé ton regard semblable à la mer. Je n’avais jamais pris l’initiative d’embrasser quelqu’un, personne n’avait tout simplement réussi à être assez intéressant et intriguant pour cela. Mais je reste quand même assez timide dans mes gestes, me contentant de l’embrasser tendrement, de savourer tes lèvres douces. Je me retrouve bloqué contre la paroi du box et ton corps absolument délicieux. Mon cœur bat à cent mille à l’heure. J’ai l’impression de me trouver au milieu d’un volcan en ébullition tellement tout mes sens sont à l’affût. Je t’entoure de mes bras alors que tes mains se font bien plus baladeuses que les miennes, pour mon plus grand plaisir. Je ne pense pas à ce qui va arriver, et à ce que je n’ai jamais fait. Mais étrangement si je sens une certaine tension, elle ne m’effraie pas comme les autres fois, où d’autres hommes ont tenté leurs chances. Je t’aide à retirer ma chemise en déboutonnant les boutons. Je gémis alors que mes hanches vont à ton encontre. Je frissonne et je suis le parcours de tes lèvres comme hypnotisé. Je m’adosse à la paroi en expirant bruyamment. Je frissonne alors que tes lèvres frôlent mon aine. Mes mains se posent sur ton visage, le caressant sensuellement. J’attendais comme j’appréhendais ce moment, que je n’avais connu avec personne. Je hoche la tête, n’ayant pas envie de paraître idiot au vu de l’expérience dont tu fais preuve.

Louka apprécie l'intimité qui se crée naturellement entre eux, grâce à cet endroit notamment, à l'abri des regards curieux. Ils peuvent entreprendre les envies qui les submergent depuis qu'ils se sont rencontrés, se remettre à la bestialité qui les anime. Louka prend le temps de dompter l'animal avant le maître, mais son regard se dirige promptement vers le sien, le cherchant. Leurs bouches se dévorent rapidement, se cherchent avec passion. Louka ne peut pas contenir son excitation quand leurs corps s'assemblent, se heurtent avec sensualité. Le blond est vorace de son corps, de ses lèvres, de chaque parcelle de cet homme. Il se laisse enivrer par son odeur et le contact de sa chaleur, il se laisse même emballer sous le flot de désir qui s'abat sur lui. Alors ses mains déboutonnent sa chemise, et sa bouche ne tarde pas à découvrir sa chair enflammée, glissant de sa mâchoire jusqu'à ses aines. Il lui retire sa ceinture et relève la tête pour apercevoir une touche d'émotion positive ou négative qui lui indiquerait sa position sur ce qui lui trame dans la tête. Il a envie de lui, de lui accorder des préliminaires pour le combler de plaisir et activer son désir jusqu'à son comble. Alors quand Ismaël l'attrape par la nuque pour le caresser et l'observer d'un œil optimiste, toutefois inquiet, en hochant la tête, Louka se laisse d'autant plus submerger par cette envie profonde qui lui titille les tripes. Il fait ainsi glisser son pantalon le long de ses jambes, suivi de son boxer, puis entreprend quelques coups de main experts contre sa virilité pour la gonfler, la tendre davantage. Toujours à ses genoux, Louka le scrute sensuellement continuant de le caresser. Il le dévore même des yeux, lui lance des regards chauds, témoignant de l'excitation qui l'anime. Lorsque son sexe prend une taille imposante, son visage s'avance naturellement, le regard toujours ancré le sien. Ses lèvres se déposent contre ce bout de chair tendu, le laissant envahir le creux de sa bouche sans pudeur, l'enfonçant toujours plus profondément au fil des minutes. Sans le lâcher des yeux, trop curieux d'apercevoir et entendre ses réactions.

Depuis que j’ai posé le regard sur toi, tu me perturbes, et je sais que l’issue sera celle où on se liera ensemble. Je n’attends que ça d’ailleurs depuis que l’on est à l’écart du monde. Je ne peux pas totalement rejeter l’idée que tu puisses me repousser, même si j’ai peu de doutes, mais je peux très bien me tromper. Mais, heureusement ce n’est pas le cas. Je savoure cette découverte gourmande. Ces lèvres délicieuses sont absolument envoûtantes. J’ai le besoin vital de me coller à toi, mes bras ne veulent plus te lâcher, mes mains elles, découvrent ton corps avec une certaine avidité. J’ai l’impression d’être loin de la réalité, comme si je vivais un rêve éveillé. Je ne peux pas te lâcher des yeux, comme si tu pourrais t’envoler. J’ai du mal à réaliser que l’on s’embrasse au point d’en avoir le souffle coupé. Je me laisse emporter par ce désir fulgurent et je n’ai pas la force de t’arrêter. J’halète de plaisir, complètement hypnotisé par cette vision euphorisante. Je glisse mes mains à l’arrière de ta tête. Je ne réfléchis plus, sinon je sais que je t’arrêterais. Mais, peut-être que je dois me dérider un peu et arrêter de ne vivre que pour ma passion. Et te laisser entrer dans ma vie, en espérant que ça ne soit pas éphémère. Je grogne de plaisir alors que ta main se pose sur mon membre gorgé de plaisir. Je ferme les yeux tellement la sensation est étourdissante. J’ai l’impression d’avoir les jambes en coton. Heureusement tes bras me soutiennent. Une certaine peur s’insinue en moi, celle de ne pas être à ta hauteur. Je m’accroche à tes épaules. « oh mon dieu… » tu es vraiment doué. Enfin pour un novice comme moi. Je ne quitte pas tes yeux des miens. Je tremble de plaisir sous tes assauts, et c’est encore plus fébrile que je suis alors que tes lèvres s’approchent de plus en plus du fruit défendu. Mon regard se noircit de désir. Je ne contrôle plus rien. Mon souffle devient erratique. Et, sans contrôler, mes hanches avancent vers ta bouche. Mon regard brille et surtout ma respiration se fait de plus en plus bruyante. J’aime voir ce que tu es en train de me faire, même si je ne me sens pas capable d’aller plus loin, pas encore. Et si jamais après tu ne voulais plus me voir ? Si c’était juste qu’une fois ?

Louka savoure le membre tendu de son partenaire, de ses doigts puis de ses lèvres gourmandes. Il tente de le gonfler davantage de plaisir, mais surtout de le submerger de plaisir et désir pour une suite plus satisfaisante encore. Expérimenter la luxure au sein de ce box est une nouveauté pour le blond et il est impatient à l'idée de la connaître, de s'en délecter. Alors il s'applique dans des coups de langue contre ce bout de chair tentateur, se laissant même manipuler par son amant. Ce dernier avance son bassin contre son visage pour s'enfoncer en profondeur, et Louka ne peut s'empêcher d'en sourire, amusé par l'excitation profonde de ce Ismaël. Il semble coquin, en redemander, et il imagine que leur ébat ne sera que plus jouissif. Alors quand les gémissements s'échappent naturellement de ses lèvres, et que son sexe semble s'être bien gorgé de plaisir, Louka décide de se redresser pour s'accaparer ses lèvres avec passion. "Retourne-toi... Tu ne le regretteras pas. " Il sourit contre sa bouche, avant d'exercer une pression contre sa hanche pour l'inciter à pivoter. Il a fortement envie de se fondre en lui, à tel point qu'il dévore son cou en patientant.

Je ne sais plus où donner de la tête. Tout est trop bon, trop fort. Je m’accroche au mur, avant de revenir sur tes épaules, mais rien ne semble pouvoir tenir l’éruption qui a lieu en moi. Bordel, si j’avais su avant, je ne me serais pas retenu. J’ai l’impression que les barrières que je me suis mises tombent comme des mouches. Je laisse derrière moi cette crainte, pour profiter du moment présent et même me montrer audacieux, ce qui n’est pas du tout habituel chez moi. Mais c’est comme si tu façonnais un nouvel homme, là, en me prenant dans ce box, en me faisant ce que je n’avais jamais autorisé quelqu’un d’autre à faire. J’ai l’impression d’être au bord du précipice, que je peux sombrer d’un moment à l’autre, alors que mes gémissements se font de plus en plus fort. Mes doigts s’enfoncent dans ton tee-shirt. Je retrouve avec grand plaisir tes lèvres gourmandes, avec en plus mon goût mélangé au tien, et c’est absolument délicieux. Mais la panique grimpe en flèche. Je ne peux pas, pas maintenant, ce n’est pas comme cela que j’ai imaginé ma première fois. Je te repousse, mais pas trop, tu es trop envoûtant pour que je veuille que tu te sauves. « Non.. Pas comme ça… » Peut-être que si je fais durer le moment tu ne t’envoleras pas après la déception que je vais sûrement t’infliger.

Ismaël est un homme délicieux, aux courbes légèrement musclées mais fines. Le blond les savoure avec plaisir. Il s'applique dans des caresses cupides, partant à la découverte de ce corps jouissif. Il est agréable de le sentir contre la pulpe de ses doigts, de le goûter en glissant sa langue le long des parcelles de sa peau. Il profite de ce moment cruellement bon pour le faire gémir, s'enfoncer dans le plaisir avec lui. Il pousse quelques soupirs lui aussi, en toisant ses traits tirés par l'extase. Et quand il le sent au bord de l'explosion, Louka revient à la charge en se redressant et en l'embrassant. Le goût particulier qui imprégné sa bouche se mélange à celui gourmand et sucré des lèvres pulpeuses de son partenaire. Alors qu'il s'apprêtait à se rendre vers une voie plus explosive, passionnée, en lui proposant de se retourner, Ismaël semble se braquer et refuse d'agir de la sorte. Louka l'interroge du regard, se montre perplexe et un peu abusé par la situation. Il embrasse tendrement son cou pour essayer de l'apaiser. Il ne s'est encore jamais confronté à ce refus, qu'il espère provisoire. "Pourquoi ? Tu veux dire que tu préfères dominer ? Moi je m'en fiche. Suffit de me dire." Il commente sans trop savoir où se situe le problème. Il propose des alternatives, s'apparentant à des solutions, sans prendre conscience qu'il va certainement trop vite.

J’avoue savourer avec grand plaisir tes mains ensorcelante sur mon corps. Je soupire de plaisir mais aussi d’envie. Jamais personne n’avait réussi l’exploit de passer la barrière de mes vêtements me laissant vierges de tout attouchements sauf ceux de ma propre main. Mais c’était tellement plus jouissif que ce soit tes mains et surtout la vision totalement excitante de ta bouche autour de ma virilité. Malgré tout la crainte que tout ne dérape reste encore en surface, étourdie par le plaisir que tu me procures. Je retrouve avec passion tes lèvres dans un baiser ardent. Je savoure ton goût particulier qui me rend déjà dingue. J’ai la tête qui tourne sous la force du plaisir mais pour le moment je préfère prendre mon temps. Le stress que ça aille plus loin revient au galop. Je dois réfréner mon propre plaisir avant que je ne contrôle plus rien. Mais ton visage étonné me fait fondre. Je caresse ta joue avant de soupirer. Je ne veux pas aller plus loin mais je ne veux pas m’éloigner de toi. J’embrasse tendrement avant de nouer mes bras encore à moitié debraillé autour de ton cou. « on peut se contenter de ça pour le moment ? ça va juste un peu trop vite pour moi… » je tactile contre moi avant de fondre mon visage dans ton cou et profiter de ton odeur que je respire à plein poumons. J’espère que tu ne m’en voudras pas .

La désillusion ne tarde pas à intervenir dans leur étreinte lascive, qui augmente cruellement le désir du jeune homme. Celui d'Ismaël semble s'être éteint pour être remplacé par de la panique. Louka le remarque bien dans son regard quand il suggère de pimenter davantage leur échange, mais il semblerait que ça ne soit pas au goût du partenaire. Le blond tente alors de proposer d'autres alternatives pour obtenir sa luxure tant désirée, est même prêt à se laisser dominer. Ismaël refuse, déclare enfin que cela va trop vite pour lui. Louka peut comprendre mais il ne dissimule pas sa déception. "Euh oui bien sûr. Désolé je pensais que c'était ce que tu désirais." Il avait cru comprendre vu la manière dont il l'a aguiché et sauté dessus une fois dans le box. "Tu n'es pas du genre à coucher un peu partout hein ?" Il l'interroge en le laissant caresser sa joue, amusé de ce fait. Il lui plaît encore plus du fait de ne pas être aussi garçon facile. "On retourne un peu dehors ?" Il propose pour le détendre et ne pas se détacher de lui. Il veut continuer à être près de lui, à le connaître. Il s'approche qui n'a pas cessé de s'agiter, caresse son flanc puis au-dessus de son nez. "A la prochaine toi ! ... si ton maître le veut bien." Il se retourne vers Ismaël avec un sourire complice, lui lançant un message subliminal.