Hot ) Poussé par l'envie. Tiraillé par la frustration - Felbriel 2

Comme chaque soir, je profite de la solitude de mon appartement miteux pour administrer mon site. Il faut dire qu’il m’assure une rentrée d’argent assez conséquente. Cela m’amuse de voir la somme que certains hommes sont prêts à investir pour pouvoir se rincer l’œil sur les courbes d’un inconnu, d’un homme qui leur permettra de soulager leurs frustrations. Certains me semblent pitoyables, avec leurs corps enveloppés et leurs virilités ridicules. Fort heureusement que je suis maitre du jeu, car si je devais simuler avoir une érection avec certain, il me serait impossible de le faire. J’ai beau être un acteur, je demeure un homme qui est attiré par les belles choses. Pourtant, dans ce lot d’hommes, il y a un qui se démarque. Un homme aux traits masculins, fins et sculptés. Un homme bien en forme, avec une virilité qui me donne cruellement faim. Je dois bien avouer qu’à chaque fois que je vois ce morceau de chair au garde en vous, j’ai une envie impressive de le fondre au creux de ma bouche, de le lécher et le dévorer avec appétit. C’est mon petit secret, mon tabou, ce que je cache dans ma boite de Pandore. Personne n’est au courant de ce site, mais surtout de mon implication dans sa mise en place. Les traits de mon visage sont masqués et je trafique ma voix pour éviter tout rapprochement. Ce site est mon moyen de m’évader, de m’oublier, soulager une frustration qui me taraude les entrailles dans la vie de tous les jours. Mon attirance pour les hommes, il m’est impossible de la tolérer au quotidien. Ma fierté est trop conséquente pour qu’il puisse en être autrement, mais lors de ces sessions chat avec ces hommes et notamment cet homme, je savoure une liberté que je m’interdis : l’idée d’éveiller le désir d’un homme, mais surtout l’ambition d’en être la victime. En conséquence, un sourire amusé orne mes lèvres lorsque je vois son pseudo apparaitre dans la liste des connectés. Je me pince la lèvre en venant boire une gorgée de ma bière. La caméra est positionnée de sorte que mon visage n’apparait pas, mais permet une vue assez dégagée sur mon corps pour aviver les désirs de ces clients. Il demande à être connecté et j’accepte naturellement son invitation. Je dépose ma bière sur la table et m’installe sur le bord de mon lit en simple boxer. « Salut toi ! » Je déclare dans une voix détachée, mais amusée. Je ne m’inquiète pas du ton de ma voix, car je sais qu’un logiciel la modifie en temps réel. « Tu me manquais. » Je susurre en venant relever doucement une de mes cuisses pour mieux me positionner. Je le vois écrire et ses propos m’arrachent un sourire. « Vraiment ? Même quand tu t’es perdu dans les reins d’un autre. Avec un engin pareil, je suis sûr que tu dois les faire geindre de plaisir. » Je dois bien avouer que j’aurai bien envie d’en être victime de ce corps. Je me pince la lèvre. « Toujours prêt à te faire bander et jouir. J’aime voir ta queue se tendre de plaisir à l’idée de s’enfoncer dans ma bouche ou mon cul. Je sais qu’elle en rêve. » Je n’ai aucune retenue dans mes paroles. Je cherche à l’exciter, d’autant plus qu’il m’ordonne de le faire. Je l’observe se caresser sur mon téléviseur qui me sert d’écran. « Continue de te caresser. Imagine que c’est ma bouche qui glisse dans ton cou, ton sternum. Ta peau doit être bien salée. » Je me lèche les lèvres à cette idée. « Tu as baisé aujourd’hui ? Sens-tu le mâle en rut ? Je suis sûr que t’es un mauvais garçon. » Et je glisse mes doigts sur le tissu de mon boxer pour lui montrer l’état dans lequel ça me met. « Une femme ? Un homme ? Les deux peut-être ? » Je le questionne en venant doucement caresser mon membre en dessous du tissu. Je le titille pour qu’il prenne forme en laissant mon regard se perdre sur ses formes. Cet homme m’excite à un point… J’inspire profondément en le regardant se caresser. « J’ai cruellement envie de bouffer tes pectoraux, de laisser mes doigts se perdre sur tes fesses, tes cuisses, mais ce que j’ai vraiment envie, c’est me mettre à tes genoux, te sucer bien profondément. Et si tu me montrais ma sucrerie préférée. » Je désire voir sa virilité tendue par l’effet que mes mots lui procurent. C’est vraiment un spectacle particulièrement exaltant. Je ne me lasse pas de la voir jouir à tous les coups. Surtout qu’il a des gémissements et des râles bien masculins. J’explose à coup sûr.

Le jeu érotique mis en place entre nous deux se lance doucement. Je prends place sur mon lit pour lui offrir une vue, qui saura sans aucun doute titiller ses sens. Je n’ai aucun doute sur l’effet que je lui fais. Cela fait plusieurs mois qu’il se connecte régulièrement pour s’adonner à ces échanges coquins. Et même si je refuse de l’admettre, j’apprécie particulièrement griser ses formes qui me donnent tant envie. C’est mon petit secret, mon jardin d’Eden et face à ses formes cruellement viriles, je me laisse aller contre toute attente à des désirs que je considère comme impurs, dégradants. Je n’ose pas les avouer, y songer, mais il m’arrive parfois de les exprimer de façon verbale lors de ces petits moments. Un moyen pour ma part pour m’en décharger sans subir l’horreur de mes désirs. Tout n’est que jeu de manipulation entre mes désirs et ma raison. Je relâche toute pression. Je ne suis plus Felipe, mais Delicioso Angel, un tout autre homme, sans histoire et qui manipule le désir de ses clients. Et cela fait un bien fou de se délier de toutes ses chaines. Une pure addiction. Je souris à ses propos. Je n’en crois pas un mot, mais le but du jeu est de se duper, de juste s’enflammer, alors je fais le dupe, plonge dans ses belles paroles, bien que je ne peux m’empêcher de jouer avec lui. « Vraiment ? » Je questionne en venant doucement remuer mon bassin. « Qu’est que l’on partage. » Je remonte encore plus ma cuisse, l’écarte légèrement. Je l’allume avec subtilité pour lui offrir un angle de vue qui aiguisera son désir. « A mort. Tu n’as pas idée… » Je le provoque en me pinçant la lèvre. « J’imagine à quel point ça doit être bon d’être baisé par elle. Tu devrais penser à m’enregistrer un moment où tu baises une femme ou un homme, histoire de me montrer comme elle est douée. » Je le pousse au vice, comme le mien m’y entraine. J’avoue que l’idée de voir sa queue plonger dans les reins d’une femme ou d’un homme me parait alléchante. La luxure est mon vice et je ne m’en lasse pas. J’aime voir des queues fourrer des trous, imaginer que c’est la mienne ou que c’est moi qui la reçoit. Un sourire se fige sur mes lèvres. C’est mes petits secrets, bien que ma raison me rappelle à l’ordre. D’autant plus que la sienne me tente vraiment, mais je ne compte pas l’essayer. Cela restera à jamais partie du fantasme, de l’illusion. Et le jeu continue entre nous deux. « Tu es juste un gros pervers. Je suis sûr que tu aimes faire penser aux autres que t’es un homme sage, sensuel, mais en réalité, t’aimes juste la baise, les mots crus, je me trompe ? » Je le provoque de nouveau en écartant ma seconde cuisse. « Je préfère les mauvais garçons, tu as de la chance. J’en suis un. » Une part de vérité s’échappe de mes lèvres. Je ne suis pas prude, bien au contraire. La luxure, je la consomme sans modération, bien qu’en m’y adonnant de façon si profonde, j’en viens à omettre certaines personnes, qui me sont pourtant indispensables. Mes yeux savourent la vision de ses mains qui caressent ses formes. Il a un corps vraiment bandant et mon excitation s’immisce dans mes veines. Je continue d’accroitre la chaleur et tension palpable qui se met entre nos deux corps en attente. Je le vois taper, lit le contenue de ses propos avec délice. J’applique mes doigts sur les zones qu’il indique. Je souris en lui laissant croire que ça me fait un effet dingue. Je soupire légèrement pour accroitre son excitation en me caressant. « C’est dommage que tu ne mettes pas le micro. Tu pourrais être encore plus doué avec ta voix et à l’aise. » Je le taquine, car je sais que c’est sa manière à lui de garder contenance dans notre échange, comme le mien est de modifier ma voix, cacher les traits de mon visage. C’est le but du jeu et cela ne me dérange pas, bien que je préfèrerais entendre ses ordres et mots crus sortir de ses lèvres brûlantes de désir. Je ne perds pas une miette de ses caresses, m’efforce de lui donner le change. J’ai envie qu’il m’excite et il me donne ce que je désire. « Elle est encore moite de sa mouille ? » Je questionne avec intérêt. Je me lèche la lèvre. « Cela va être exquis de te sucer, de sentir ton sexe encore chaud par la baise. » Je ne réfléchis pas à mes mots. Ils s’expriment sans retenu, mon esprit ne les analyse pas. C’est un jeu, un moment de liberté que je m’autorise avec un certain contrôle. Il est impossible qu’on se rencontre, encore moins qu’il ne découvre mon identité. Ma main contre ma virilité, je me caresse pour accroitre l’excitation qui me gagne face à toutes ces idées lubriques qui envahissent mon corps. J’inspire profondément et rend mes desseins plus francs. Je l’entend jurer de plaisir. Une belle voix virile, suave, qui grise ma chair. Cela me pousse à aller plus loin. Je veux l’entendre geindre, jurer de plaisir jusqu’à la jouissance. C’est ma mission, mais également mon ambition à cet instant. Résultat pour accroitre son plaisir, je fais tomber mon boxer avec sensualité sur mes formes. Ma virilité s’affiche sous son regard tout comme le reste de mon bassin. Ma queue bien tendue doit lui offrir une vue délicieuse. Je m’avance légèrement dans le champ de vue d’une des caméras sur laquelle je fais basculer ma vidéo. Tout est fait pour offrir une vision exaltante à mes clients. Ils paient pour jouir et se rincer l’œil après tout. En conséquence, il a une vue imprenable sur l’arrête de mon bassin. Ma jambe repliée, je soulève mon bassin pour lui permettre de baver tout en me caressant. Mes doigts glissent sur mon corps nu, retrouvent ma protubérance. Je l’observe sur l’écran, laisse mon désir grandir avec force. « Je sais que tu les aimes, mais pour l’instant, c’est ta queue que j’aspire profondément dans ma bouche. Tu sens la chaleur humide de ma langue s’ajouter à la moiteur de cette rousse ? Elle sent bon ta queue… elle a un gout exquis, mais c’est surtout mon odeur que j’ai envie d’y apposer, alors je la lèche plus fortement, accélère le mouvement de ma bouche. Je ne peux pas m’empêcher de me caresser. » Je l’allume. « Putain, que c’est bon de te sucer. J’aime quand ta queue vient chercher ma bouche. Oh oui, je sais que tu aimes ça quand elle glisse tout au fond de ma gorge. Déhanche-toi. Elle est chaude, plus dure que jamais et putain, que ça m’excite. Tu aimes baiser ma bouche, je le sens dans tes cris, dans tes mouvements de reins. Tu aimes la violer. Avoue que tu veux jouir en elle, que je boive ton jus jusqu’à en avoir plein la bouche. » Et je continue sans me lasser, sans me restreindre en m’enivrant de ses gémissements et râles de plaisir. Je me délecte de ses mouvements érotiques. Je sais au fond de mes tripes que c’est ce que j’aimerai faire : bouffer sa queue et la recevoir, mais à cet instant, rien ne semble me choquer. Je savoure et grogne également de plaisir.

Le jeu de duperie se poursuit entre nous deux, mais cela ne semble pas nous déranger. Il est évident que lui tout autant que moi, que les mots qu’on échange ne sont exprimé que dans le but d’attiser l’intérêt et l’ambition de l’autre. Mon but est de le rendre accro pour qu’il lâche plus de fric en temps de connexion et son but à lui est de trouver une satisfaction à son plaisir qui le contente, et cela passe par ce petit jeu de séduction. Je ne sais pas ce qu’il recherche en se connectant sur mon site, mais il semble y trouver son bonheur. Cela rend le jeu plus torride, pervers entre nous deux. On se cherche et le plaisir est souvent au rendez-vous. Il est l’un des rares hommes à parvenir à me faire jouir durant une de nos sessions, ce qui rend chaque conversation particulièrement grisante. Elles m’offrent un gout de liberté, de décadence que je serai incapable de m’autoriser en dehors de cette pièce. Alors mes pensées lubriques s’expriment sans aucune pudeur. Je laisse mes mots s’échapper, ne songe pas à leur contenu. Je laisse mes fantasmes inavoués se faire un chemin entre mes lèvres pour se révéler et je me laisse enivrer par ses réponses. « En effet, j’ai envie de la voir en pleine action dans un petit cul bien étroit, que tu t’enfonces bien profondément en elle. » Je gémis légèrement en le surjouant. « Cela doit être exquis à voir. » Je n’en doute pas, car c’est ce que j’aime tellement regarder dans mes films ou dans ceux que je regarde. J’aime observer ces bassins qui s’entrechoquent avec passion à la recherche de la jouissance. C’est cruellement bandant et j’ai envie de voir une vidéo cochonne avec sa queue. Ce qui ne semble vraiment pas lui déplaire de me montrer et le jeu se fait plus coquin. Je le provoque, laisse cette excitation m’envahir les tripes tandis que j’observe ses formes viriles se donner du plaisir. Mon fantasme secret, jamais consommés, juste envisager d’une mille et une façon, plus perverse les unes que les autres. C’est exquis de le voir s’exciter sur mes formes. Son corps me donne envie de le pousser dans les méandres du plaisir et je ne me gêne pas pour user de mots salaces, provocateurs. « Je vois. Cela ne me déplait pas. Dis-moi tous les mots crus que tu veux, dans ce cas. » Et je le chauffe, use de mes formes pour titiller la fournaise qui assaillent ses reins et rend ses gémissements plus conséquents. Je sais qu’il me désire. Cela me donne à la fois un grand pouvoir, mais également une envie de me laisser aller à ses promesses luxuriantes. Je semble trouver le juste équilibre pour me débarrasser de ma fierté, qui en accoutumé me tuerait d’avoir de tels désirs que je trouve indécent. Je laisse ma peau se griser sous la chaleur de mes doigts sur les zones qu’il indique. « Exactement. Cela rendrait le jeu encore plus brûlant. Je suis sûr que tu banderais encore plus de me les dire à haute voix. » Et je continue de le provoquer, car j’y puisse un amusement conséquent. Et l’excitation s’intensifie par les images lubriques qui envahissent mon esprit par ses mots. « Délicieux programme en perspective, tu comptes envahir mes reins de ta queue pour finir ? » Une autre provocation alors que ma virilité se gorge de plaisir. Dans ce fantasme, je ressens l’envie de le sentir au creux de mes reins, envahir mon bassin et me baise, mais je suis certain que c’est également son envie. Je fini par retirer mon boxer pour lui offrir une vue qui saura titiller plus fermement son désir. L’effet est au rendez-vous. Je l’entends jurer. « Elle te plait ? Tu as hâte de la sucer ? » Ma voix demeure toujours aussi suave alors que je modifie l’angle de la caméra pour le faire bander encore plus et mes mots se font plus gourmands, taquins, insolents. Je me caresse en l’observant s’offrir ce plaisir en imaginant que c’est mes lèvres qui dévore sa queue avec appétit. Je m’enivre de ses gémissements. Cela a un gout d’interdit, qui me plait terriblement et je ne m’arrête pas. Aucune pudeur, je désire l’entendre jurer de plaisir et exploser dans la jouissance, voir son soldat laisser échapper ce jus dont la saveur m’est inconnue. Mes mots ont l’effet escompté et sa jouissance est exquise à observer. Je me mords la lèvre pour contenir un gémissement compulsif de s’exprimer. Il me donne cruellement chaud dans cette position, son corps suintant de cette transpiration inévitable. « Tu vas inonder mon cul de ton jus, j’en suis certain. » Ma voix est encore plus chaude, essoufflée tandis que mes doigts se font plus gourmand sur ma virilité. Je brûle de désir. Je suis brûlant, mais je ne ressens aucune gêne à cet instant, me concentre sur la suite de cet échange, sur ses mots qui s’affichent sur mon écran. Ses mots grisent ma peau, je me laisse enivrer à mon tour par les idées salaces qu’il immisce dans mes pensées déraisonnées par la luxure si jouissante. Je ne pense plus à ce que je devrais faire, me laisse gagner par l’ambition qu’il distille avec aisance dans mes veines. Je soulève mon bassin pour lui offrir une vue encore plus exitante, mes reins se déhanche sans aucune pudeur comme si je venais à la rencontre de ta bouche. J’écarte mes cuisses et continue mes caresses dans des gémissements que je simule de moins en moins. La pression dans mon bassin est bien réelle, puissante, déroutante. « Continue. » Je t’ordonne. « Glisse les plus profondément en moi, bouffe ma queue plus profondément, je veux baiser ta bouche comme tu as fait avec la mienne. » Je m’exprime avec plus de franchise alors que mes actions se précisent autour de mon sexe. Je le comprime entre mes doigts, imagine violer sa bouche que j’imagine bien chaude et humide. Mes râles se font plus nombreux lorsque j’imagine ses doigts investir mon bassin. Même si je n’ai aucune idée de la sensation que cela procure, j’imagine qu’elle doit être aussi savoureuse que le plaisir qu’il éprouve d’être masturber. C’est une double sensation merveilleuse qui doit être addictive, mais à laquelle je me refuserais en temps normal par pure vanité, mais la question ne se pose pas et je savoure. J’accélère le mouvement de mes doigts et finit par geindre de plaisir, parcourir ses terres somptueuses que me procure la jouissance. Tout comme mon partenaire, je laisse ce liquide visqueux glisser contre mes doigts, le long de ma protubérance avant de caresser mes aines en laissant mes derniers gémissements s’extirper de mes lèvres. « La vue est exquise ? » Je questionne en écartant plus fermement mes cuisses pour qu’il puisse savourer mon corps soumis à ses yeux d’hommes cupides. J’en profite pour glisser mes doigts humides sur l’intérieur de mes cuisses. « Tu as encore faim ? » Je demande dans un ton amusé, car sa virilité que j’admire dans le champ de caméra est de nouveau au garde à vous. « Je crois qu’elle a encore faim. De mon cul, je suppose ? » Et je le provoque de nouveau en soulevant mon bassin pour qu’il puisse bien voir mes fesses. Cela me fait sourire. Je n’ai aucune pudeur à cet instant, je veux juste me perdre dans cette luxure décadente et c’est cruellement bon, encore mieu. Que le jeu continue…

« Possible. » Je déclare à ses propos. « Cela rendrait les choses plus crues et jouissives, autant pour toi que pour moi. Après tout, me faire du bien est dans tes préoccupations ? » Je souris à mes propos, car j’ai conscience que cet homme devient accro à mes formes au fil de ces entrevues. Au point de passer des heures devant son écran d’ordinateur pour se donner du plaisir solitaire pour une coquette somme, alors qu’il ne doit pas manquer d’opportunités de baiser les reins d’autres personnes. En conséquence, par plaisir malsain, je l’entraine dans cette addiction, joue avec ses pulsions, titille ses désirs par mes paroles et provocations comme par les mouvements érotiques de mes formes. Je sais qu’il désire ardemment les posséder, mais je sais que cela restera que du domaine du fantasme, car en aucun cas, je ne laisserai un homme posséder mes reins. Plutôt crever que de donner ce droit à quiconque. Alors, je m’amuse à le tourmenter de la sorte, de savourer ses formes viriles et excitantes, car je dois bien admettre qu’il est le seul client qui me fasse un tel effet. Je n’ai pas besoin de simuler avec lui. Au contraire, je prends un plaisir cruel à m’enflammer sous ses mots coquins. Mon petit secret enfermé dans une boite de Pandore, qui n’aura jamais l’occasion de s’ouvrir. Ce moment de liberté que je tolère. D’ailleurs, je le laisse griser à son tour mes sens et la jouissance est au rendez-vous. Je la laisse grignoter mes entrailles avec une part de simulation, car ses propos font référence à des sensations qui me sont inconnues, mais les images qui envahissent mon esprit se font de plus en plus précises. Oui, je désire ardemment me fondre dans sa bouche chaude et humide, la violer avec force dans ce plaisir sauvage. Mes paroles n’ont aucune pudeur, elles s’extirpent de mes lèvres avec force, tout comme mes gémissements qui se font plus nombreux et puissants. Dans un râle de plaisir conséquent, mon corps relâche toute pression pour savourer les bienfaits de l’extase. Je jouis sous son regard que j’imagine gourmand vu que sa queue bande de nouveau. En conséquence, je le provoque de nouveau, sans me lasser avant d’attraper un joint pour le glisser entre mes lèvres et je l’allume pour m’embaumer de ses bienfaits. C’est une action devenue naturelle pour moi que je le fais sans réfléchir en lisant les propos de mon client. Je dépose mon joint sur le cendrier située à côté de ma tête, laisse la drogue faire son effet grisant. « Oui, j’en meurs d’envie que tu baisses mon petit cul. Ta belle et grosse queue dans mes reins… L’idée m’excite particulièrement. » Je souris, amusé, sans penser à mes propos. Le but est de lui donner du plaisir et je m’y applique ardemment, sans pudeur. Je lui montre mes reins, la vue érotique du bas de mon corps pour accroitre ses ambitions à mon égard. « Profondément, de façon puissante et virile. Comme tu aimerais me baiser, je suis certain. Tu as envie de voir mon visage se perdre dans le plaisir, ma bouche te gémir de continuer, de me prendre plus profondément et sauvagement, de me faire jouir de nouveau. Tu aimes que je réclame ta queue, c’est ça. Sentir mon corps brûlant de sueur contre ta peau ardente. Avoue que ça te fait bander comme un dingue. » Et la provocation continue pour le faire jouir de nouveau tandis que j’écarte mes cuisses pour déhancher mon bassin et accentuer son excitation. « Va y prends moi. Laisse ta queue prendre mon queue. Glisse bien au fond d’elle. Oui, comme ça. Parfait. » Je le guide comme si je ressentais les sensations de son bassin dans le mien, mais ce qui active mon désir et la saveur de l’étroitesse des bassins que je savoure d’habitude. Emporté par la drogue, je me déhanche comme si je prenais le bassin d’une de mes partenaires et laisse mon sexe s’endiabler face au plaisir qui le gagne. « Continue. Plus fort. Plus profondément. » Je gémis comme j’aimerai qu’une femme me réclame, mais imagine également la jouissance qu’une queue dans mes reins pourraient me procurer et j’avoue que l’effet est très grisant. Je suis disposé à me perdre dans les méandres du plaisir pour une seconde fois en compagnie de ce partenaire virtuel et la jouissance est au rendez-vous. Tout comme lui, je laisse mon jus exploser face au plaisir qui me gagne, plus violent que tout à l’heure grâce à la drogue qui s’est immiscée dans mes veines. Je tire une nouvelle latte. « Alors ? Comment étais-je ? » Je demande dans un petit sourire narquois pour obtenir les ressentis de mon client. Je le sens à bout de souffle, vidé de toute énergie et j’aime achever mes partenaires de cette manière. « Tu as bien pris ton pied ? » Je demande pour conclure alors que la drogue m’enivre profondément. Je savoure les bienfaits de mon petit secret.