promesses concrétisées. (kalence #6 - hot)

Je t'accorde une gourmandise sans chercher à obtenir ton consentement, je sais que tu me le gratifieras durant l'extase que je déverserai plus amplement en toi. Il suffit de quelques coups de langue contre le bout de ton sexe pour que tu envahisses la pièce de tes cris et en redemandes. Et je ne me fais pas prier pour poursuivre mes mouvements sensuels le long de ta verge, avec lenteur au début, puis maîtrise et fougue ensuite. Surtout après t'avoir permis de jouir au creux de mes lèvres si ça te chante, mon envie se démontre par des gestes plus vifs, puissants en lascivité. Je veux te faire jouir à un point que tu n'imagines même pas. Et tu exploses au creux de ma bouche, quelques instants qui sont délicieux pour moi. Tu noies mes lèvres, et j'avale sans aucune pudeur, le regard coquin et pénétrant toujours scrutant le tien. Je suçote le bout de ton sexe pour te nettoyer et savourer encore ton membre imposant, me délectant de ce liquide visqueux. Tu as l'air épanoui, émerveillé par mon initiative, tu me complimentes en caressant ma mâchoire, avant de me tirer vers toi. Alors je lâche la pression contre ta virilité et je viens dévorer tes lèvres, même si ton goût s'est imprégné contre ma langue. J'espère que ça ne te dérange pas. « T'sais que j'ai jamais fait ça ? » Avaler. Sucer avec autant de désir et de passion. Avec autant de soumission. Je me suis foutu à tes genoux sans aucune barrière imposée dans mon esprit. Jamais je ne me suis abaissé aux pieds de quelqu'un ; jamais j'ai laissé quiconque envahir ma bouche avec autant de fougue. Je t'ai juste dévoré avec cette extase et passion dans les veines. « Alors j'espère que tu as conscience d'à quel point je te gâte. » Je souris contre ta bouche, avant de continuer de gémir en sentant ta main se guider le long de mon sexe bien gonflé. C'est une véritable jouissance de sentir enfin ta paume entreprendre ces mouvements cupides. Je me mords la lèvre, les paupières légèrement entrouvertes, tant le plaisir est délicieux et enflamme mes reins. C'est un feu incandescent que tu formes au creux de mon ventre, de mon bassin. J'ai envie de te sentir à cet endroit précis. Je parcoure ton cou de mes lèvres, soupirant avec chaleur contre ta peau. Toujours à califourchon contre tes cuisses, je me serre davantage contre toi en approchant ton oreille pour susurrer quelques mots. « Tu veux me prendre en levrette ? ça t'exciterait ? ou compenserait la frustration ressentie aujourd'hui ? » Je la mordille avec sensualité, de manière délicate, passant ma langue contre ton lobe. Si tu savais comme l'excitation est en train de brûler mes reins...

Je savoure cette extase que tu as provoqué au creux de mes reins. Elle est exquise, délicieuse, enivrante et la vision que tu m’offres exciter n’importe quel homme. Tu es cruellement désirable et je ne manque pas de t’en faire part. En contrepartie, j’ai droit à des aveux troublants. Cela ne me surprend pas tellement. Tu n’as jamais été un homme soumis au désir de ses amants, mais je suis vraiment satisfait d’être celui à qui tu donnes un tel droit, car c’est juste incroyablement bandant. Je souris à tes propos tout en venant titiller ton envie bien avivée par toute cette luxure instaurée entre nous. J’aime te sentir si ferme contre la paume brûlante de ma main. Je te sens couler dans le plaisir que mes caresses et baisers te procurent. Tu tâches de provoquer de nouveau mon ambition et je dois bien admettre que ce n’est pas difficile. J’aime te sentir frémir et gémir de cette manière entre mes doigts. Cela me donne cruellement envie de me fondre au creux de tes reins et l’idée que tu me soumets, avive toute particulièrement mes desseins cupides. Je te souris, laisse échapper un rire fin. « Avec plaisir. J’adore cette position et avec toi, cela ne pourra qu’être exquis. » Je souffle contre tes lèvres que je dévore dans un baiser gourmand et sensuel. « Allons dans la chambre que je te prépare. J’ai tout là-bas. » J’ai appris ma leçon, je sais que je dois te préparer pour espérer te conduire dans ses contrées paradisiaques et une fois arrivés dans le confinement de ma chambre, je m’applique à te détendre pour enfin savourer la chaleur de tes reins contre ma queue jusqu’à atteindre de nouveau le plaisir à sa plus belle apogée.