le toutou. (felipe)

Je t'attends dans le parc qui possède le même nom que moi, et je te l'indique par message. Je suis étendu près d'un étang, dans l'herbe, et j'observe le husky se balader, courir, plonger même dans l'eau. Il vient même m'éclabousser avec les gouttelettes qui ont imbibé ses poils. Je me mets à rire avant de le caresser et lui déposer un bisou contre son crâne. J'attrape sa tête entre mes deux mains et lui donne plein d'affection par des frôlements doux. « Tu as hâte de voir ton maître hein ? » Je me mets à sourire en le fixant avec cette chaleur qui m'est habituelle. « Moi aussi. » J'avoue à voix haute à cette bête attendrissante, avant d'attraper mon portable pour envoyer un autre sms. J'en reçois finalement un qui m'indique que tu es arrivé, alors je tourne la tête pour tenter de t'apercevoir. Lorsque tu atterris devant moi, je me mets à sourire plus puissamment, et me relève dans l'intention de t'embrasser. Le chien m'en empêche puisqu'il te saute directement dessus, entourant ses jambes de ses patte. Il est encore tout petit, je n'imagine pas quand il aura grandi. « C'est ton nouveau compagnon de vie. Je crois qu'il t'a adopté. » Je continue de sourire pour te faire comprendre que c'est bel et bien un cadeau que je t'offre. J'espère seulement que tu l'apprécieras.

La journée s’écoule plutôt rapidement. Plongé dans mes missions d’agent polyvalent dans ce magasin, j’essaye de m’appliquer dans les tâches qui me sont confiées. Ce n’est pas le travail le plus palpitant, par le passé, j’aurai sans doute lâcher l’affaire pour m’adonner à un art qui me semblait plus intéressant que ces tâches normales, mais ce n’est plus le cas. L’envie me titille parfois lorsque mon responsable se permet des commentaires, qui titillent ma vanité, mais je ne laisse pas éclater cette rage, que cela éveille naturellement en moi. J’ai trop perdu en laissant ma vanité prendre le contrôle et si je ne compte pas pour autant devenir un faible, je veux me montrer digne de la confiance que tu m’attribues avec bienveillance. Le fait de te rejoindre après le boulot au sein de notre parc me fait du bien. Cela me fait une coupure dans la sensation de solitude, qui me gagne parfois depuis que j’ai quitté le cabanon. En conséquence, je t’envoie un SMS quand j’arrive aux grilles du parc et te recherche du regard. Je finis par te retrouver dans la ville et m’approche de toi. Seulement mon initiative est freinée par l’interruption d’un chiot qui me saute sur les jambes, le regard vif, la langue pendante. Je le fixe avec surprise, avant de me laisser tenter par son regard clair et sombre. Un sourire se fige sur mes lèvres alors que je me mets à genoux face à lui. « Salut toi ! T’es qui ? » Je questionne en venant doucement caresser son museau sans aucune crainte d’être mordu. Tes paroles me font comprendre que tu comptes m’en faire cadeau. Cela ne fait qu’accroitre ma surprise et une légère inquiétude s’immisce dans ma poitrine. « Vraiment ? Tu es sûr ? Il a dû couter une blinde, Stan. » Je murmure en venant plonger mon regard dans le tien, seulement le vient doucement mordiller mes doigts pour obtenir mon attention. « Il est vraiment trop mignon. On dirait un petit loup. » Je commente doucement en regardant cette petite bête. Je suis déjà en train d’être amadoué et je le sais bien. Un sourire amusé orne même mes commissures. Il a dû trop te faire craquer.

Je t'attends sur la pelouse et m'amuse avec le chien pour patienter. Je suis impatient que tu découvres cet animal un brin sauvage, mais terriblement attendrissant. J'ai envie que le lien se forme entre vous, et je suis certain que tu n'auras pas d'autres alternatives que de fondre complètement pour lui. Je suis plutôt confiant par rapport à ce cadeau et je ne me sens pas angoissé quand tu arrives. Je suis persuadé qu'il te donnera des responsabilités à respecter, et beaucoup d'affection. Il ne tarde pas à te sauter dessus pour te renifler et s'habituer à ton odeur nouvelle. Mais je ne me fais aucun doute qu'il se laissera emporter par le parfum que tu dégages... quitte à devenir ivre comme moi. « Ça, ça ne te regarde pas. » Tu t'abaisses pour lui faire quelques caresses et l'apprivoiser doucement. « Ce sera un très bon compagnon, il vaut bien son prix je t'assure. Je pense que ça te fera beaucoup de bien d'avoir une présence constante à l'appartement. » Je commente pour te faire comprendre mon attention avec cet achat. Il te mordille tes doigts et laisse sa langue goûter ta peau. Tu me fais la réflexion qu'il ressemble à un loup et je ne peux que sourire à cette remarque. Je suis bien content que tu y fasses attention. « Comme toi. » Je souris de plus bel. « A ton avis, pourquoi je l'ai choisi ? Qui se ressemble s'assemble. » Tu es mon petit loup, et il sera le tien. « Il est terriblement craquant. Je le garderais bien pour moi, mais je préfère quand même les chats. Je vais demander à Gab prochainement, moi aussi j'ai besoin d'un compagnon quand il n'est pas là. » Je m'abaisse aussi à votre niveau et caresse à mon tour la boule de poils qui semble bienheureux à cet instant.

Je te retrouve en compagnie de ce chiot que tu comptes m'offrir. L'attention est louable et adorable. Il ne m'est pas difficile d'entrevoir ce que tu cherches à immiscer dans mon existence. Ton inquiétude de me voir vivre seul de nouveau est évidente. Je te connais assez bien pour entrevoir que cela te tourmente. Je le suis également. Vivre seul est angoissant, alors la présence d'un animal pourra sans doute m'empêcher de m'isoler comme j'ai pu le faire par le passé, au point de sombrer dans les ténèbres. Cela est une bonne idée, bien que je ne puisse pas m'empêcher de penser au coût d'un tel animal sur tes économies, mais tu te montres ferme à ce sujet et je ne veux pas prendre le risque de t'énerver. Je me contente de te sourire faiblement en venant faire connaissance avec ce chiot. "Merci, Stan." Je te déclare en venant caresser ce chiot. "J'avoue qu'un peu de compagnie ne sera pas désagréable." Je pense que tu ne viendras pas souvent, sans doute pour répondre aux exigences de Gabriel, plus que par non désir. Je pense que je devrais me faire à l'idée de te voir que quelques heures, par ci, par là, bien que cette idée me pèse. D'ailleurs, mon sourire s'affaiblit légèrement, mais les mordillements de cette boule de poil obtiennent mon attention et mon amusement. J'admets qu'il y a de quoi craquer pour sa bouille adorable et son air à la fois doux et sauvage. On dirait un petit loup et je crois que c'est une espèce qui a des origines en ce sens. Je souris à ta remarque. "Je ne serai plus un loup solitaire, tu seras ma meute, petite bête !" Je déclare dans une expression amusée alors que tu t'abaisses à notre niveau. "J'espère bien rester ton loup apprivoisé." Je déclare en faisant mine de me verser, mais mon regard se fait doux. "Tu veux bien que j'en choisisse un pour toi ? Les chatons, ça m'y connait." Je déclare en riant doucement. Je peux au moins t'en offrir un. Sans doute que je ne pourrais pas mettre l'argent que tu as mis dans ce chiot, mais je voudrai pouvoir choisir ton compagnon comme tu viens de le faire, histoire que tu penses à moi. "Comment vais-je t'appeler petit loup ?" Je me questionne pour trouver un prénom à ce chien. Je l'exprime à haute voix pour que tu me soumettes tes propositions, car après tout, on peut le trouver ensemble.

Je détecte tout le bonheur que tu ressens à la rencontre de cette petite créature qui fait beaucoup de ravages. Elle m'a fait fondre au premier coup d’œil, mais je suis d'autant plus satisfait de remarquer l'engouement qui te traverse lorsque tu la contemples. C'est un sentiment vivifiant de savoir que je ne me suis pas trompé sur le cadeau d'encouragement, et d'avoir choisi l'idéal pour t'inonder de joie. Tu te laisses même attendrir et emporter par des idées de meute avec cette petite bête. Tu fais référence à la solitude qui empoisonne parfois ta vie et qui peut devenir dangereuse dans les jours où ta fragilité réapparaît. C'est un des critères qui m'a décidé à t'acheter cet animal splendide. Un husky gris et blanc, aux yeux aussi clairs que les tiens. Un physique obscure pour une âme pleine de douceur. Je souris en entendant tes remarques et l'enthousiasme que tu manifestes simplement. « Tu vois, une famille ça peut se reconstruire. » Le chien peut devenir une source d'espoir inépuisable si tu te laisses apprivoiser. J'ai l'impression qu'il est déjà parvenu à conquérir ton cœur froid, et à l'envelopper d'une chaleur apaisante. Tu n'étales pas ta méfiance et te contentes de l'apprécier dès le premier abord. « Oui, bien sûr, mais si Gabriel accepte. Je suis sûr que tu trouverais le chaton idéal. » Je commente en souriant, en continuant de caresser le chien. Tu me confies ensuite que tu espère rester mon loup apprivoisé, en me lançant un regard presque inquiet. « Pour le moment, cela semble en bonne voie. Et ce petit loup va t'aider à rester sur la bonne pente. » Je crois vraiment en tes efforts et ton envie de rédemption. J'ai envie de te faire confiance. Tu veux ensuite choisir un nom pour la boule de poils, et j'y avais déjà réfléchi en t'attendant. « Ghost ? » Je propose avant de te donner une explication concernant mon idée. « Comme le loup de Jon Snow. Ou comme un de mes films préférés, à voir. » Tu as vu ce film-là une dizaine de fois à cause de moi. Chaque fois que j'ai un coup de mou, je le visionne. « Le seul inconvénient est qu'il doit se dépenser énormément, au moins 2 à 3 heures par jour. Alors il faudra que tu le sortes beaucoup. Mais j'ai pensé que ce serait aussi bon pour toi, pour t'oxygéner, sortir, découvrir ! Tu auras un bon camarade pour t'accompagner dans tes nouvelles aventures. Vous serez comme Tintin et Milou. » Je me mets à rire en te regardant avec un mélange d'amour et d'amusement. Cela fait un bien fou de retrouver ton humeur enjouée.

Je me laisse apprivoiser par les airs innocents de ce chiot, qui va devenir mon futur compagnon. Ta remarque m’arrache un sourire attendri. Je ne dis mot, mais l’idée soulevée est plaisante. J’ai laissé la douleur envahir mon cœur durant trop d’années, mais encore aujourd’hui, j’ai du mal à ne pas souffrir de cette solitude, qui m’a tant rongée malgré ta présence. J’ai envie de croire que la présence de ce chiot saura atténuer ce sentiment. J’essaye de me concentrer sur le présent. J’évite de laisser des pensés complexes envahir mon esprit alors que notre échange se veut décontracté. Tu voudrais avoir un chat et j’aimerai pouvoir t’en offrir un, que j’aurai choisi. « Tu me tiendras au courant ? » Je te questionne pour rebondir sur ta réponse, car je tiens réellement à pouvoir le faire. Tu m’affirmes que je suis sur la bonne voie pour rester ton loup apprivoisé. Je ne dis mot, mais cela me fait du bien de l’entendre, de voir que mes efforts sont remarqués. J’espère pouvoir obtenir de nouveau ta confiance et faire de mon mieux pour t’aider à avancer, qu’importe si je peux sembler faible aux yeux des autres. J’ai juste besoin que tu ailles mieux pour me sentir bien. On finit par s’intéresser au prénom du petit loup. Ghost semble une évidence lorsque tu l’évoques. « Tu as pensé directement à ce prénom en référence au film, avoue ! » Je te taquine en venant doucement te donner un petit coup contre l’épaule pour obtenir ton sourire. Je souris de toutes mes dents. « Ce film va me poursuivre jusqu’au prénom de mon chien, mais j’avoue que ça lui correspond bien. Adjugé vendu. Tu t’appelleras Ghost. » Je déclare simplement avant d’en informer la petite boule de poil qui est complètement fou de joie et me fait tomber en arrière pour me lécher le visage. Cela provoque mon rire, alors que j’essaye d’écouter tes remarques. « Arrête petit monstre ! » Je proteste, tout en captant des brèches de tes propos. « Ou comme Obélix et Idefix. » Je déclare en mettant mes deux mains pour éviter les léchouilles du chien. Allongé au sol, mon regard vient trouver le tien. Je te souris chaleureusement avant de venir prendre ton poignet pour t’inviter à t’allonger avec nous et Ghost ne manque pas de venir te sauter dessus pour pouvoir te lécher à son tour. « Pas de raisons que je sois le seul à subir son élan d’affection. » Je déclare avant de rire en te regardant batailler avec le petit monstre. Mon cœur est rempli d’une douce chaleur à cet instant. Je me sens bien et cela fait bien des années que je ne me suis pas sentie si léger. Il semble qu’il y ait encore de l’espoir.

Quand je perçois tes yeux s'illuminer devant cette petite créature qui ne fera que grandir au fil des semaines, cela me donne aussi cette envie d'avoir un compagnon auprès de moi. J'ai besoin d'une présence constante, de quelque chose devant lequel je puisse m'émerveiller. Les petites bêtes peuvent faire des miracles, il suffit d'observer les réactions qui s'installent sur ton visage. Tu as tout de suite l'air plus épanoui et enjoué. « Oui. » Cela semble être important pour toi de me rendre la pareille, même si le prix n'équivaudra jamais à ce que j'ai pu payer pour le chiot husky. Alors j'ai bien l'intention de convaincre Gabriel pour t'offrir cette satisfaction. On s'accorde ensuite sur un nom significatif pour cette boule de poils. Tu t'accordes directement à ma position, sans même insister sur une idée que tu aurais pu avoir. Tu donnes de l'importance à ma parole désormais, alors qu'autrefois tu n'aurais fait que chipoter, au point que j'aurais finalement demeuré silencieux. « Peut-être ! Mais tu l'aimes aussi alors ça tombe bien ! » Si tu n'avais pas apprécie ce film romantique, tu n'aurais pas accepté de le visionner une dizaine de fois. Même pour me faire plaisir. Je sais que tu as toujours dissimulé un côté doux, et que tes plaintes sont parfois fausses, juste prononcées dans l'objectif de camoufler ta satisfaction. Le toutou continue de t'apprivoiser, en arrivant même au point de te faire basculer sur l'herbe pour venir lécher ton visage plus facilement. J'éclate de rire devant ce spectacle, surtout quand tu essayes vainement de te débattre. Je reste accroupi en caressant le corps du chien pour l'inciter à continuer. « Il va falloir que tu prennes du poids si tu veux ressembler à Obélix... et puis, tu as une mèche comme Tintin. » Je me moque gentiment de toi, juste pour aller dans le sens de cette ambiance chaleureuse instaurée entre nous. Je ris pendant que tu es en train de batailler avec Ghost, en tentant d'éviter sa langue grâce à tes deux mains plaquées sur ton visage. Tu laisses toutefois un espace suffisant pour pouvoir me regarder, avant d'attraper mon poignet pour me projeter sur le sol. Et c'est à mon tour de subir les léchouilles du chiot impulsif et fougueux. Il est tout fou à l'idée d'avoir trouvé deux nouveaux compagnons. Il se sociabilise très vite. « Je pense que tu vas recevoir pas mal d'amour quand je ne serais pas là. Je risque d'être jaloux. » Je n'arrive même plus à m'en dépêtrer, il saute partout autour de moi pour trouver une issue. Alors je le pousse légèrement avant de m'allonger sur toi, en plaçant ma tête dans ton cou. « Il ne peut plus rien faire là. » Je me mets à rire, sans concevoir que la position puisse être source d'excitation pour toi.

Je souris à ta remarque. Je fais comme si je ne l’avais pas entendu en me consacrant à cette boule de poil que je découvre pour la première fois. Ghost sera mon nouvel compagnon, celui que tu m’as choisi. Il est difficile de résister à l’enthousiasme de ce chiot, qui désire tant découvrir le monde. Il semble innocent, semble avoir beaucoup de choses à apprendre, mais assez fou et impétueux pour trouver le moyen de me faire basculer sur le sol pour entreprendre une séance de léchouille, qui semble provoquer immédiatement ton rire. Cela me fait sourire, bien que je lutte avec insistance contre cette langue avide. Cela fait un bien fou d’entendre ton rire et je ne peux résister à la tentation de t’embarquer dans cette séance de torture. Je te tire vers moi en empoignant ton poignet et te fait glisser au sol à ton tour, pour que tu deviennes la victime potentielle de mon chien. Celui-ci ne rate pas l’occasion que je lui tends et s’empresse de te sauter dessus pour léchouiller chaque partie de ton visage, ce qui provoque également mon rire. On a l’air de deux gosses à cet instant, mais cela fait un bien fou. C’est une parenthèse agréable de laquelle je ne désire pas me dégager. Tu provoques mon rire par ta remarque. « Je veux bien voir ça. » Je déclare sans aucune méchanceté dans la voix, plutôt amusé à l’idée de te voir légèrement jaloux. Je ne sais pas du tout de quoi cela pourrait avoir l’air. Sans doute que ce sera mil fois plus doux que quand je le suis. Cette pensée me fait perdre légèrement le sourire, légèrement happé par cette culpabilité, qui en dépit de ses sourires et rires rongent toujours ma poitrine. Seulement le contact de ton corps contre le mien, m’arrache à cette pensée et mon bras vient naturellement entourer ta hanche pour te serrer contre moi. Il est difficile de résister à l’envie de te sentir contre moi, même si ces instants se font plutôt rares, car je t’ai peu habitué à de tels contacts sans que la luxure vienne pointer le bout de ton nez. « Peut être pour toi, mais pas pour moi. » Je te déclare en riant avant de venir nicher mon visage dans ta nuque à mon tour. Je laisse ton parfum envahir mes narines tandis que tous mes sens s’enivrent de ton odeur. Tu sens bon et le désir d’embrasser ta chair vient titiller mes reins. Alors, je m’applique à déposer de doux baisers dans ta nuque. Je les rends sensuels sans m’en rendre compte, bien que je les voudrais doux et salvateur pour toi. Ghost s’agite autour de nous, tire sur ton pull et le mien comme pour obtenir notre attention et cela m’arrache un rire contre ta peau. « Je sens qu’il va être pot de colle, comme quelqu’un que je connais. » Je déclare avec douceur, mais amusement. Je ne desserre pas mon emprise, je te veux contre moi, même si cela m’excite quelque peu, résolument de plus en plus sensible à ton contact, mais je n’y peux rien. Une étreinte, qui se fait brève, puisque tu te dégages rapidement de mon emprise pour te relever et me tendre la main. « Allez, lève-toi tintin. » J'ai conscience que c'est ce contact qui t'a gêné, mais je ne m'en formalise pas, me contente juste de venir prendre ta main pour débuter une promenade, qui nous fera du bien et calmera sans doute l'embrasement de mes sens.