Firenze ✘ tu m'a(b)imes, j'en (c)rêve

◊ L'essentiel en quelques mots.

■ Nom : Son nom de famille est loin d’être inconnue, bien au contraire. Les Design, sont une grande famille dont tous les membres font parti du showbuisness et sont sur le devant de la scène, les parents en tête. ■ Prénom : Depuis qu’il vit avec les Design, il porte le prénom Firenze. Plutôt original n’ets-ce pas ? Petite lubie de la maman qui tenait à n’avoir que des prénom en F et complètement décalé. Même si le plus souvent on le surnomme juste Fiz, Firenze aime bien son prénom. Mais avant d’arborer ce prénom atypique, il avait pour prénom Niilo, prénom typique de son pays natal. ■ Âge : La majorité universelle est atteinte, le quart de siècle arrive à grands pas, mais avant, Firenze profite de ses vingt-trois ans avec plus ou moins d’insouciance et surtout beaucoup de désinvolture. ■ Lieu de Naissance : Une jolie capitale scandinave (on ne va pas chipoter) l’a vu naître un certain 26 août 1993 : Helsinki, en Finlande et il n’en garde que quelques vagues souvenirs. ■ Nationalité : de naissance il est Finlandais et il a conservé cette nationalité, même après son adoption, par laquelle est ainsi devenu également Canadien. ■ Occupation : Il aimerait bien pouvoir dire glandeur professionnel, et ce n’est pas complètement faux, vu qu’il n’en fait qu’à sa tête, mais il a bel et bien d’autres activités que flemmarder. Quand il est à peu près motivé, Firenze est danseur, il est notamment l’un des membres fondateur de son crew. Et sinon aussi, pour faire plaisir à papa et maman, enfin surtout à maman, condition sinequanone pour pouvoir danser, poursuivre des études, il a choisi un peu au hasard la sociologie. ■ Statut Civil : Il est bien trop instable pour se caser. Il n’est pas prêt à s’attacher à qui que ce soit, et préfère largement son statut de célibataire. C’est comme il veut, quand il veut et avec qui il veut. Ne pas avoir de compte à rendre, c’est le pied. ■ Orientation Sexuelle : Elles sont toutes belles, belles, belles. Il n’aime qu’elles. Il n’y a rien de tel que les courbes féminines pour s’extasier devant. Il est hétérosexuel, pur et dur. Ça ne lui viendrait même pas à l’esprit d’essayer avec un autre homme, même complètement bourré.

◊ Les petits détails croustillants.

■ Les Anecdotes.

の Très jeune Niilo sait déjà d’où il vient, enfin il connait son passé, son histoire. Il grandit au milieu d’autres enfants comme lui : des orphelins. Curieux, il pose des questions, sans cesse, jusqu’à obtenir les réponses. Enfin il ne fait que demander pourquoi, vu son âge, il ne sait pas encore vraiment bien parler et faire des phrases construites. On lui a dit qu’on ne sait rien de son père et que sa mère était une junkie qui ne pouvait pas s’occuper de lui, c’est pourquoi il a été placé là. On lui a aussi dit que c’était à cause d’elle qu’il était malade et qu’il devait faire attention. Forcément, à même pas trois ans, la réponse était confuse pour lui, et le terme junkie, il ne l’a compris que bien plus tard. Et il n’est pas réellement malade non plus, mais le personnel de l’orphelinat ne savait juste pas comment lui expliquer qu’à cause de toutes les merdes que sa mère prenait durant sa grossesse, il est né dépendant aux drogues dures, à l’alcool, à certains médicaments qui pouvaient faire office de substitution aux drogues. Niilo dès ses premières heures de vie et ce pendant plusieurs très longues semaines, a dû être placé en désintoxication. Petit, il ne savait que pour les médicaments, on lui a bien appris à ne prendre que ce que le médecin lui prescris. Pour lui faciliter la compréhension de tout ça, on lui a simplement dit qu’il était allergique à certains médicaments, et que c’était dangereux pour lui.

の Niilo est un peu sauvage, il aime bien embêter son monde. D’après le psy qui le suit à l’orphelinat, il cherche par ce bais à attirer l’attention sur lui. Mais du coup, les autres gamins ne l’apprécie pas trop, se méfient de lui et le fuient comme la peste. C’est donc un enfant assez solitaire qui cherche à se faire aimer, mais de manière très maladroite. Le miracle a lieu à l’arrivée d’un nouveau-né, Nyko. Il n’a que deux ans Niilo, mais il s’attache à ce petit être en un regard et s’occupe de lui comme un grand frère. Il est en constante demande pour aider les nurses avec le bébé et elles acceptent, trop heureuses de le voir s’impliquer et s’intéresser comme ça. Malheureusement, ça ne dure pas, le petit est adopté deux mois plus tard et plonge Niilo dans encore un peu plus de solitude.

の Très proche de la directrice de l’orphelinat, et de plus en plus à l’écart des autres après le départ de son petit protégé, Niilo devient de plus en plus ingérable, il fait un peu peur à tous les enfants. Il n’est pas méchant, juste très embêtant à vouloir se faire aimer de la mauvaise manière. Son monde est sur le point de s’écrouler une nouvelle fois, la directrice, son seul repère, son pilier, vient de se faire muter. Se rendant bien compte que le laisser là, serait l’enfoncer plus qu’autre chose, elle réussit grâce à quelques contacts à obtenir le droit de l’emmener avec elle dans l’orphelinat dans lequel elle est mutée. Niilo est heureux, il va pouvoir rester avec elle, quitter cet endroit qu’il n’aime pas et en plus, il va voyager et prendre l’avion pour la première fois. Il s’intègre un peu mieux, mais son caractère étant déjà bien forgé, il ne peut s’empêcher de continuer à embêter son monde et à agir ainsi, il ne donne pas non plus envie à de futurs parents de vouloir l’adopter. Elle n’arrive pas vraiment à déceler s’il le fait exprès ou non, mais peu importe, elle veille sur lui, comme s’il était son propre fils. Elle aimerait pouvoir l’adopter, mais elle n’en a pas le droit et secrètement, elle espère qu’il restera là, parce qu’elle aussi s’est attaché à ce petit bonhomme un peu à part.

の Puis l’arrivée d’un petit gamin d’environ deux ans et demi change à nouveau Niilo. Sans vraiment en avoir pleinement conscience, il reconnait le bébé qu’il avait pris sous son aile à l’ancien orphelinat et recommence auprès de lui son rôle de grand frère protecteur. Les deux garçons s’entendent à merveille, ils ne se quittent que rarement et Niilo veille sur le plus jeune, le protégeant des autres à la moindre occasion. Plusieurs mois se passent et voilà qu’un couple semble s’intéresser de près au petit garçon et lui, ce grand frère de cœur s’imagine déjà la séparation arriver et revivre la douleur qu’il avait ressenti la première fois. Il était petit certes, pour avoir un réel souvenir, mais le sentiment d’abandon qu’il a ressenti ce jour là l’a marqué et reste ancré en lui. Il a peur que ça se reproduise, il ne veut pas le perdre encore une fois. Mais contre toute attente, ce couple décide de ne pas les séparer et veulent adopter aussi bien Ferschlin que Firenze -son nouveau prénom-, qui ne le prend pas aussi bien qu’il le devrait. C’est une tête de mule, qui aime bien n’en faire qu’à sa tête et il reste particulièrement méfiant malgré tout. Il est quand même heureux. Non pas parce qu’il est enfin adopté, alors qu’il pensait déjà du haut de ces presque cinq petites années, qu’il ne le serait jamais. Il est surtout heureux parce qu’il ne va pas être séparé de celui qui aujourd’hui se nomme Ferschlin et dont il est toujours extrêmement proche. A eux deux déjà, ils étaient et sont toujours le parfait exemple de ce signifie la famille et de l’esprit de famille qui règne chez les Design… Leur nouvelle famille.

の Il intègre une famille comme jamais il n’aurait pu imaginer en exister. Des parents connus et riches, très riches, une très grande fratrie qui atteindra le nombre de neuf, dont les sept garçons sont tous adoptés. Seules les deux filles, les jumelles sont les filles biologiques des Design, mais il n’y a jamais eu de différence entre elles et eux. Evoluer dans ce nouveau monde, plein de strass, de paillettes, ça lui monte assez vite à la tête. Il s’intègre bien à sa nouvelle famille, mais il n’en oublie pas de jouer le casse-pied régulièrement avec eux -c'est aussi son surnom attitré, chacun à le sien en fonction de son caractère et lui, c'est le casse-pied- C’est son passe-temps favori à vrai dire. Cependant, si lui s’octroie le droit de les emmerder à sa guise, il ne supporte pas que quelqu’un d’autre le fasse et se révèle être très protecteur vis-à-vis de chacun d’eux, même ceux plus âgés que lui. Il est casse-pied Fiz, mais il sait aussi montrer même si c’est de façon maladroite, qu’il les aime et tient à eux.

の Chacun des enfants a une carrière dans le showbiz, carrière gérée par maman. Fiz lui a opté pour la danse. Il a toujours été en mouvement. Il ne sait pas se poser et quand ils lui ont fait essayer cette discipline, c’est là qu’il s’est révélé. Il est plutôt doué, quand il le veut bien. Mais c’est surtout la vie d’artiste qui lui plait le plus. Profiter des avantages, sans les inconvénients, si c’était possible, il ne ferait que ça. Firenze, il est plutôt du genre partisan du moindre effort. Il se sent tellement bien dans cette nouvelle vie, qu’il en oublie les précautions qu’il est censé prendre. Il tombe rapidement, assez jeune en réalité, dans les excès avec l’alcool d’abord, puis des drogues douces pour finir par tester des drogues plus dures. Pré adolescent seulement, il connait déjà sa première cure de désintoxication. Il n’arrive pas à se défaire de son addiction et enchaine les périodes de rechutes et les cures. Resté en contact avec la directrice de l’orphelinat, il décide alors qu’il est dans une période de sobriété, d’aller la voir. Il a besoin d’en savoir un maximum sur sa mère, toute l’histoire, pas seulement ce qu’on raconte à un gamin de trois ans pour satisfaire sa curiosité. C’est comme ça qu’il apprend qu’il était drogué et dépendant à l’alcool avant même de naître. Que c’est pour ça qu’il devait faire attention avec certains médicaments, et qu’il était donc sensible aux autres substances que sa mère prenait durant la grossesse, même s’il avait été sevré. S’est inscrit en lui. C’est lors de cette discussion aussi, que l’idée de créer son propre groupe de danse émerge. Il n’a pas dix-sept ans et se lance dans la recherche des autres membres de son crew baptisé les Wild Foxes. Grâce à cela, pour la première fois depuis sa première addiction, il tient une très longue période sans aucune rechute. C’est une période où il est particulièrement heureux et épanoui. Si bien qu’arrivé à l’heure de la fin du secondaire, il accepte même de suivre des études supérieures pour faire plaisir aux parents, non sans rechigner un peu –beaucoup-, il se doit d’honorer son surnom en toute circonstances. Son choix se portera sur la sociologie, mais seulement parce que les études sont une condition sinequanone pour poursuivre la carrière médiatique.

の Toutes les bonnes choses ont une fin. Firenze fini par replonger malgré tout, il fête sa majorité universelle plus que de raison. Après ce soir là, il retombe dans une lente, très lente chute sans fond. Il devient plus irritable et casse-pied que jamais. Il s’en fou de tout et presque de tout le monde, il n’y a que sa famille qui a encore une semblant d’emprise sur lui et c’est probablement ce qui le maintient en vie. Ô il est doué pour le cacher, il aurait presque pu être acteur comme les parents ou Fedwyn. Il se débrouille pour cacher tout ça, parce qu’il n’a pas envie de les ennuyer avec ses problèmes, qu’il n’a pas non plus envie de parler de sa mère biologique et des raisons qui font qu’il est ce qu’il est. Il reste le casse-pied préféré de la famille, qui peut se montrer très charmant quand il en a envie. Mais depuis près de deux ans et demi, plus aucune cure ne fonctionne, il rechute aussi vite sorti. Il n’a plus envie de rien de faire qu’autre profiter de la vie à fond et dans tous les excès qu’elle peut lui donner. Il prend tout avec la plus grande désinvolture, ce qui agace profondément son monde et lui, ça le fait rire. Même son crew en pâti. Ils sont pourtant sélectionnés pour une célèbre émission de télé-crochet centré sur les danseurs en crew. C’est une énorme chance pour lui et ses danseurs, mais Fiz a beau en être le pilier central, il n’en fait qu’à sa tête, se pointe aux répèt que quand il en a envie, change les mouvements toutes les deux minutes, juste pour le plaisir de les emmerder un peu. Firenze, il agace tout le monde, mais il sait que sans lui, ils ne seront rien, et il en joue, tout comme à la maison. Il a sûrement besoin d’un bon coup de pied au derrière, ou juste de trouver le déclic qui lui donnera l’envie de se reprendre une fois de plus en main. Mais pour le moment, il préfère se contenter de flemmarder, la vie lui convient bien comme ça, peu importe les remarques qu’il se prend.

■ Les Tocs & Manies.
Toujours pour en savoir plus parce que nous sommes très curieux. Dis-nous toutes les petites habitudes qui concernent ton personnage. Tu peux en citer autant que tu le souhaites.

Il fume comme un pompier, il compte pas, mais il doit pas être loin des deux paquets par jours. D’ailleurs, la première chose qu’il fait en se levant, enfin après avoir pissé, c’est de se fumer une petite clope, avant même de prendre son petit-dej’. Impossible pour lui d’avaler quoi que ce soit, s’il n’a pas eu sa cigarette. の C’est un bordélique fini, il laisse tout trainer, une de ses nombreuses manières de faire chier son monde. Surtout ses chaussettes sales, c’est plus marrant. の En parlant de chaussettes, il a une lubie depuis qu’il est tout gamin, c’est de ne mettre que des chaussettes dépareillées. La flemme surtout de chercher les deux qui vont ensemble, puis c’est juste devenue une habitude amusante. の Moins il en fait, mieux il se porte. Firenze trouve toujours une parade pour se soustraire aux tâches qu’il n’a pas envie d’accomplir. の Comme tous les Design, il arbore en plus de tous ces autres nombreux tatouages, les initiales DF qui relie la famille. Le sien a la particularité de se trouver sur sa fesse gauche, le côté du coeur. Sa manière à lui de les emmerder jusqu’au bout, tout en leur disant qu’il les aime. の Autre preuve qu’il tient à eux, le nom de son groupe, les Wild Foxes, fait honneur à l’une de ses sœurs : Foxminc, celle des deux dont il est le plus proche. Il n’avait pas vraiment d’idée, et c’est venu comme ça, parce qu’elle l’a appelé à ce moment-là, et que sur l’écran est apparu « Fox », diminutif par lequel il l’appelle. の Fiz, en plus d’être accro à pas mal de saloperies, il est aussi un addict du tatouage, et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il doit être un peu masochiste sur les bords, car plus que l’art du tatouage, c’est surtout la sensation de l’aiguille qui pénètre la peau qu’il apprécie et qu’il cherche à ressentir à chaque fois qu’il s’en fait un nouveau. の Des deux parents Design, il est plus proche de papa, moins autoritaire, moins directif. Et Fiz, il a clairement un problème avec l’autorité. Mais c’est la directrice de l’orphelinat, qu’il appelle régulièrement quand ça va pas, ou qu’il a besoin d’un conseil et d’un avis extérieur à sa vie actuelle. Elle n’est pas de ce monde, et elle l’aide à avoir encore un tout petit peu les pieds sur Terre. の Eau, thé ou café, il connait pas ou très peu. Il tourne qu’à des trucs bien plus fort, et quand il est en période clean, c’est au jus de fruits qu’il se shoot. Le jus d’ananas étant son préféré. の Il mange très peu, il n’a que très rarement faim. Sûrement une des raisons qu’il est si peu épais. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire avec son mode de vie festif, il n’est pas amateur de malbouffe et préférera une bonne salade composée à un McDo ou un Kebab. の Seul vestige de sa vie en Finlande, une peluche Moomins reçu lors d’un noël. Il l’a conservée durant toutes ces années et il dort même encore avec, enfin quand il n’est pas en charmante compagnie bien évidemment. の Fiz n’a jamais daigné passer son permis et compte constamment sur les autres pour ses déplacements. Les transports en communs, c’est hors de question. の