stan & felipe

Je pense que tu l'aurais su et tu m'en aurais voulu... j'avais tellement peur de te perdre si tu voyais à quoi point je te désirais... parce que je savais que tu avais profondément honte et que ton père influençait beaucoup ces pensées-là.
Je préfère celui que tu es aujourd'hui.
Tu me diras quoi ?

Je t'aime trop pour te détester. J'aurai sans doute feins l'indifférence ou effectivement j'aurai agis comme un connard.

Je me sens mieux dans ma peau. Je me sens plus moi.

Des mots pour faire monter le désir en toi.

Tu me détesteras jamais, quoi que je fasse ?
J'en suis très heureux alors. Je te sens beaucoup plus épanoui... je retrouve mon lip... celui que j'ai connu. Celui qui me fait rire, me rend joyeux.
Lesquels ?

Non, je ne pense pas...
Je le pense aussi. Un lip d'avant moins sombre et tourmenté. Cela fait du bien de revoir plus clair.
Te narrer les parties que je compte touché avant de la frôler. Te dire des petits mots coquins lorsque tu gemiras ou seras soumis à mon toucher. Je soufflerai tout cela dans ton oreille, ta nuque en frôlant des parties bien sensibles pour que tu laisses bien ton corps se coller au mien.

Tu ne penses pas ? Tu as une réserve pour quelque chose ?

Oui, ça se voit. C'est tellement agréable pour moi aussi si tu savais.

Mh... je m'en délecte déjà.

On ne peut jamais être totalement sur de rien. Je me serai jamais senti capable de faire ce que j'ai fais. Alors normal que je sois un peu sur la réserve.
J'imagine... J'étais loin d'être le meilleur ami idéal.
Tu seras magnifique, je n'en doute pas. Plus que je ne l'imagine dans mon esprit. Je serai très doux et câlin.

Moi je t'aimerais quoi que tu fasses ou dises.
Tu l'as été très longtemps. Tu m'as toujours défendu et protégé quand on me brimait ; tu me faisais rire quand j'étais triste lorsque maman repartait je ne sais où ou que Gabriel me criait dessus après une de nos bêtises. Tu avais toujours le mot pour me rassurer. C'est juste quand tout a commencé à être bousillé dans ta vie que tu es devenu vraiment bête et injuste avec moi. Mais je t'en veux pas, je comprends que les circonstances n'ont pas aidé... et puis tu souffrais tellement aussi que je ne pouvais pas te détester. Je sais que tu ne faisais pas exprès, que ce n'était pas vraiment conscient.
J'adore ça, j'ai hâte... tu me donnes envie de planter mon boulot tout de suite !

Je t'aime. Vraiment. Profondément.
Moi aussi, mais il faut être sage. On se retrouvera ce soir avec bonheur.

Moooonh, mon loup... moi aussi, je t'aime profondément.
Dis donc, pour une fois que c'est toi le raisonnable ! Ok je reste sage. A ce soir, bon courage pour le boulot.

Je sais.
Cela m'arrive. C'est surtout mon porte monnaie qui parle. J'ai vraiment besoin de cet argent.