merry christmas. (#8 - hot)

Je sens ton sourire que tu esquisses en ma direction, je l'aperçois à moitié, et je sais que les prévisions de cette soirée sont délicieuses dans ton esprit. Je te fais amplement confiance. Je sens un liquide se déverser contre mon dos, me donnant l'impression d'un contact humide et froid. Ta langue glisse contre les contours de mon corps pour aspirer le champagne, le savourer d'une manière qui nous est propre : sensuelle et cruellement exquise. Je t'observe du coin de l'oeil, je regarde ta chute vertigineuse jusqu'à mes fesses. Ta langue parcoure la fente, titille mon intimité avec gourmandise. Les paupières closes tant le plaisir est intense, je me laisse emporter par le feu incandescent qui brûle mes reins. C'est si délicieux de sentir ta langue effleurer cette partie sensible, qui se décontracte totalement à ton contact humide. "Putain Kal..." Je gémis bruyamment, m'accrochant au canapé pour moins m'étourdir.

Il m’est difficile de résister à tes formes exquises. Je n’arrive pas à contrôler mon appétit et me noie dans cette luxure avec un délice conséquent. Je ne me freine pas dans mes actions, laisse mes désirs envahir mes pensées et me faire agir en conséquence pour les réaliser. En conséquence, ma bouche avide frôle, goûte à chaque parcelle de ton dos, de tes fesses et vient se perdre au creux de ton intimité pour la titiller avec ambition. C’est une action dont tu es le seul bénéficiaire. Je n’ai jamais offert ce type de caresse à un autre homme que toi. L’envie ne m’est jamais venue et cela me vient naturellement avec toi. Je n’arrête pas de succomber à l’appel de tes lèvres et je ne me lasse pas de t’entendre geindre de plaisir sous cette gâterie humide dans laquelle je m’applique. Mon appétit s’intensifie, devint plus vorace et je ne peux m’empêcher de devenir plus conquérant. Mes doigts se joignent à ma bouche, ma langue et je te prépare à une danse plus torride. Je veux te posséder, envahir ton bassin de ma queue dans des étreintes lentes et profondes avant d’accélérer la cadence pour profiter de la saveur exquise des mouvements de ton bassin contre le mien. L’idée de me déhancher a creux de tes reins me fait cruellement bander, car tu es juste érotique à souhait. Putain Terry, j’ai cruellement envie de te prendre là, immédiatement alors que tu m’enivres de tes gémissements, qui sonnent divinement bien dans mes oreilles.

Tu me procures l'extase lorsque tu titilles mon intimité pour décontracter totalement. Tu accompagnes tes coups de langue de tes doigts et je déborde promptement d'excitation. Tout mon corps te désir, s'enflamme à ton contact humide et gourmand. Tu m'accordes des préliminaires auxquels tu n'es pas habitué, pourtant tu possèdes une telle expertise que je ne peux m'empêcher de gémir. Mon sexe se gonfle davantage de plaisir, prêt à exploser. « Prends-moi... » Je te supplie dans un murmure, tandis que je divague et plonge dans ce torrent de passion vorace qui me consume les entrailles.

Le désir s’intensifie sous la force de tes gémissements de plaisir. Ton corps se tend sous mes actions cupides et je savoure chacune de tes réactions. Je te trouve désirable à souhait et cela accroit considérablement mon besoin primaire d’arpenter tes reins des miens. Pourtant, je demeure sage, patient et prévenant, bien que mes actions se fassent plus gourmandes. J’aime t’entendre geindre de la sorte et ma virilité se gonfle d’une ambition brûlante et destructive. C’est un supplice de résister, alors lorsque tu me donnes ton feu vert, je ne peux retenir un grognement. Je me sens comme libéré et mes caresses se dérobent de tes formes sans se faire prier. Allongé de ton long sur le canapé, je prends place autour de tes cuisses et vient glisser mes doigts autour de ma queue pour la diriger vers tes reins. Elle est impatiente, brûlante de retrouver tes terres et c’est dans un mouvement de bassin lent et profond que j’arpente tes reins de nouveau. En équilibre sur mes avants-jambes, je savoure de nouveau l’étroitesse de ton petit cul et c’est un délice profond qui s’empare de mes sens. « Putain, que c’est bon. » Je jure contre ton oreille que je mordille avant de dévorer ta nuque de baisers humides et passionnés tandis que mes reins s’enfoncent plus intimement dans les tiens tandis que ma main libre retrouve ta protubérance pour accroitre l’extase qui inonde tes entrailles. Cette sensation de pouvoir et de contrôle est juste cruellement addictive. Je veux te faire perdre la tête et met tout en œuvre pour y parvenir.

Ta langue parcoure mon corps avec sensualité et ça suffit pour te réclamer en moi. Tu ne perds pas un instant supplémentaire pour te fondre au creux de mon intimité avec fougue et délicatesse, avant de commencer des coups de rein sensuels. « A mort... » Je commente dans un soupir d'extase, traversé par cette dose de désir imposante. Tu mets feu à mes reins, à mes courbes que tu touches du bout de tes doigts. Le plaisir dure plusieurs minutes, tu me savoures autant que tu le peux, avant de jouir au creux de mes fesses. Tu te retires finalement et tu te fais une place dans mon dos. Tu m'étreins avec affection, caressant ma hanche et mes abdominaux. Je suis dos à toi alors je ne peux pas vraiment t'atteindre, juste frôler ta cuisse. Je m'enivre de tes baisers dans mon cou, je me laisse guider par cette tendresse qui s'imprègne entre nous. Je ferme les paupières, totalement apaisé au creux de tes bras musclés. Je suis détendu, si bien que le sommeil me gagne.

Mon corps mêlé au tien, je me laisse gagner par l’excitation qui dévore mes entrailles. La sensation de ton bassin contre le mien est addictive. Elle est si délicieuse que je me laisse totalement embarquer par le plaisir qui s’immisce insidieusement dans mes veines. Ma respiration est vive, mon cœur bat la chamade et je t’offre une étreinte à la fois sensuelle et passionnée. Je prends mon pied, grogne de plaisir en savourant tes formes sous mes doigts, mes lèvres, mes coups de reins et sous la puissance de tes soupirs de plaisir. Le plaisir explose au sein de nos échines qui se donnent l’une à l’autre. Je ne m’en lasse pas de te sentir si soumis sous mes doigts et je te pousse insidieusement vers les portes du paradis terrestre. L’extase ressentie nous transperce de toute part et nous savourons ses bienfaits avec délice. A tel point que la fatigue envahit nos êtres, nous plonge dans un état de somnolence réelle. C’est le son de la porte d’entrée qui nous extirpe de ce bien être ressenti. Je grogne quand je te sens disposé à quitter mes bras. « Reste-là. On s’en tape de qui c’est. » Ma voix est endormie, presque enfantine. Je préfère savourer la chaleur de ton corps contre le mien que la fraicheur de l’air ambiant, tout simplement.

L'extase nous a tant consumés que je m'endors paisiblement au contact de ton corps chaud et dénudé contre le mien. On s'enlace en cuillère, on se repose quelques minutes. Je plonge dans un sommeil mérité, détendu après les nombreux coups de reins que tu as offerts à mon intimité. Pourtant une sonnerie retentit à nos oreilles et vient couper notre repos. Je m'apprête à me glisser hors du canapé mais tu me retiens en jouant ton gamin. Je souris en venant tapoter ta main. "Je comptais plutôt t'inviter à y aller." Je me retourne vers toi et m'accroche à ta nuque pour tirer ton visage près du mien et t'embrasser. "Et dépêche-toi, tu seras récompensé." Je te souris avec amusement.

« Dans tes rêves. » Je commente de ma voix endormie. « Je suis bien là, moi. Pourquoi j’en sortirais ? » Je demande en venant te coller plus fermement contre moi, mais tu viens t’accrocher à ma nuque pour me voler un baiser. « On sait bien tous les deux, que tu vas me récompenser sans cela. » Ma voix est emplie de vanité. Je n’ai aucun doute sur la question. « On n’a pas besoin de manger, t’es très bon comme repas. » Je souffle contre tes lèvres d’une voix charmeuse et intéressée. En vérité, je n’ai que faire du livreur et de ce réveillon. Je veux juste profiter de ton corps contre le mien, mais le livreur ne semble pas disposé à vouloir partir, car il sonne de nouveau. Fais chier ! Il grogne en réponse, mais ne bouge pas d’un pouce, les muscles encore endormis après tant de plaisir éprouvé.

J'essaye de t'inciter à te lever pour accueillir le livreur et les plats du traiteur que j'ai commandés, mais ta motivation semble toute aussi éloignée que la mienne. Tes yeux se ferment pour retrouver le sommeil, tandis que ta voix n'est qu'un murmure endormi. Je tente de te convaincre avec une proposition alléchante mais tu la rends peu crédible par tes mots. « Parce que tu pourrais recevoir une pipe succulente ? » J'enchéris en te donnant une bonne raison de te secouer. « Ne me mets pas au défi Kal', tu pourrais regretter d'avoir été si provocateur. Ton Noël peut devenir frustrant, alors que j'avais tant de surprises à t'offrir. » Je commente en venant titiller ton oreille, te faisant comprendre par un sous-entendu que les présents seraient d'ordre sexuel. Je comptais savourer ton corps, lui faire honneur, mais si tu actives mon côté joueur, les plans dessinés au creux de ma tête pourraient s'évanouir. « Et je le serais encore plus si tu te bougeais... » Je rétorque en te souriant, venant embrasser ta bouche pour te motiver. Allez, bouge petit con.

Je ne suis nullement enclin à m’extirper de la chaleur que me procure ton corps contre le mien. Il est bien trop délicieux de sentir tes formes se mouvoir contre les miennes, mais tu joues avec mes sentiments. Malgré mon ambition de demeurer à tes côtés, tu persistes et immisces avec dextérité et une pointe de sournoiserie des images alléchantes et érotiques. Tu fais chier, Terry ! Je grogne, car tu sembles avoir trouvé la parade pour obtenir ce que tu désires. Je n’ai pas envie de batailler ce soir, j’ai juste envie de sombrer dans la chaleur exquise de la luxure avec toi, sans penser à rien d’autre. « Tu fais chier, tu sais ? » Je râle pour la forme en m’extirpant du canapé. La température ambiante me semble glaciale, mais cela ne me rend pas plus enclin à me vêtir. Sans pudeur, j’ouvre la porte à poil après avoir récupérer l’argent que tu avais mis de côté. Mon regard sombre rencontre celui du livreur, qui semble hébété de me voir nu sous son regard. Je souris de façon amusée et récupère tout avant de claquer la porte sans faire preuve de plus de formalité. Je lui ai laissé un petit pourboire donc sa haine passera. Et je pose tout sur le plan de travail de la cuisine située à côté et je fini par te retrouver. « J’espère que tu comptes bien me récompenser. Tu as vu, j’ai été sage. » Mon regard pénétrant retrouve le tien alors que je te provoque à mon tour, bien enclin à savourer un nouveau moment de complicité avec toi.