merry christmas. (#8 - hot)

Tu t'amuses avec mon corps et c'est divin. Je sens tes doigts parcourir mon corps et c'est délicieux. Je gémis tandis que mes mains frôlent ton torse. Je retire les boutons de ta jolie chemise pour espacer les deux bouts et pouvoir caresser tes abdominaux tes pectoraux bien dessinés. Je les savoure des yeux et des mains. Je me colle contre toi, heurtant ta virilité de la mienne qui commence à gonfler. On fera l'amour au milieu du salon je crois bien. "Déshabille toi." Je t'ordonne en repartant dans la cuisine après un baiser pour récupérer nos coupes de champagne.

Tu ne te fais pas prier pour arpenter mes courbes avec le même entrain que je ne m’applique à le faire. Tu déboutonnes ma chemise pour frôler ma chair et la cesse est exquise comme lorsque tu viens réduire de nouveau la distance entre nos deux corps pour laisser le plaisir s’immiscer plus insidieusement au creux de nos reins. Tu m’ordonnes de me déshabiller et fille dans la cuisine pour récupérer les coupes de champagne que j'aperçois. Je reste sage, me contente juste d’entendre ton retour pour te laisser profiter de la vue. « Il serait dommage que tu sois privé du spectacle. » Je te taquine de mon regard perçant en venant retirer de façon classe, mais virile ma chemise que je jette sur le canapé avant de m’occuper de mon pantalon avec la même dextérité. « J’enlève tout ou tu veux jouer avec elle. » J’indique ma virilité du regard. Elle forme une bosse contre le tissu. Elle est toute excitée par ce qu’il va se passer pour elle.

Je reviens et je te vois te déshabiller. Tu m'as attendu pour que je craque face à ton petit strip-teaseuse. C'est très langoureux, sexy. Le spectacle est très plaisant et j'en profite. Cela accentue la taille de ma virilité, surtout quand je m'aperçois de la tienne. Elle est gonflée par le plaisir. "Je veux jouer." Tu me connais. Je pose les verres sur la table basse puis je m'approche et me colle à toi. Durant un baiser bien sensuel, ma main droite vient empoigner ton sexe à travers le tissu, juste assez pour le titiller. Je gémis contre ta bouche tant c'est bon, sans arrêter ma main.

Je sens ton regard gourmand sur mes forces, ce qui accroît l’excitation qui me gagne avec tant d’appétit. Mon corps se met à nu et mon excitation est tout aussi évidente que la tienne. Tu acceptes de jouer, ce qui provoque mon sourire. « Petit coquin. » Je te taquine alors que tu me retrouves pour emprisonner ma bouche d’un baiser bien sensuel et érotique. Je savoure la poigne de ta main contre ma virilité. Je t’entends gémir et cela m’excite cruellement. Je te rends ton baiser, glisse juste mes doigts autour de ta ceinture pour t’en défaire. « Je crois que tu commences à avoir chaud, non ? » Je te taquine entre deux baisers tout en ne faisant que frôler ta virilité. Je me laisse embarquer par ce jeu coquin, comme j’aime tellement le faire.

Tu t'appliques dans la même manœuvre que moi, si ce n'est que ce sont tes mains gourmandes qui me déshabillent. Tu retires ma ceinture pour glisser ta main à l'intérieur de mon boxer et frôler la virilité. "Légèrement." Je prétends avec un sourire malicieux sur les lèvres. Au final je te pousse avec douceur sur le canapé pour que tu t'y étales et je m'assois à califourchon au-dessus de tes cuisses. Je me penche vers toi pour embrasser tes lèvres tandis que mon bassin provoque le tien par des mouvements.

Le jeu sensuel entre nos corps se met en place. On titille le désir de l’autre sans réellement le contenter dans une complicité qui nous est propre et à la fois érotique. Je te frôle avec espièglerie tandis que tu envoûtes ma virilité contre le tissu du boxer. C’est exquis et je me laisse tomber sur le canapé où tu viens prendre place au-dessus de moi pour venir bosser ton bassin comme ma queue désireuse. Je me laisse dévorer par ce feu que tu provoques, ouvre ton pantalon pour glisser mes mains sur tes hanches, tes fesses pour te guider dans tes mouvements de bassins en jouant avec les morceaux de tissus qui t’encombres. Parfois au-dessus, parfois au-dessous en fonction de tes mouvements de bassin. Le feu se distille avec force dans mes reins avant que je ne m’occupe de ta chemise que je déboutonne : « Continue, Terry. » Je t’ordonne de ma voix chaude entre deux baisers. Fais-moi fondre de plaisir pour toi, car ma queue gagne en vigueur. Tu es cruellement désirable dans cette position et je te le fais comprendre en te touchant.

Tu me demandes de continuer mes caresses, après avoir ouvert mon pantalon et commencé des frôlements le long de mon corps. Je suis déjà traversé par l'extase à ton simple contact. C'est vraiment agréable. "Je n'avais pas l'intention d'arrêter." Je souris contre tes lèvres, poursuivant mes balancements de hanche contre ta virilité.

Et tu continues de te déhancher sur ma virilité avec un érotisme qui m’enivre particulièrement. Tu me donnes faim, me rend avide de glisser mes mains sur tes formes exquises, ce que je ne me prive pas de te faire. L’effusion de mes sens s’accroit tandis que mes gestes se précisent sur ton corps. Je te défais de tes vêtements fait glisser ton pantalon et ton boxer sous tes cuisses pour libérer ta queue. Elle vient caresser mes abdominaux, qui apprécient sa fermeté. Ma bouche demeure gourmande alors que j’agrippe tes fesses, glissent mes doigts pour titiller l’entrée de ton intimité. J’ai cruellement envie que cette étreinte devienne plus cupide. Je ne m’en lasse pas avec toi !

Tu baisses mon pantalon et boxer et ma virilité se retrouve dénudée sous ton regard. Je continue mes coups de bassin pour qu'elle rejoigne ton sexe, toujours avec une sensualité empreinte dans mes mouvements. J'ai envie d'enflammer tes reins et vu la taille de ton sexe, je crois y parvenir. Je savoure tes gémissements qui se mêlent aux miens. Je t'embrasse entre deux soupirs de plaisir, qui s'accentuent lorsque tu fonds un doigt entre mes fesses. Mes paupières se ferment pour un instant de plénitude. "Putain..." Tu me rends fou, Kal. Je me courbe en avant pour que ma tête atteigne ton boxer. Ma bouche vient titiller la pointe de ton sexe à travers le tissu. Je t'avais dit que je jouerai avec.

L’excitation s’intensifie grâce à la danse charnelle que se livre de nos chairs affamées. Mon cœur bat la chamade, mon souffle se fait plus vif face au feu que tu provoques au creux de mon bassin. Putain que c’est bon et mes doigts viennent investir le creux de tes reins que je compte bien posséder de toute la manière possible et imaginable comme tu me l’as proposé. Je me mords les lèvres face à l’expression de ton désir, qui intensifie la fournaise qui gronde au creux de mes reins. Et tu décides de poursuivre ce jeu, glisse ton corps entre mes cuisses pour venir embrasser la pointe de ma virilité, la titiller avec doigté. « Putain… » Je jure à mon tour en savourant cette vision que tu m’offres. Mon regard s’ancre au tien et je me laisse couler sous la pression de tes lèvres. Continue de jouer avec elle. Elle adore ça. Je suis accro de cette sensation, mais surtout de la vision que tu m’offres. Tes gâteries sont uniques à mes yeux et je ne m’en lasse pas.