◊ L'essentiel en quelques mots.■ Nom : Harrison. Beaucoup doivent avoir un sourire amusé à l'entente et à la découverte de ce nom de famille qui fait penser au célèbre et prestigieux, Harrison Ford. Et non, je suis navrée de vous décevoir, mais je ne fais aucunement partie de sa famille, hihi.
■ Prénom : Mes parents, ou davantage mon père, ont très bien réalisé leur devoir en choisissant un prénom qui me plaît et dont je n'échangerais pour rien au monde:
Lauryn.
■ Âge : Trente-cinq ans résument toute la traversée de mon histoire jusqu’à présent. Une traversée que je ne veux pas interrompre pour rejoindre une autre contrée très lointaine et dont je veux, absolument, savourer chaque instant.
■ Lieu de Naissance : Dans l'un des plus beaux pays du monde, l'
Italie.
■ Nationalité : Grâce à mon père, j'ai du sang
italien et
canadien qui coule dans mes veines, ma mère étant une pure
américaine de souche.
■ Occupation : Fût un temps où j'ai enchaîné les petits boulots pour subvenir au besoin de mon petit frère, mais aujourd'hui, je suis une grande
journaliste de renommée.
■ Statut Civil : Le
célibat est le statut qui me poursuit depuis presque huit ans à présent. Je ne recherche pas spécialement à me trouver quelqu'un et à m'engager. Néanmoins, mon coeur reste ouvert et libre à lui à jeter son admiration, je suivrais son désir si je le veux.
■ Orientation Sexuelle : Je peux totalement dire que je suis hétérosexuelle. Certainement une grande gourmande de la gente masculine.
◊ Les petits détails croustillants.■ Les Anecdotes.の La nuit tombait ce jour-là. Je me souviendrais comme si cet « évènement » s’est déroulé hier. Avec papa et mon petit frère, nous avions décidé de faire une petite promenade en voiture afin de nous aérer l’esprit et de profiter de cet instant pour nous trouver. J’avais douze ans, mon frère, 7 ans. La route était longue et papa avait pris la décision de faire un arrêt au sein d’une épicerie pour prendre des provisions avant de poursuivre la route. Traverser chaque rayon, remplir le panier de certains articles et l’avancée vers la caisse se faisait plus imminente que jamais. Sauf qu’en arrivant à mi-chemin, ce sont des cris qui se font entendre, mais aussi la voix de cet homme qui criait auprès du vendeur de lui donner tout l’argent de sa caisse. Mon père, un agent qui travaille au F.B.I., a voulu prendre les choses en main. Il a décidé de tout mener d’une main de maître et d’utiliser son expérience, son expertise pour calmer le malfrat et éviter qu’il n’y ait des blessés. Nous demandant de ne pas faire de bruit et de nous cacher, il s’avance, se présente, montre sa plaque et énonce rapidement son souhait. Durant les premières minutes, l’homme semble être convaincu par les dires de papa et une ouverture, un espoir pointe le bout de son nez. Sauf que, rapidement, sans raison apparente, l’individu perd la tête et devient fou. A ce moment-là, je ne faisais pas attention aux paroles qui pouvaient se dire. Je me préoccupais de mon petit frère que je me devais de protéger au maximum. Mes mains étaient posées sur ses oreilles pour qu’il n’entende rien. J’étais paniquée. Je le berçais. J’avais les larmes aux yeux. J’avais très peur pour papa, je n’avais aucune envie de le perdre. Puis, tout est allé très vite. Un, deux, trois coups de feu. Puis, plus rien du tout… Et, à la seconde d’après, ce sont les brouhahas des forces de l’ordre qui se font entendre. Un agent qui arrive vers nous, s’agenouille et nous annonce un : « Je suis désolé. » Il ne m’en a pas fallu longtemps pour comprendre. Les larmes s’accumulent. Une seule pensée : la haine. Le déni le plus total. Une nuit horrible et dont je me souviendrais toute ma vie…
の Orphelins. Abandonnés. Sans réellement le vouloir, j’avais voulu à mon père d’avoir voulu jouer les super-héros et de se trouver invincible. Je lui en voulais de n’avoir pas eu la force nécessaire de survivre à ses blessures alors que le meurtrier avait réussi à s’en sortir. Mais pour le bien-être de mon frère, je me devais d’avoir la tête haute et j’ai dû me montrer indépendante, responsable assez tôt. Il faut savoir que notre mère nous avait laissé dès la naissance de James et a préféré mener une vie « normale », sans « encombre » avec son amant. Evidemment, sachant qu’elle était toujours vivante, les services sociaux ont essayé de prendre contact avec elle pour qu’elle puisse nous prendre sous son aile. Je ne fus pas surprise qu’ils n’aient pas réussi à obtenir une réponse de sa part. J’avais été déçue. J’aurai aimé pouvoir mieux la connaître, tout comme mon frère l’aurait souhaité. Bien que nous eussions été recueillis par une charmante et adorable famille, je voulais, expressément, prendre soin, moi-même, de James. Il était perdu. Il ne se sentait pas à sa place dans cette nouvelle famille. Désormais, j’avais été son seul pilier à qui il pouvait se rattacher. En l’instant d’une nuit, j’étais devenue plus qu’une sœur. J’étais devenue une amie, une seconde mère. Il était la prunelle de mes yeux et je me devais de le protéger au maximum. Mais cette nuit… Au lendemain, les médias se sont bien gardés de dire toute la vérité. Mon père s’était comporté comme un héros, et ils l’avaient traité de « dingue », de « fou », pour s’être confronté seul à un tel individu. Juste pour cette raison, et dans un sens pour pouvoir le venger, c’est à ce moment-là que j’ai pris la décision de quelles études intéressantes et passionnantes je pourrais étudier. Le journalisme. Et apporter aux yeux du monde que papa était un homme extraordinaire et qu’il avait mis sa vie en danger pour protéger les personnes qu’il aimait, quoi qu’il en puisse en coûter…
の Lui. Un jeune homme respectueux, aimant et adorable à souhait. Un être sur lequel je pouvais compter et qui m’apportait tout ce dont je pouvais avoir besoin. Mon premier amour. Le premier flirt. Le premier baiser. Une rencontre effectuée à l’école de journalisme. Une rencontre qui fera toujours partie de mes plus précieux. Dès le premier regard, je suis tombée sous son charme. Je suis tombée, à vrai dire, follement amoureuse de lui, en réalité. Mais, je ne lui ai pas divulgué mes sentiments. Ce fut après quelques rencontres, après quelques sorties en toute amitié, mais ce fut surtout en me ramenant chez moi que nos regards se sont croisés. Mon cœur s’était, durant quelques secondes, arrêté de battre. Il s’était rapproché, avait posé ses douces mains masculines contre mes deux joues. Désormais, seuls quelques centimètres nous séparaient. Un baiser tendre, doux, sucré nait entre nos lèvres. Et depuis cette approche, ce partage, nous nous quittions quasiment plus ! Sauf que, mon cœur, mes envies, commençaient à flancher et à douter. Non pas de l’amour ressenti pour lui, mais du plaisir que j’éprouvais à regarder les courbes d’autres femmes. Bien entendu, je ne m’en inquiétais pas plus que ça, bien que je me questionnasse tout de même. Je ne laisse pas cette partie m’atteindre et me laisse totalement flirter avec ce nuage de paradis avec mon beau Alan. Néanmoins, un détail a tout gâché entre nous deux. Un détail qui avait son importance. Fût un soir où il n’était pas entré à la maison. Fût un soir où il n’avait pas donné de nouvelles alors que nous nous étions installés ensemble il y a deux semaines. Et c’est à son retour tôt dans la matinée que je découvre, sur le col de sa chemise, une trace de rouge à lèvres, tout comme mon odorat sent l’odeur qu’on a après un ébat sans s’être lavé au préalable. Il sentait aussi l’alcool. Une discussion s’impose. Une discussion qui se voit interrompre par l’irruption de cette demoiselle pulpeuse et incroyablement vulgaire. Larmes aux yeux, c’est en prenant rapidement quelques affaires et que je quitte purement et simplement Alan...
の J’avais fondé tous mes espoirs sur lui. Je pensais pouvoir avoir des enfants de lui, qu’on puisse avoir une maison avec un immense jardin… Tous ces rêves tombent dans un grand fossé et dont aucun fil n’est présent pour une remontée rapide. Depuis ce jour, l’alcool et la gourmandise deviennent mes merveilleux amis.
の La vérité qui éclate au grand jour. Les enquêtes à mener pour informer le public, les lecteurs d’informations concrètes et véridiques. Toutes les activités menant la profession d’une main de maître me plaisent et me séduisent à pénétrer au sein de cette route si spéciale et si intéressante. Devenir journaliste, c’est pouvoir passer des heures entières à effectuer des recherches pour apporter des informations sérieuses et « sincères » aux lecteurs. Etre journaliste, ce n’est pas déformer la vérité pour attirer de l’audience et augmenter sa notoriété. Je suis intègre, intrépide, fonceuse, et je me démène chaque jour à bosser comme si les dernières heures d’une journée étaient les dernières. Combien de fois ne m’est-il pas arrivé de collaborer avec des collègues qui descendent largement la profession et n’en font qu’à leur tête… ? Je ne les compte plus et c’est d’ailleurs pour éviter de côtoyer ce genre de personnages que je travaille seule et m’occupe, moi-même, des scoops qui engendrent la ville. Je vis une véritable passion pour le journalisme et je ne désire pas changer ça ! Et en parlant de scoop, actuellement, une émission de téléréalité m’intrigue. Une émission où des êtres humains, sans aucun don surnaturel, mettent leur vie en danger pour pouvoir sauver la veuve et l’orphelin. Un évènement qui me touche dans un certain sens. Cela me fait penser, étroitement, à mon père et je garde une émotion particulière pour celle-ci. Bien que mon supérieur eût refusé de publier un article en leur nom, je reste à l’affût de la moindre information qui sortirait à leur égard.
■ Les Tocs & Manies.Je suis une adepte des médications à base de plantes naturelles. Le corps n’a pas besoin d’être attaqué par des antibiotiques qui ne vous guérissent pas spécialement. Cependant, attention, car, même si je préfère en user le plus possible, si j’estime qu’il n’y a pas d’autres solutions que d’aller en pharmacie, j’y vais ! Aucune envie d’être malade pendant une durée indéterminée !
の En trente ans, j’ai été « gravement » malade un maximum de deux fois où j’ai dû être hospitalisée pour deux pneumonies. Sinon, j’ai connu des petites grippes, mais rien qui ne me met au total repos.
の Je ne peux pas dire que je sois une experte dans le domaine du culinaire, mais je dois bien admettre que j’aime beaucoup cuisiner pour mes proches (qui ne sont pas tellement énorme en nombre que ça), et tester des pâtisseries nouvelles. Pour cause, j’ai de la chance d’avoir une assez grande cuisine pour pouvoir stocker tout mon matériel à pâtisserie !
の Mes tenues se résument souvent à des tailleurs professionnels, à des pantalons/vestes/chemises classiques, pour le bien de mon travail et de ne pas tomber à court de tenue en milieu de semaine. Néanmoins, je possède, quand même, des robes, des jupes et toute sorte de vêtements qui mettent mes formes harmonieusement en valeur. Je suis coquète et j’aime ça !
の Je consacre, dans ma journée, un maximum de deux heures d’entraînements sportifs. Que ce soit deux heures consécutives et éparpillées dans la journée, je tiens à rester active, même si je suis assise à mon bureau au journal.
の J’ai essayé, une seule fois, de boire du café : plus jamais. Depuis, je suis tombée amoureuse du thé à la menthe et ne bois quasiment que ça.
の Dans ma semaine, surtout le week-end, voire même le dimanche, je m’octroie une bonne séance de piscine pour être en contact avec l’eau qui me permette de me détendre et de me relaxer d’une semaine lourde et chargée. .
の Je ne suis pas pour le maquillage trop prononcé. J’essaie de mettre, au mieux que je peux, le naturel en avant. Maquiller légèrement les yeux, mettre du gloss ou du rouge à lèvres et le tour est joué ! Par contre, je prends bien le temps, le matin, d’appliquer un soin hydratant et nourrissant à mon visage pour qu’il soit doux et lumineux pour le reste de la journée.
の Les smoothies, le thé, l’eau sont mes boissons favorites. Je ne bois que très rarement des boissons gazeuses. Par contre, et le plus ironique dans tout ça, est que j’adore manger des hamburgers et de dévorer un paquet de frites avec une bonne sauce de ketchup. Loin d’être diététique, je le sais, mais puisque je ne prends pas un gramme, je profite des mauvaises choses de la cuisine !
の Je suis une grande fan de Gordon Ramsay. Son langage vulgaire, sa forte personnalité et son talent culinaire sont à couper le souffle. L’un de mes rêves est de pouvoir le rencontrer un jour et si ça venait à se passer… je crois que ce sont des pleurs, et une timidité monstre qui remplaceront mon tempérament de feu.
の Je roule avec une Citroën rouge bordeaux et la voiture que je me suis offerte est juste mon petit bébé dont j’en prends un très grand soin ! Tous les mois, elle a droit à un lavage complet de fond en comble et elle s’en sort toujours plus nouvelle à chaque fois.
の L’adultère, la tromperie sont des actes que je ne peux guère cautionnée. Cela m’est arrivé une seule fois et je ne veux plus connaître ça, cela m’a suffi amplement. Et je ne vous raconte pas dans quel état je me mets si l’une de mes amies ou l’un de mes amis vienne à être à ma place… Un ouragan qui surgit pour remettre les pendules à l’heure et à faire la morale au monstre de la tromperie !
の Je ne tiens pas du tout à l’alcool ! Quand j’en bois, c’est une Lauryn délirante, amusante à souhait qui aime faire le clown devant son petit public attitré. Et, le point positif avec ça, c’est que personne ne peut me droguer pour abuser de la folle Lauryn.
の Les films d’horreur, romantiques, et de comédie sont ma cinématographie favorite ! Mais je ne résigne jamais à regarder des films fantastiques, que du contraire !