Zorro est arrivé-é-é-é... sans se presser-er-er-er xD / Carter

Invité

Quelle journée de merde ! Non seulement j’avais dû venir bosser car l’un de mes collègues était malade, mais en prime, il fallait que ce jour-là, un bus se renverse sur la voie public et fasse plusieurs victimes… Heureusement, j’adore mon métier, alors même si l’idée de devoir opérer toutes la matinée, sans réellement avoir de pause me dérangeait un peu, je n’allais certainement pas céder ma place à quelqu’un d’autre. Un, trois, cinq, dix patients plus tard, j’avais enfin terminé. Si deux d’entre elles n’avaient pas survécu, malgré tous nos efforts, les huit autres victimes, elles, elles étaient toutes en réanimation et sauvées. Vite un café ! Si je voulais pouvoir tenir debout pour le reste de ma garde, il fallait que je me prenne un café. Seulement je ne sais pas pourquoi, plutôt que de prendre celui-ci en salle de repos, j’avais été le prendre au distributeur qui se trouvait à l’accueil des urgences, après avoir déposé un dossier à la secrétaire médicale qui s’y trouvait. Grosse erreur. Si j’avais été prendre mon café en salle de repos, je n’aurai sans doute pas eu à avoir à faire au père d’une des victimes de l’accident, que je n’avais pas réussi à sauver, malgré tous mes efforts et j’aurai pu profiter de ma boisson tranquillement. L’homme faisait une tête de plus que moi, mais il ne m’impressionnait pas pour autant et c’est pourquoi je lui avais répondu que j’avais tout fait pour sauver sa fille et que bien qu’il pense le contraire, le décès de mes patients me touchaient toujours particulièrement. Ce dernier refusant alors d’entendre mes dires s’étaient approchés de moi, en colère, quand soudain…

@Carter Miller

Invité

La journée n’a pas été facile. Lorsque des catastrophes comme un bus renversé sur la voie public arrivent, les pompiers sont très sollicités. Heureusement, j’aime mon métier ! Je portais mon uniforme noir. Avec ses bottes et cette chaleur qui annonce l’arrivée du printemps, la cadence était difficile à tenir. Cela devait être au moins la dixième fois que je franchissais la porte de cet hôpital et chaque fois que je venais, je voyais cette magnifique femme. Grande, élégante avec une chevelure magnifique. Avec les potes de la caserne, on rigolait sur les hôpitaux. C’était l’endroit idéal pour rencontrer des coups d’un soir.

Je n’arrivais pas à décrocher mon regard de cette femme qui visiblement était médecin. Hmm je n’ai jamais eu de conquête ayant fait autant d’années d’études. En voilà un joli défi. Je la voyais discuter avec une personne quand soudain .. trop énervé à mon gout, il s’approcha un peu trop près d’elle. M’interposer me semblait alors nécessaire.

Il y a un problème mademoiselle ?

Invité

Qu’est-ce qui m’avait pris d’aller me prendre un café au distributeur situé près de l’accueil, alors que je savais très bien que, venant de perdre un de mes patients, la famille de celui-ci se trouverait forcément dans les parages et n’aurait certainement pas que de bonnes intentions à mon égard. Je ne savais vraiment pas où j’avais la tête en venant ici, franchement. Sans doute le contrecoup de la non réussite de cette opération. Bref, alors même que j’allais me rendre en salle de repos, voilà que le père du patient que je venais de perdre était venu à ma rencontre et alors même que celui-ci, furieux, était en train de s’emporter contre moi, je l’avais stoppé net en lui disant que j’avais fait tout mon possible pour sauver son fils, mais que malheureusement celui-ci était condamné avant même d’arriver en chirurgie. Mais bon, comme je m’y attendais, ce dernier ne m’avait pas cru et plutôt que de se raisonner, le voilà qui avait haussé le ton à nouveau, contre moi et qui s’approchait de moi dangereusement. Ok. Là c’était le moment où je devais appeler la sécurité, non ? Ah non. Pas besoin en fait. Quelqu’un s’était chargé de faire leur travail à leur place. En fait il avait juste suffit que le jeune homme me demande si tout allait bien, pour que l’homme recule de quelques pas et se calme. Surprise par l’intervention du jeune pompier, j’avais par la suite esquissé un léger sourire, avant de lui répondre :

- Et bien maintenant on peut dire que oui. Merci d’être intervenu en tout cas. Vous avez été plus rapide que la sécurité, heureusement… à croire qu’ils ne servent pas à grand-chose dans cet hosto. Dites, ça vous prend souvent de voler au secours des demoiselles en détresse ?

Invité

Un bus renversé sur la voie public faisait toujours beaucoup de dégât et donc beaucoup de travail pour les pompiers. C’est avec des journées comme celles-ci, que des personnes comme moi se sentaient véritablement utile. Sauver des vies est très gratifiant.
Lorsque je me rendis à l’hôpital pour une énième fois, je vis une jeune femme, probablement médecin se faire harceler par un visiteur. Pour quelle raison ? Je ne sais pas mais je ne pouvais pas laisser cette magnifiquement demoiselle se faire agresser. C’est sans réfléchir que je m’étais interposé entre eux ce qui avait fait fuir l’homme. Sans broncher il s’en alla vers la sortie.

La jeune femme me remercia d’être intervenu. Elle semblait très soulagée et surtout elle était d’une beauté à couper le souffle. Seulement si les demoiselles sont aussi jolies. Je lui adresse mon sourire charmeur avant de lui demander. Vous allez bien ? J’espère qu’il ne vous a pas fait de mal. En situation de crise, certaines personnes ne savant pas faire face à la pression et ils peuvent devenir violent même si ce n’est pas dans leur nature.

Invité

- Ça va, je vais bien. J'ai juste un peu de mal à m'habituer à ce genre de réaction, mais bon je comprends pourquoi il a réagit comme ça et j'espère vraiment qu'il arrivera à se remettre de ce drame.

Je détestais ça. Ne pas réussir à sauver mes patients. Enfin, en même temps, quel médecin aime ça ? Si on fait ce métier, en général c'est pour sauver la vie des gens, non ? Ou alors, c'est pour l'argent, mais bon ces personnes-là, contrairement à ce que l'on pourrait croire, elles se font rare de nos jours. Le père de la défunte jeune femme étant partie, en furie, retrouver sa femme et leur dernière fille, dans la salle d'attente, j'avais reporté mon attention sur le jeune pompier et esquisser un léger sourire en entendant sa phrase. A l'entendre, on avait l'impression qu'il s'adressait à une victime à qui il était venu porter secours. Secouant par la suite la tête de gauche à droite, j'avais fini par reprendre la parole, une fois qu'il eut terminé de parler :

- A qui le dites-vous ! Ce n'est pas la première fois qu'une chose comme ça m'arrive et ça ne sera sans doute pas la dernière, malheureusement. Enfin bref, est-ce que je peux vous payer un café pour vous remercier d'être intervenu ou bien alors vous avez d'autres demoiselles en détresse à aller sauver encore ?

» you're a pain in the ass / carter
» Une petite fée joyeuse arrive parmis vous
» Lelie ◘ Un danseur danse quoiqu'il lui arrive !
» les terreurs Miller - carter & wren
» je ne peux pas vivre sans toi. (stan - 10)