Une délicieuse tentation (Stan)

Une journée longue se termine. Une de celles qu'on a hâte de voir se terminer. L'ambiance au boulot était tendue à cause de cet inventaire qui arrive et va mobiliser l'ensemble de l'équipe. Je suis satisfait de retrouver mon appartement, Ghost qui attendait sagement mon arrivée. Les fêtes sont de rigueur avant qu'il me laisse me diriger vers la douche pour profiter d'une bonne douche. Je sais que tu es sur le chemin et j'ai envie d'être propre pour t'accueillir. Je profite de l'eau chaude sur mon corps, avant d'enrouler une serviette autour de ma taille et retrouver la pièce principale. Je t'y trouve, sagement assis sur mon canapé lit et un sourire orne mes lèvres. « Salut ! » Je me rapproche de toi, te laisse savourer du regard mon torse dénudé. Je me penche pour t'embrasser tendrement. « Tu as passé une bonne journée ? » Je te questionne en te regardant avec douceur, heureux de te retrouver.

Après mon service dans la boutique de fleurs, je me déplace jusqu'à chez toi pour te rejoindre comme convenu. On doit dîner, regarder un film et dormir ensemble, c'est ce qu'on a défini par message. Mon cœur est léger et mon bonheur évident quand j'entreprends les quelques pas qui me séparent de ton studio. J'entre à l'intérieur sans tarder, grâce à la clé que tu m'as offerte. Je m'assois sur le canapé le temps de patienter et que tu prennes ta douche. J'entends l'eau couler, l'envie de te rejoindre m'effleure l'esprit un moment, mais Ghost me fait vite oublier cette idée. Il me saute dessus, me lèche la joue alors je le caresse avec bonheur. Il retourne ensuite à sa gamelle une fois qu'il m'a bien salué. C'est toi qui prends sa place, qui arrives devant moi avec ton sourire charmeur. Tu m'éblouis, me séduis, quand je constate que ta nudité n'est dissimulée que par cette serviette entourant ton bassin. J'admire la vision de ton torse dénudé, savoure le baiser que tu m'offres. « Oui et toi ? » Je n'ai pas la force d'expliquer davantage, ni de te dire à quel point je suis ravi lorsque je sais que je vais te voir le soir. Mes mains viennent caresser tes pectoraux, tandis que ma tête se relève pour te scruter dans les yeux. « Tu es beau comme ça. » Je me redresse, me mets debout face à toi, en continuant de caresser mon homme. Je viens embrasser ton cou doucement, en respirant ton odeur. « Et tu sens bon. » Je viens m'amuser avec tes bouclettes humides en souriant. Je t'aime comme un fou. J'ai envie d'être coquin, quand je te vois comme ça.

Je te retrouve dans une tenue bien légère. Je n’ai aucune pudeur avec toi, habitué à révéler mes formes à ton regard, et ce, depuis bien des années. La serviette est solidement attachée à ma hanche, ne risque pas de s’échouer sur le sol. « Dure journée au boulot, mais ça va maintenant. Tu es là. » Je déclare dans un petit sourire complice. J’ai le plaisir de sentir tes doigts glisser sur mes pectoraux. Le toucher est délicieux, je ne m’en dérobe pas, te laisse me regarder avec cette lueur enivrante ancrée dans le regard. Je souris à tes propos. Je serai bien tenté de te dire ça également, si j’avais l’opportunité de t’avoir dans cette tenue similaire. Je ne bouge pas, te scrute avec attention et te fait face sans crainte lorsque tu te redresses. Tes caresses sont délicieuses, elles rendent ma peau à fleur de peau. Je savoure l’humidité de tes livres contre mon cou, comme le toucher de tes doigts dans mes bouclettes humides. Mon bras s’enroule autour de ta taille. « Cela t’émoustille ? » Je te taquine en murmurant contre ton oreille avant de rire doucement. Je viens embrasser doucement ton oreille. L’idée n’est pas déplaisante, bien au contraire. « Tu sens le mâle. » Je déclare avec espièglerie avec ce sourire de gosse que je retrouve peu à peu grâce à toi.

« Dure journée au boulot, mais ça va maintenant. Tu es là. » Tu as cette facilité de bouleverser mon coeur et de m'envahir d'une bonne dose de bonheur, avec des mots tellement simples qu'ils seraient d'une banalité affligeante aux yeux des autres. Aux miens, ils sont une douce mélodie à mes oreilles. Je suis content de savoir que ta journée s'illumine grâce à ma présence, tu ne te doutes certainement pas à quel point cela peut réchauffer mon corps. Je contemple ensuite ton corps, surtout ton torse dénudé, que je ne tarde pas à échauffer de mes mains. J'ai envie de te toucher, de te découvrir, encore et encore. On n'arrête pas de faire l'amour depuis quelques semaines, à savourer la symbiose de nos corps. Peu à peu, je retrouve cette envie de te séduire et je m'y essaie avec des actions que j'espère bien sensuelles. J'avais besoin de reprendre confiance en moi, pour cesser d'être hésitant, nerveux et innocent. J'avais besoin que tu m'encourages, que tu me fasses comprendre qu'aucun de mes gestes ne pouvait être tourné au ridicule. Tu étais le partenaire idéal pour que je me laisse emporter. Encore une fois, l'envie ne tarde pas à s'immiscer aux creux de mes entrailles, surtout quand j'imagine ce qui se cache sous ta serviette. J'éveille donc ton corps par de multiples caresses et baisers. « Oui. » Tu sais que j'adore tes courbes exquises et érotiques, depuis bien avant notre mise en couple. Je t'ai toujours admiré, de près ou de loin, même lors des tournages de films pornographiques. Tu dégages quelque chose de tellement fort qu'on est obligés de te regarder. De te dévorer des yeux. C'est ce que je fais encore. « Tu aimes ça... » Ça me fait bizarre à dire que je sens le mâle, mais je veux bien te croire. Surtout quand tu te mets à rire avec tellement d'engouement et de sincérité. Tes traits se tirent par l'amusement, qui te donnent un air malicieux terriblement attendrissant. Je ne peux que fondre et t'aimer de tout mon cœur. Te désirer encore plus quand l'ambiance est si détendue et complice. Alors mes mains continuent leur manœuvre, s'appliquent à caresser ton torse, tes pectoraux, avant de tirer le tissu pour le desserrer et le faire tomber. « Oups. » Mes yeux brillent d'excitation, d'une pointe faussement innocente. Je me mords la lèvre avant de t'embrasser. Ma main droite quant à elle, se loge contre ton membre pour lui prodiguer quelques caresses. C'est parce que je suis certain que tu vas adorer ça que j'ose. J'apprends à avoir de l'audace, à être séducteur.

Je crée le contact entre nos deux corps, afin de rendre l'instant plus intime. Je me laisse charmer par ton esprit légèrement coquin. Je lis clairement dans ta manœuvre, dans la manière que tu as de jouer avec ma chair. L'effet est grisant, enivrant et active mon côté taquin. Notre complicité est réelle, elle s'exprime dans notre échange. Je te sens réceptif à cette étreinte. Ton ambition semble grandir et te rendre plus ambitieux. Ce qui me ravit au plus haut point. Tes actions se précisent, tes doigts glissent sur mes formes, retirent ma serviette pour me laisser nu sous ton regard. « Oups... » Je commente à mon tour dans un sourire complice tandis que je t'invite silencieusement à te montrer plus entreprenant. Ce que tu ne manques pas de faire en venant m'embrasser tout en laissant tes doigts s'emparer de ma virilité. La caresse est délicieuse, je n'omets aucune résistance, savoure la pression de ces doigts contre mon excitation. Je réponds à ton baiser, rend la poigne de mon bras plus ferme. Je te laisse mener la danse, car avide d'en découvrir plus sur les desseins qui se logent dans ton esprit cocasse.

Tu rentres dans mon jeu, répètes ma réaction légèrement innocente avec un sourire complice. Je me sens tout de suite plus à l'aise quand l'ambiance est aussi légère. Tu sais toujours me mettre à confiance quand je suis troublé ou effrayé. Je plonge alors dans ce désir et me laisse emporter par les idées qui se coincent dans ma tête. Je caresse ton membre sans trop d'hésitation, sans réfléchir. Je ne pense pas à ce que j'entreprends, sinon je panique. C'est quand même difficile de prendre les devants devant un corps pareil - devant tes yeux clairs qui m'hypnotisent. Ton contact de ma main avec ta queue est grisant, je le savoure sans me faire prier. Je gémis contre ta bouche, entre deux baisers, parce que ça m'excite de te sentir dur contre ma paume. Mon corps s'enflamme, mes reins brûlent de désir pour toi. J'ai profondément envie de te plaire, de te faire du bien. De te séduire. Alors je te scrute avec une pointe de gêne, comme pour chercher un peu de courage, avant de m'abaisser à genoux au sol. Je glisse ton sexe entre mes lèvres, sans m'arrêter de te regarder. Je ne cherche pas à être pervers, juste à te faire plaisir. A te procurer l'extase. Je suis quand même terriblement nerveux. C'est rare que j'entreprenne une fellation sans me cacher.

Je t'invite à poursuivre sans réellement le faire. Je cherche à te mettre en confiance, que tu abandonne ce sentiment de nervosité, qui t'empêche souvent d'oser. J'ai envie de découvrir l'homme audacieux qui sommeille en toi. Je te laisse prendre les commandes, car c'est ce que je désire au fond de mes tripes. Je veux découvrir l'homme ambitieux qui sommeille sous cette attitude si douce. Je veux voir mon homme devenir plus expert et confiant. Cela m'excite. Cela se sent dans le contact ferme de ma virilité qui se gorge de désir sous tes actions. Tu l'es tout autant à première vu puisque tu gémis en accord avec les miens. Mon souffle est chaud et je te regarde avec intensité. Je sens ta gêne, mais sourit juste pour te mettre en confiance, avec douceur. Ce qui semble te détendre et t'incite à te montrer plus gourmand. Ton corps se dérobe de mon emprise. Tu glisses à mes pieds avec une idée précise en tête. Une qui me fera perdre la tête tant je suis sensible à ce genre de préliminaires. Je savoure la moiteur de tes lèvres, de ta bouche autour de mon virilité embrasée. Mon regard se loge dans le tien tandis que mes doigts se logent dans ta nuque, tes cheveux bruns. Je t'invite à poursuivre car cela m'excite cruellement. Je veux sentir ta bouche plus gourmande, gémit lorsque je sens ta langue participer à la danse. Je bande de manière ferme, laisse se plaisir envahir mes reins. C'est délicieux et je ne te le cache pas, pour que tu puisses te délecter de l'ivresse que tu me procures plus facilement, jour après jour.

J'essaye de reprendre confiance, d'être ambitieux et audacieux lorsque j'ai l'opportunité - et surtout le plaisir- d'avoir ton corps nu entre mes doigts. Je le caresse immanquablement, tant l'idée de le toucher me grise la peau. Je me montre entreprenant et savoure la taille imposante de ton sexe gonflé contre ma paume. Avant de la savourer de ma bouche. A genoux devant toi, je laisse ton membre s'immiscer au creux de mes lèvres. Je savoure tes gémissements, qui m'incitent à glisser ma langue contre ta verge. Je m'applique dans cette action sensuelle, reprends mon souffle un instant. "Je crois que tu devras te redoucher." Je commente en souriant, sachant que tu t'en fiches. Je reprends ensuite mon action, sans arrêter de te regarder. J'aime voir tes yeux briller d'extase, sentir ton corps au bord de l'explosion à cause de moi. Quand je sens que tu vas exploser, je me relève et termine ma manoeuvre avec ma main. Je n'aime pas avaler, je préfère laisser ton plaisir s'écouler contre mes doigts. Je termine de te caresser en t'embrassant. J'espère que le goût de mes lèvres ne te déplaira pas.

J'aime l'audace dont tu fais preuve à cet instant. Il enchante mes sens et rend mon excitation que d'autant plus exaltante. Je savoure la pression de tes lèvres, de ta langue sur ma virilité tendue. C'est un délice dont je ne me prive pas tout en te détaillant avec fébrilité. J'aime lorsque tes pulsions te conduisent vers ce point régisseur de mon anatomie. La manière dont tu me fixes participe à l'effusion de mes sens. Je me laisse happer par cette chaleur qui m'envahit avec violence. Ma main caresse tes cheveux, je les glisse dans ta nuque, gémit sans retenu. Je t'incite à poursuivre cette sucrerie dont je me délecte. Je souris à tes propos, le regard  complice. L'excitation s'accentue seconde après seconde et mes gémissements se font plus rauques, plus puissants. Putain, que c'est bon ! Je suis au bord de l'explosion lorsque je te sens relâcher ma virilité pour retrouver ma bouche. Le goût est prononcée, empreint de la saveur naturelle de mon bas ventre. Ta main retrouve mon membre, reprend ses mouvements pour m'emmener vers l'extase et je me laisse totalement dompté. Notre baiser devient plus vorace, au point que je grogne contre tes lèvres alors que ma main jusqu'alors sage vient se poser sur ton membre tout aussi chaud, non loin du mien. Je savoure sa fermeté contre le tissu, le caresse de la paume de la main avant de la glisser sous ta ceinture, ton jean. Je te sens réceptif et ça suffit à me faire exploser entre tes doigts. Je jouis naturellement contre ta bouche, laisse mon regard brillant se plonger dans le tien dans un petit sourire. « C'était délicieux.J'ai le droit de faire la même chose ? » Je te demande dans un sourire complice tandis que mes doigts découvre la chaleur de ta virilité dans un mouvement restreint !

Tu me laisses faire, dominer la situation, en m'encourageant constamment de tes gémissements rauques et profonds. J'entends à quel point mes caresses lascives et humides t'excitent, je le sens aussi, avec ton sexe qui se gonfle peu à peu entre mes lèvres. J'adore te procurer autant d'extase, te faire frissonner, planer. C'est appréciable d'avoir un tel pouvoir sur son homme, je m'en rends compte maintenant. Il n'y a aucune gêne ou honte à avoir, tant que c'est partagé aussi intimement. Tu sais rendre les préliminaires complices, tu me souris quand je te fais une remarque amusée. Je suis bien avec toi. Alors je te le montre en m'appliquant dans mes mouvements de langue, pour rendre les frôlements plus jouissifs. Quand je sens que tu ne vas pas tarder à exploser, je me relève, t'embrasse et termines ton plaisir avec ma main. Tu es bien vite rattrapé par tes pulsions et tu me donnes cette caresse en retour. Tu me touches au-dessus de mon jean, m'envoyant un courant chaud au niveau des reins, avant de te faufiler à l'intérieur de mon boxer. Je gémis quand ta main empoigne ma virilité, et encore plus fort quand tu jouis contre mes doigts. J'adore sentir ton plaisir contre ma paume, mais je m'essuie sur tes pectoraux en souriant. Je suis ravi quand tu me proposes d'accomplir les mêmes gestes effectués, content que tu penses à la panique qui m'envahit parfois. C'est fou comme je pourrais te donner le droit de faire ce que tu veux, quand tu es aussi prévenant et respectueux. Je te souris et approuve ton idée, en baissant mes bas jusqu'au sol. « Oui, tu peux. » Pas d'hésitation, pas d'angoisses. Je serais nu sous tes yeux. Je ne veux plus avoir peur de ton regard, de la nudité, je sais que tu me trouves beau. Sexy.