une expérience atypique (kaleb #2)

Nous n'avons même pas eu le temps de découvrir la grande maison excentrée puisque un beau gosse vient à notre rencontre. On l'observe de haut en bas, de cette manière bestiale et sensuelle, avant de s'échanger un regard complice pour donner notre accord. Ce mec te plaît bien et à moi aussi. On le laisse nous retirer les manteaux chacun son tour, au milieu de nous deux, nous on se tient face à face. Je te souris et on s'occupe de lui, toujours debouts, commençant à caresser son dos pour ma part, torse pour toi, tous dénudés, du joli monsieur chaleureux. Il vient t'embrasser, dévorer ton cou, moi je contemple et je lui retire le boxer qui le séparait de la nudité.

J’étais impatient de retrouver cette soirée en ta compagnie. Il faut dire qu’il n’y a pas meilleur partenaire pour échanger sur les expériences luxuriantes que ces soirées nous procurent. A peine arrivée, un bel homme s’approche de nous. On le sonde du regard, apprécie les formes qu’il expose sans pudeur : des muscles fins et sculptés, un petit cul rebondi, une bouche qui semble gourmande. Il n’y a aucune raison de dire non et on échange ce regard typique qui signifie à l’autre qu’on a trouvé notre première victime. D’ailleurs, il ne se fait pas prier pour se rapprocher de nous pour retirer nos manteaux. On le laisse faire. Pas besoin de parler, on est juste là pour savourer l’excitation qui grimpera en nous et nous fera planer. On le regarde faire, vient parfois chercher ton regard. Simplement vêtu d’une chemise et d’un pantalon cintré, je le laisse s’approcher de moi, s’épandre de mes lèvres. Je le regarde faire en venant frôler du bout de mes doigts son torse qui m’attire. Le baiser se fait moins innocent et je le laisse poursuivre sa course dans mon cou. Je me mordille la lèvre. C’est un point qui me titille particulièrement tandis que cet homme défait les boutons de ma chemise et que tu nous délivre du dernier rempart qui nous séparait de la vision de son corps nu. La vue est appréciable. Je vois tes doigts savourer le contact avec sa peau, tandis que les miens glissent toujours sur la peau de son torse. Nos doigts se frôlent pour se séparer immédiatement. Une sensation étrange m’envahit alors qu’il retire mon pantalon, le fait glisser à mes pieds en se serrant contre moi. Son torse contre le mien. « Tu devrais t’occuper de lui aussi. » Je lui ordonne simplement alors qu’il retire mon boxer à son tour. J’ai envie de voir ton corps nu ; même si je l’ai vu hier soir, même s’il a dormi collé au mien durant toute la nuit, mais là, c’est différent. Alors en bon soumis qu’il est, il me sourit de son regard gourmand pour venir s’accaparer ta bouche, réaliser la même chose sur ton corps qui se dénude, tandis que mon bassin se colle déjà au sien. Ma virilité entre ses fesses, je laisse mes sens s’enivrer de cette douce chaleur qui embrase mes reins. La nuit va être succulente.

Notre partenaire s'occupe principalement toi mais je ne m'en formalise pas. Chacun son tour, et puis la vision dénudée de ton corps m'impatiente. Je lui embrasse les épaules, caresse ses hanches et l'observe frôler tes muscles. Vous êtes carrément sexys à vous caresser tous les deux. Mais tu lui ordonnes de me donner de l'attention et il se retourne pour me déshabiller. Je t'adresser un sourire, amusé par la situation. Et quand il commence à embrasser mes pectoraux, je gémis doucement, l'excitation m'envahissant. J'attrape le mec par la nuque pour le pousser vers le bas, l'attirer contre ma virilité. Il retire mon jean et s'applique dans une fellation qui me traverse d'extase. Je viens chercher ton contact pendant ce temps, accrochant ma main à ta taille pour t'approcher près de moi, sentir ta proximité.

Il suit mes ordres, se tourne vers toi pour te prodiguer les mêmes attentions qu’il m’a honorer. Je vous observe faire, ma virilité collée à son bassin, titillée par la vision qui s’offre à mes yeux. Ton corps se dénude à son tour et la gourmandise de notre partenaire s’accroit. Il glisse ses lèvres contre tes pectoraux et le son que tu émets à un effet grisant. Tu l’invites impatiemment à rejoindre ta virilité. Tu me prives de cette chaleur exaltante qui embrasse ma chair. Mon souffle se fait plus faible, mes yeux savourent la vision de ton corps nu qui s’offre à moi. Notre partenaire à tes pieds, je le vois honorer ta virilité de sa langue, de sa bouche avant que mon regard ne vienne chercher le tien lorsque je sens ta main s’accrocher à ma hanche. Un contact habituel et à la fois si déroutant tant les circonstances sont différentes. Je meurs d’envie de te toucher, t’embrasser, mais une nervosité s’infiltre sournoisement dans mes veines. Je sens que cette hésitation est commune tandis que nos souffles se mêlent. Un rire s’échappe de mes lèvres. « Regarde-nous, on est nerveux comme deux gosses. » Je déclare dans un sourire amusé. « Pourtant ce n’est que toi, petit con ! » J’ajoute en venant effleurer la chair de tes cuisses. Je n’ose pas prendre une emprise plus puissante. Du moins, pas encore, comme si j’hésitais à franchir cette frontière, cette limite par crainte que les choses changent. Ce qui est sans doute le cas.

Notre partenaire se soumet naturellement et se laisse guider par nos mouvements autoritaires. Rapidement nus, séparés par cet homme à mes pieds, on s'observe avec sensualité. Je cherche immanquablement ton contact, il me rassure. Je déteste t'avoir si proche et te sentir si loin, alors je t'attire près de moi pour sentir ton souffle parcourir mes lèvres. Le désir qui émane de tes regards me chamboulent, attisent ma curiosité de te toucher, de te goûter. Ma main frôle tes pectoraux pendant que notre homme fait son affaire en glissant sa langue contre ma virilité. "Parle pour toi, moi je ne me suis jamais senti aussi bien." C'est plaisant de savourer la luxure à tes côtés, de dominer un gars en ta compagnie. Notre complicité ne sera que plus forte grâce à cette expérience atypique. Je ne me sens pas nerveux, juste troublé par ton regard clair si pénétrant car tu te laisses dévorer par l'excitation. Tu en deviens bestial, intense... j'aurais presque envie que tu te fondes en moi quand tu as ces yeux-là. "Prends-le." Je t'invite à te décharger en lui, surtout parce que j'ai profondément envie de te voir à l'action. Pour que tu puisses te donner à des coups de reins, je m'abaisse au sol, les genoux posés à terre, guidant l'homme qui se penche et offre une vue sur son fessier tendu vers toi. Tu nous rejoins alors à terre, et mes doigts rejoignent ton bras pour s'accrocher à toi... Et mon regard retrouve le tien, plongeant dedans.

Cette proximité entre nos deux chairs est troublante. Tu es naturellement beau, mais à cet instant ton charme devient particulièrement érotique, tentateur et dangereux. Cela me donne envie de te toucher, te caresser pour accroitre la lueur dans ton regard. Cela me rend nerveux, mais tu te joues de moi en m’avouant qu’au contraire tu te sens pleinement à l’aise. Cela m’arrache un sourire. Je ferai mieux de te suivre, ne pas me poser de question et c’est ce que je m’efforce de faire lorsque tes doigts glissent contre mes pectoraux. Ma peau savoure ce contact, cela accroit l’excitation qui embrasse mes reins. J’aime l’effet grisant de tes doigts, comme lorsque tu me caresses parfois quand mon corps me trahi. Je me pince les lèvres, contrôle mon désir impressif de venir au contact de ta bouche. Tu m’invites à aller plus loin dans cet échange. Tu t’échappes de la caresse de mes doigts pour glisser au sol. Notre partenaire suit tes mouvements, dévore ton excitation avec appétit, ses fesses prêtes à être conquérir par les miennes. La vision est délicieuse et le regard que tu me tentes me donne encore plus envie de me perdre dans les reins de cet homme. Alors, j’attrape un préservatif, l’enroule autour de ma protubérance en la caressant quelques instants. Je m’exhibe sous ton regard avec un petit sourire amusé sur les lèvres avant de vous rejoindre sans plus attendre. Je fais glisser ma protubérance contre ces fesses, je me caresse en oubliant presque ta présence, ton regard qui enflamme mon désir. Je joue quelques minutes avec ce bassin, titille son impatience avant de m’y fondre avec lenteur, mais appétit. Je gémis à l’étreinte de ses reins, mordille mes lèvres alors que mes prunelles retrouvent les tiennes alors que mon bassin rythme la cadence de la danse charnelle qui se jouent entre nos trois. Putain, que c’est bon.

Tu m'écoutes et tu nous rejoins au sol. Tu es beau quand tu te laisses dominer par ce désir, il transparaît au fond de ton regard. Tu enfiles un préservatif contre ton sexe, puis tu joues avec notre partenaire. Tu le titilles, le fait gémir en glissant ta queue gonflée contre ses fesses. C'est excitant, j'aimerais que tu t'appliques à ce jeu sensuel avec moi, je suis même prêt à me soumettre. L'homme gémit déjà, même si ma virilité est fondue au creux de ses lèvres. Ses soupirs se renforcent quand tu t'introduis en lui. Ce que tu es beau quand tu t'élances dans des coups de reins intenses. Même si le mec me prodigue des coups de langue agréables et sources de plaisir, il reste une frustration, puisqu'il se tient entre nous. Il impose une distance entre nos corps sans le vouloir, alors qu'ils se veulent, se désirent, cherchent une proximité. Je tends les doigts vers ta taille pour te tirer vers moi et accentuer tes coups de bassin. Je me tends légèrement en avant pour m'approcher de toi, pour que nos visages trouvent une proximité qui devient troublante. Je te sonde, sans oser plus avancer mon crâne. On se tourne autour, nos bouches aussi, en tout cas j'ai l'impression.

Il est difficile de rester de marbre face à un spectacle aussi délicieux. Voir cet homme dévorer ta protubérance avec tant d’appétit m’excite cruellement. Cela rend ton corps encore plus désirable et érotique et la beauté de cet homme rend l’attraction d’autant plus profonde. Je me laisse couler face à l’ambition, glisse ma virilité contre ses fesses. Je joue avec notre partenaire pour l’entendre geindre, réclamer plus que je ne lui procure à cet instant. J’adore cette sensation qui grise mon corps et ça me rend encore plus ambitieux de te savoir spectateur de cette scène. Enivré par le plaisir, je fini par posséder cet homme, qui semble se perdre dans le plaisir qu’on lui fait ressentir. Je l’entends gémir contre ta virilité, je sens ton regard brûlant s’ancrer au mien. Je prends mon pied, mais suis frustré par la même occasion ; J’ai envie de sentir ton corps, mais n’agit pas, indirectement envouté par cette sensation qui happe mes sens. Pourtant, une fois de plus, tu romps la distance, tu m’impose de me rapprocher de toi en m’enfonçant plus dans cet homme. C’est terriblement grisant, mon corps savoure comme mon souffle s’éteint contre ton visage. Une légère distance persiste alors que mes reins se déhanchent en lui. C’est un autre homme qui me satisfait, mais c’est toi que j’aurai envie de dévorer. Je gémis de plaisir contre ta bouche que je finis par rejoindre. Mes lèvres frôlent les tiennes alors que nos nez se frôle. Un contact furtif que je reproduis en venant nicher ma main libre dans ta nuque. Je me pince les lèvres un instant, car ce contact est troublant, mais la gourmandise s’intensifie et je me perds rapidement dans ce baiser, car j’en meurs d’envie. Je grogne de plaisir. C’est encore mieux que je n’aurai pu l’imaginer. Je prends mon pied. J’ai envie que tu me touches.

Notre partenaire nous procure un pur délice par des coups de langue précis contre ma virilité et en t'offrant son intimité. Tu sembles la savourer de tes reins, en heurtant ton bassin contre le sien. Moi aussi je me délecte de ce plan à trois, de cette extase qui nous consume. Elle me met plein d'envies dans le crâne, qui embrasent naturellement mes reins. Je te désire, veux te toucher. Tu es si beau en pleine action, je le remarque maintenant que tu gémis si près de moi. Je m'accroche alors à ta taille pour te témoigner de mon envie de proximité avec ton corps. En effet on se rapproche dangereusement, pour s'apprivoiser, se titiller. Ton visage est à quelques centimètres, nos fronts se touchent, mais tes lèvres me semblent si éloignées... Ta main contre ma nuque m'incite à briser la distance, cette barrière qui limitait les possibilités de notre relation. Alors sensuellement nos bouches s'avancent, prennent le risque de goûter à l'autre, et elles se frôlent, puis se caressent avec plus de contact. Elles se rencontrent dans une étreinte lascive, cruellement agréable. Tu m'enveloppes d'une sensation particulière mais délicieuse. Pour accompagner ce baiser, je viens caresser tes pectoraux plus fermement. Je crois que tu as arrêté tes coups de reins, et moi je ne me concentre même plus sur cet homme qui bloque nos corps, ne demandant qu'à s'apprivoiser.

L'excitation grignote mes entrailles avec délice. Je me laisse sombrer dans cet océan de sensations divines. Je deviens gourmand, conquérant, avide de savourer cette expérience avec toi. Mes reins se fondent dans cet homme, mon regard s'ancre au tien avec appétit alors que nos lèvres se trouvent, se consument de désir. Ta bouche à une saveur exquise, je me laisse envouter par ton odeur, le toucher de tes doigts sur ma chair. Je sens notre partenaire frustré, car nous sommes concentré sur l'autre. J'en oubli même que mes reins ne dansent plus contre les siens. J'ai juste envie de t'embrasser, te toucher, d'exécuter le fruit de mes fantasmes et je n'y résiste plus. Mes lèvres se font plus avides, ma main glisse dans ta clavicule et je gémis de plaisir en sentant le bassin de notre partenaire se déhancher pour obtenir sa récompense. Après tout, il s'applique à nous satisfaire, constitue cette frustration qui nous sépare du corps de l'autre. Alors, je me déhanche dans son bassin, accentue la puissance de mes mouvements pour le faire jouir sans quitter tes lèvres, la saveur de ta peau brûlante. Pourtant, je n'arrive pas a jouir malgré les caresses enchanteresse de ce bassin. J'ai juste envie de sentir ton corps se fondre sous mes doigts. On le sent jouir, ses gémissements devenant de plus en plus puissant contre ta virilité. Il se tort de plaisir, continue de nous caresser de ses doigts. On ne l'observe même pas, nos bouches encore liées dans un baiser sensuel, enivrant et délicieux. Cet obstacle disparu, mon corps se rapproche du tiens. Plus aucune hésitation dans mes actions. J'en meurs d'envie. Mon torse vient rencontrer le tien tandis que nos virilités gorgées de plaisir se frôlent. Tu me donnes cruellement faim. J'ai envie de toi !