Rien de tel qu'un bon chocolat pour accompagner le café (ft Kaleena)

Invité

Comme tous les matins, je me lève avec l'odeur du café. Mais quelque chose me manquait et je ne savais pas encore quoi.

Alors direction la douche, une douche bien chaude prise en 5 minutes montre en main. Rapide me diriez vous, certes mais efficace et économique,c'est une habitude que j'ai prise à l'armée, il faut dire que 12 ans de service ça conditionne bien.

Une fois la douche prise, je me dirige vers mon armoire, je n'ai pas l'habitude de m'habiller en tenue civile, alors j'enfile un jean, un tee shirt blanc et une veste en cuir, c'est confortable et pratique à mettre.

Je pense que je dois quand même investir dans des tenues civiles car d'une je ne suis plus militaire et de deux, comme je vais diriger le commissariat , je serais en civil, je ne porterais l'uniforme que pour les visites chez le maire ou mes supérieurs.

Là, une idée me vint en tête, je sais ce qu'il me manque. Le seul accompagnement qui est digne du café est le chocolat.

Attention, je ne vous parle pas de la sucrerie que les gens appellent chocolat au lait ou du faux chocolat que certains appellent chocolat blanc.

Non moi je vous parle du seul et du vrai chocolat, le chocolat noir avec minimum 75% de cacao.

Alors direction Downtown je sais qu'il y a une chocolaterie . Je le sais car j'ai appris par coeur la carte de la ville.

Après 15 minute me voici devant une magnifique boutique, je peu sentir l'odeur des fèves de cacao en train de griller, ce qui est très bon signe.

Je pousse donc la porte et là une petite cloche tintinnabule.

- Bonjour,il y a quelqu'un, je voudrais du chocolat noir s'il vous plait.

Les odeurs sont tellement enivrantes que je n'ai pas remarqué la belle jeune femme qui vient vers moi.

Invité

Ce matin je m'étais levée très tôt pour me rendre à ma boutique et mettre en route les machines. Pas question de me retrouver en rupture de stock en plein milieu de journée. Et puis j'avais des commandes à faire livrer le jour même, alors je n'allais certainement pas prendre le risque de passer à côté de gros clients, tout ça parce que je n'avais pas envie de sortir de mon lit ce matin-là. Bref, après m'être préparée rapidement, j'avais filé à ma boutique et alors même que j'étais dans l'arrière-boutique, en train d'emballer certains de mes produits, pour plusieurs clients, j'avais entendu la tintement de la clochette situé au dessus de la porte d'entrée, se déclencher. Ni d'une, ni de deux, j'avais terminé de sceller le paquet dont j'étais en train de m'occuper quelques minutes plus tôt. Puis une fois ceci fait, j'avais pris la direction de la boutique pour aller à la rencontre de mon ou ma client(e). En l'occurrence, là, il s'agissait d'un client. Ce dernier demandant alors s'il y avait quelqu'un, j'avais répondu, en me précipitant derrière le présentoir :

- Voilà, voilà, j'arrive ! Alors qu'est-ce que je peux faire pour vous ?

Ce dernier m'ayant fait part du fait qu'il aurait aimé acheter du chocolat noir, j'avais esquissé un léger sourire avant de reprendre à mon tour la parole :

- Oui bien sûr. Mais il y a plusieurs sortes de chocolat noir, donc... regardez, ici vous avez du chocolat noir à 40%, 60%, vous en avez même à 99%... puis sinon il y en a aussi du noir avec une pointe de sel, des noix, etc. En bref, vous n'avez que l'embarras du choix ici...

Mon regard se posant sur le sien, j'avais par la suite ajouté en souriant :

- Mais, peut-être que goûter ceux-ci vous aiderait à faire votre choix, non ? Enfin, sauf si vous savez déjà ce que vous voulez comme chocolat, bien évidemment...

Invité

Je me demande comment j'avais fait pour ne pas venir avant. Car d'une cette jeune femme est vraiment magnifique et de plus elle vend du chocolat noir, mon chocolat préféré.

Elle venait de me dire une de mes phrases préférées, c'est à dire que je pouvais gouter au chocolat pour me faire une idée.

Même si mon physique ne le montre pas, j'adore le chocolat j'en mange des kilos. Après je m'entretiens, mais dieu sait que c'est bon le chocolat noir.

J'avais une idée sur les chocolats que je voulais , noir 75% 1 kilos, puis elle me dit qu'il y a des chocolats noirs aromatisés, mon coeur bondit presque hors de ma poitrine lorsque nos regards ce sont croisé.

- Heu du chocolat noir aromatisé, avec plaisir, je prendrais bien fleur de sel, puis piment et enfin éclats de pistaches si vous avez ? et aussi je voudrais savoir comment vous vous appelez et quel est votre numéro personnel mais ça je n'ose pas le lui demander.

-Et en ce qui concerne la dégustation, je vous laisse choisir pour moi.

-Ha oui j'oublie aussi , il me faut 10 kilos de chocolat noir 75%, mademoiselle.

-En tout cas vous êtes vraiment magnifique.Sans m'en rendre compte je venais de dire ça à haute et intelligible voix.

Invité

Après avoir énuméré tous les styles de chocolat noir que ce client pourrait trouver dans ma boutique, je lui avais demandé ce qu'il désirait comme chocolat, ce à quoi il m’avait répondu qu’il aimerait du chocolat aromatisé au piment et à la fleur de sel, avant de me demander ensuite si j’avais du chocolat noir avec des éclats de pistache. Acquiesçant alors d’un signe de tête, je lui avais donc répondu :

- Oui, j’en ai mais il se trouve dans la réserve.

Avant de sourire à nouveau en entendant ce dernier me demander de choisir pour lui, concernant la dégustation. Sortant alors trois sortes de chocolat noir, j’avais par la suite repris la parole :

- Alors, ici vous avez le chocolat noir avec des éclats de framboises, mon préféré. Ensuite il y a celui au caramel et beurre salé, puis enfin celui avec des éclats de fèves de cacao. Je ne sais pas par lequel vous voulez commencer ?

Ce dernier me disant ensuite qu’il lui fallait dix kilos de chocolat noir 75%, j’avais alors ajouté en riant :

- Combien ? Dix kilos ? Vous allez épuiser le stock de ma boutique avant même la moitié de la matinée. Je peux déjà vous donner cinq kilos, mais il va falloir que vous m’aidiez pour sortir les cinq kilos restants de la réserve alors, parce que moi je vais avoir du mal à tout porter d’un coup.

Puis alors même que j’allais ajouter, tout en préparant les premiers kilos de chocolat, ainsi que le chocolat fleur de sel et piment, que la première partie de sa commande était prête, le compliment de ce dernier m’avait complètement troublée, à tel point d’ailleurs, qu’en lui tendant le paquet de chocolat à la pointe de fleur de sel, j’avais failli faire tomber celui-ci, en le lâchant un peu trop tôt. Me mordant alors discrètement – ou pas – la lèvre inférieure, j’avais fini par reprendre la parole un peu gênée :

- M… Merci…

Pensée : * Quelle cruche ! Merci. C’est tout ce que tu trouves à dire à un mec qui te fait un compliment ? * Me mettant alors une claque mentalement, j’avais aussitôt ajouté :

- On devrait peut-être aller chercher le reste de votre commande dans la réserve, non ?

Invité

Elle est magnifique, mais pas seulement, elle a un je ne sais quoi dans le regard.
Je l'écoute avec toute l'attention possible, mais je ne sais pas pourquoi, là seule chose qui me vient en tête c'est
- mais embrasse là espèce de grand tas de muscles.

Elle dit le mot Framboises, je sais très bien que j'y suis légèrement allergique, mais ma bouche dit ceci

- Tout comme moi, j'adore aussi la framboise, je trouve le petit côté acide plutôt revigorant

-et nianiani moi aussi j'aime la framboise, mais qu'est ce que tu attends une invitation ? au pire elle te gifle , mais au moins tu sera fixé.

Je ne me reconnaissait plus, en fait je ne connaissait pas cet aspect de ma personnalité, mais pourquoi aujourd'hui a t il décidé de ce révéler.

10 kilos, j'avais dis 10 au lieu de 1, je ne pouvais plus faire machine arrière maintenant.

-Oui c'est ça 10 kilos, mais ne vous inquiétez pas je vais vous aidez c'est la moindre des choses.

Je la vis ce mordre la lèvre, elle devait être gênée par mon aspect et mon comportement gauche.
Il faut dire que je ne passe pas inaperçue du haut de mes 1m85 pour 114 kilos. Mais bon j'ai l'habitude, mais j'aurais tellement aimé avoir le courage.

- Oui je heu allons dans la réserve, ce sera plus simple.

- Toi tu ne vas nul part tu me laisses aux commandes.

Sans pouvoir me l'expliquer, je la saisis par la taille puis l'embrassa, je ne savais pas ce qu'il allait ce passer, mais la douceur de ses lèvres et la finesse de ses hanches valaient toutes les gifles du monde.

Invité

Lorsque mon client m’avait dit qu’il adorait tout comme moi le chocolat à la framboise, parce qu’il aimait bien le côté acide, plutôt revigorant de la framboise. Esquissant alors un léger sourire, je lui avais répondu :

- Moi c’est surtout le côté sucré et fruité qui me plait dans ce chocolat. Je trouve que la framboise adoucit le côté amer du chocolat noir.

Ce dernier m’ayant ensuite demandé dix kilos de chocolat noir à 75%, je n’avais pas pu m’empêcher de relever le nombre de kilos qu’il voulait, avant de lui dire que j’aurai certainement besoin d’aide, ce à quoi il m’avait alors dit qu’il allait m’aider sans problèmes.

- Très bien, alors c’est par ici… vous me suivez...

Puis, une fois arrivée dans la réserve, en compagnie de ce dernier, j’allais lui montrer de quels cartons il s’agissait, quand soudain ce dernier m’avait interrompu dans mon élan, en venant m’attirer contre lui, avant de m’embrasser. Surprise, sur le coup je n’avais pas réagi, puis une fois de retour à la réalité, je m’étais détachée de son étreinte et lui avait dit, en soutenant son regard :

- Houlà… c’était quoi ça ? Qu’est-ce que…

A ce moment-là, j’étais complètement perdue. Ce n’était pas mon genre d’embrasser un inconnu comme ça et encore moins sur mon lieu de travail. Portant ensuite mon pouce à la bouche, comme si j’allais ronger mon ongle, sans le ronger pour autant, j’avais fini par ajouter :

- Ca vous prend souvent d’embrasser des inconnues, comme ça, sur leur lieu de travail ?

Invité

Le temps était comme suspendu, je ne sais toujours pas ce qu'il ma prit de faire ça, normalement, je suis très timide.

Cette timidité je la dois à ma scolarité, que vous le croyez ou non, pour le peu de fois ou l'on me parlait, les élèves de l'établissement m'appelaient coton-tige. Je ne parlais à personne, je rasais les murs, en somme j'étais le souffre douleur de mon établissement.

la seule fille, enfin femme qui me parlait était madame Piatoré la gardienne et c'était uniquement pour me dire

-Mais enfin fais attention, tu vois bien que le sol est mouillé, déjà que tu arrives toujours en retard.

Mais comme tout élèves de mon âge j'étais amoureux d'une fille de ma classe, mais elle n'avait d'yeux que pour Brian Hotchkins le quaterback et capitaine des Wolfs, l'équipe de football US de notre établissement.

Alors à ce moment là je me sentait comme Brian, je me sentais fort, je me disais que rien ne pouvait m'arriver.

Ses lèvres avaient un gout légèrement acidulées, tout en étant très douces, j'aurais tant aimé que ce moment dure pour l'éternité.

Mais très vite elle me fit revenir à la raison, qu'avais je fais , comment avais je pu lui faire ça, j'ai fait passer mes envies, mon désir, avant de savoir si elle en avait envie.

-Heu non, je ne fais jamais, ça,je

C'est bon James je m'occupe de la suite

- Je le fais pour la première fois,car jamais je n'avais vu une jeune femme aussi belle et avec ce côté piquant telle que vous. Que ce soit votre regard, votre sourire ou la douceur de vos lèvres, je n'ai pas pu resister à cette envie de vous enlacer et de vous embrasser.

Maintenant, il ne me reste plus qu'a attendre sa réaction, quoi qu'il arrive je vais l'accepter, mais que ce baiser était bon.

Invité

Jamais en me levant ce matin-là, je n’aurai pensé me retrouver dans cette posture à un moment de ma journée. Que l’un de mes clients viennent m’aider à porter des cartons, ça ce n’était pas nouveau. Il m’arrivait parfois d’avoir besoin de leur demander de l’aide parce que les cartons des commandes étaient bien trop lourd, mais que l’un d’eux viennent m’embrasser, comme ça, en plein milieu de la réserve, alors même que l’on ne se connaissait pas, c’était bien une première. Non pas que je n’avais pas apprécié cela. Cela fait toujours plaisir de se sentir « admirée » si on peut dire, mais quand même… après tout j’aurai pu être déjà mariée ou ne serait-ce qu’en couple, ça ne lui avait pas traversé l’esprit ça ? Alors, après m’être détachée de son étreinte, je n’avais pas pu m’empêcher de lui demander s’il faisait souvent ça : embrasser des inconnus sur leur lieu de travail. Ce dernier m’avait alors répondu que non. Que ce n’était pas une habitude, mais bien la première fois qu’il agissait ainsi. Secouant alors la tête de gauche à droite, j’avais fini par reprendre la parole après avoir entendu ses explications :

- Non, mais vous imaginiez si j’étais en couple ou mariée ? Les dégâts que vous auriez pu causer si mon petit ami avait débarqué dans la boutique, par hasard ?

Passant ensuite une main dans mes cheveux, j’avais balayé la réserve du regard et après m’être appuyé contre une pile de cartons remplis à ras bord – vaut mieux, manquerait plus qu’elle se casse la figure dans les cartons et se retrouve coincée dedans - j’avais repris, en souriant :

- Enfin heureusement pour vous je n’ai personne dans ma vie et personne non plus pour me rappeler à l’ordre vu que je suis ma propre patronne.

Ok, voilà que maintenant je me confiais sur ma vie privée à quelqu’un que je ne connaissais pas, ça aussi c’était nouveau. Décidément, il y avait plein de choses que je ne contrôlais pas aujourd’hui. Jouant par la suite avec l’une de mes mèches de cheveux, signe que j’étais plutôt nerveuse, j’avais fini par ajouter :

- Et puis qu’est-ce qui me dit que vous dites la vérité et que vous ne faites pas le même coup à toutes les « jolies » qui passent devant vous ? Après tout je ne vous connais pas et je ne sais rien de vous.

Invité

Pourquoi , voila pourquoi j'ai fais ça, je n'ai pas pensé aux conséquences sur sa vie.
Je ne suis qu'un idiot, je commence à croire que les autres avaient raison de ne jamais me parler.

J'aurais pu détruire sa vie, ça je ne me le serais jamais pardonné.Mais elle est si belle, si attirante
que je n'ai pu m'en empêcher.

La seule chose qui me soulage c'est que je n'ai pas détruit sa vie. Mais qu'une jeune femme comme elle, soit seule, cela me rend triste.

Elle a tout pour elle, du charisme, de la personnalité, elle est indépendante et pour ne rien gâcher, elle est plus que sublime.

-Je sais que je n'aurais pas dû, je n'ai pas réfléchis aux conséquences de mon actes, pardonnez moi.

-Mais qu'une jeune femme telle que vous soit seule, ça me rend triste, car vous méritez de partager votre vie avec quelqu'un

-Et non je ne fais pas ça à toutes les femmes que je croise, d'une car aucune n'est si belle que vois et de deux vous êtes la deuxième femme que j'embrasse en 12 ans.

je n'allait pas lui mentir, je n'ai jamais eu de succès avec les femmes, car je n'ai jamais eu confiance en moi, j'ai beau être tout en muscles, je suis loin d'avoir l'assurance nécessaire avec les femmes.
la première fois que j'ai embrassé une femme j'avais 25 ans et cette relation n'a durée qu'un soir le lendemain matin elle me disait qu'elle ne voulait pas allé plus loin, qu'un coup d'un soir lui suffisait.

Je l'avait rencontré en boite de nuit, d'habitude je n'y vais jamais, mais mon escadron a voulut que tout le monde parte en boite. Elle est venue me parler car elle trouvait ça drôle qu'un grand gaillard comme moi demande un verre de lait comme boisson dans une boite de nuit, on c'est vite bien entendus et on est allé chez moi, après avoir passé la nuit ensemble, elle décida que c'était fini entre nous.

-Je comprend si vous portez plainte et si vous demandez une procédure d'eloignement, mais ce que je peu vous dire c'est que j'ai adoré ce baiser voler. En tout les cas soyez heureuse car vous le méritez .

-Je m'appelle James Allford je suis officier de police, comme ça vous savez ou vous adressez pour porter plainte.

Je commence à me retourner pour sortir de la réserve et rentrer chez moi

Invité

Heureusement pour moi j’étais encore célibataire. Parce que je n’ose même pas imaginer ce qui se serait passé si mon petit ami était entré dans la chocolaterie au moment où le jeune homme était en train de m’embrasser. Après avoir fait part de cette éventualité au jeune homme, tout en lui précisant néanmoins par la suite que je n’avais personne dans ma vie, ce dernier m’avait répondu qu’il était désolé d’avoir agi ainsi et qu’il ne comprenait pas que je sois encore célibataire, avant de me dire qu’il n’avait jamais osé faire cela avant et qu’en prime il n’avait embrassé que deux femmes dans sa vie, y compris moi. Soutenant alors son regard, j’avais fini par lui dire :

- Je ne sais pas pourquoi je suis toujours célibataire… sans doute que je n’ai pas encore trouvé le bon…

A ce jour, je ne suis encore jamais tombée amoureuse. Oh j’ai bien eu quelques petites aventures mais rien de bien sérieux et jamais je n’ai réussi à m’attacher aux hommes qui ont partagé ma vie jusque-là. Pourquoi cela ? Je ne sais pas, c’est comme ça. Perdue dans mes pensées, essayant de comprendre pourquoi je n’avais encore jamais aimé un homme comme ma mère et mon père s’était aimé avant qu’elle ne décède, j’avais été tirée de mes pensées quand le jeune homme m’avait dit que je pouvais porter plainte contre lui et demander une mesure d’éloignement contre lui, j’allais reprendre la parole, quand ce dernier m’avait informé qu’il était policier et donné son nom. Sur le coup, je ne savais plus quoi dire. Est-ce que j’allais porter plainte contre lui parce qu’il m’avait embrassé ? Non pas du tout. Après tout, ce n’était qu’un baiser. James prenant ensuite la direction de la sortie, je l’avais alors stoppé net dans son élan, tout en posant une main sur son bras et reprenant la parole :

- Non ne partez pas ! Je ne porterai pas plainte contre vous de toutes manières. Après tout ce n’est qu’un baiser. Ce n’est pas comme si vous m’aviez… enfin vous comprenez. Et puis…

Baissant la tête l’espace de quelques secondes, silencieuse… j’avais fini par reprendre la parole, sans pour autant relever la tête :

- Je… si j’ai réagi comme ça c’est parce que… parce que je n’ai jamais vécu un truc du genre auparavant… je… croyez-le ou non mais je n’ai jamais eu de relations sérieuses avec un homme… je ne saurai pas expliqué pourquoi, peut-être que j’ai peur de m’attacher et de souffrir ensuite…

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