promesses concrétisées. (kalence #6 - hot)

Je t'ai promis une soirée savoureuse, de vivre une excitation forte. Et je compte bien te combler de plaisir pour effacer les traces de frustration qui ont dû t'envahir toute la journée. Je veux te faire bander, jouir, apaiser tes nerfs tendus depuis ce matin. Alors je te rejoins dans ton appartement et te retrouve assis sur le canapé comme à ton habitude. Tu m'attendais. Tu dois être aussi impatient que moi, si ce n'est plus. Je me positionne à côté de toi, pose une main contre ta cuisse. "Tu regardes un porno pour te mettre dans l'ambiance ?" Je te taquine en souriant. Je te nargue. Je pose ma tête contre ton épaule, puis embrasse ta nuque. "J'avais hâte d'arriver."

J'attends cette soirée avec impatience. Les promesses que tu m'as faites hantent mes pensées. Elles ne se font pas sages et je dois bien avouer que je me soulage comme je peux en matant un porno de ma collection. J'observe ces corps qui se touchent, imaginant que c'est tes formes qui sont sous mes yeux. Tu finis par arriver, mais je ne m'arrête pas dans mon visionnage. Je souris à ta remarque. "En effet, mais je préfère la vision de ton corps à choisir." Je m'en en te laissant prendre à mes côtés. "Et moi donc. Tu as intérêt à tenir ta promesse." Je te taquine à mon tour dans un sourire taquin. Je suis curieux de voir ce que tu me réserves.

Tu regardes un porno et ça me fait doucement rire. Ça ne me gêne pas le moins du monde d'observer leurs coups de reins, et les gros plans sur leurs virilités avec toi. Au contraire ça peut rendre l'ambiance plus excitante que je ne l'avais imaginée. "Elle arrive ne t'inquiète pas." Je compte bien me dénuder devant tes yeux intéressés. Ma main caresse ta cuisse tandis que je viens déposer des baisers contre ta nuque. "Tu ne seras pas déçu." Je te souris avant de me relever pour me poser debout entre tes jambes. Au rythme des gémissements des acteurs, je me déshabille sensuellement, lentement, devant tes yeux ébahis. Je te scrute dans les yeux, prenant de l'assurance. Je balance légèrement mes hanches, t'accordant une danse lascive.

Tu ne sembles pas gêné par les images qui s'affiche sur l'écran de la télévision. Elles sont emplis de luxure, laissent entrevoir des corps qui se dévorent avec appétit. À peine arrivé, tu me taquines et j'en fais de meme. La soirée que tu m'as promise attise mon intérêt et je t'en fais part. Tu envoûtes mes sens par la pression de tes doigts, de tes lèvres. Tu me promets que je ne serai pas déçu. Je souris. "Je suis curieux de voir ça. " Je te provoques de nouveau, mon regard clair et pénétrant se plonge dans le tien tandis que tu prends place entre mes cuisses. Tu mets en place un striptease en retirant tes affaires sous mon regard intéressé. Le spectacle est succulent, je te regarde faire avec satisfaction, mon excitation s'intensifie grâce aux gémissements de ses acteurs qui rythment tes actions. Mes prunelles glissent sur ton torse, tes hanches. Je me mords la lèvre. "continue... " Je t'ordonne impatient de la suite.

Tu me provoques pour que je fasse mes preuves, que je t'impressionne. J'espère y arriver en étant très gourmand et extraverti pour une fois. Je suis prêt à te montrer tous mes talents, à faire preuve de détermination et sensualité pour envelopper tes sens et te conduire vers l'extase. Je veux te faire jouir comme jamais un homme n'a réussi à le faire. Je veux être le premier qui te fasse atteindre le véritable orgasme. Alors je me place devant toi, te cachant la télévision des yeux ; mais les sons et bestialité qui animent les garçons en pleine action résonnent encore à travers la pièce. Je m'en sers pour rythmer mes mouvements, prenant leur cadence pour paraître plus sensuel. Je n'ai jamais fait de strip-tease dans le but de séduire quelqu'un, de le faire tournoyer de désir. Juste par amusement. Alors je m'applique dans des mouvements de bassin, me dénudant avec lenteur pour que tu profites au maximum du spectacle. Tu me réclames de continuer alors j'obéis sagement. Je t'accorde ce que tu veux, je t'observe en même temps dans les yeux. Je te lance des regards explicites, pleins de désir, pour que tu craques avant moi. Je balance les fesses sous tes yeux, te tournant désormais le dos. Puis je titille tes reins en faisant glisser mon boxer à la moitié des fesses, tout doucement, avant de le faire tomber au sol. Je suis nu sous tes yeux, tu peux faire ce que tu veux de moi - ou me réclamer tout ce que tu souhaites.

Tu es sexy, c’est indéniable. Je trouve tes formes alléchantes, excitantes et délicieuses. Je ne me lasse pas de laisser mon regard glisser sur ce corps que tu mets à nu juste pour moi. Tu m’excites par cette vision appréciable, intensifié par les gémissements et mouvements de bassins qui s’extirpent de mon écran de télévision. Je t’observe avec intérêt. Mes prunelles claires sondent tes formes et t’ordonnent tout comme mes mots de poursuivre. J’ai envie de bander sous ton regard, que tu vois l’effet dingue que cette danse lascive provoque en moi. En amant docile et avide de poursuivre ce petit jeu coquin que tu m’as promis, tu poursuis tes mouvements. Tu les rends plus charmeurs, excitants et taquins. Tu te retournes, mets sous mes yeux avides ton petit cul que je meurs d’envie de dévorer, de posséder de mes lèvres, de ma queue. Il faut dire que les râles de plaisirs qui s’extirpent du film ne peuvent en aucun cas amoindrir cet appétit. J’ai envie d’entendre tes gémissements, tes râles de plaisir. Je me mords la lèvre face au désir qui me consume. Mes yeux glissent sur les formes musclées et arrondies de tes fesses, que tu me montres en faisant tomber le tissu sous mon nez. Je savoure la vision, laisse mes doigts glisser sur leurs courbes, les frôler avec douceur, mais envie. « Beau petit cul. » Je murmure en venant glisser mes mains sur tes aines pour rapprocher tes fesses de ma bouche. Je dépose mes lèvres contre elles, engouffre mon visage en leur sein pour savourer cette partie. Je ne réfléchis pas à mon action, j’en meurs juste d’envie et m’applique à taquiner cette partie de ma bouche, de ma langue en caressant tes cuisses, tes aines. Je sens que tu es surpris par mon action, que cela titille ton désir alors ma bouche remonte à la naissance de tes reins, de ton dos. Ma langue glisse le long de ta peau avant que je m’éloigne pour défaire la ceinture de mon jean pour te donner une vue sur ma virilité charmée par tes actions. Elle forme une bosse conséquente que j’expose sans aucune gêne. « Regarde dans l’état que tu me mets, Terry. » Je te souffle dans une voix chaude en venant caresser mon sexe à travers le tissu. Je suis certain que la vision va t’exciter. On n’a pas besoin d’être timide entre nous. On cherche juste à activer le plaisir de l’autre et c’est très addictif.

Je me dénude devant tes yeux intéressés, je ne suis absolument pas pudique. Tu m'as aperçu trente fois à poil, même si aujourd'hui notre échange est plus sensuel, fougueux. Cette fois, tu me désires au plus profond de tes tripes. Je tente d'enflammer tes reins comme les miens ont chaud, d'intensifier l'excitation qui s'agite en toi. Je veux te faire jouir, gémir, contempler ton désir. Alors je balance mes hanches, je me tourne pour que tu aies une vision sur mes fesses. Tu apprécies cette initiative, puisque tes mains rejoignent ma peau, dessinent les contours rebondis de mon petit cul. Tu le complimentes même avec un beau sourire. Je sais que tu n'arrêtes pas de le mater, que tu as les yeux rivés dessus, en songeant à ce que tu vas bien pouvoir en faire. J'ai des yeux derrière la tête quand ça te concerne, je te connais sur le bout des doigts. Et tu me donnes raison lorsque ta main se pose contre le bas de mon ventre pour me tirer vers toi. Mes fesses sont à proximité de ton visage, et ta bouche vient les savourer, les découvrir. Ta langue s'immisce au creux de mes fesses, titille mon intimité avec délice. Tes mouvements sont surprenants, mes yeux se figent un instant devant ton audace. Mais le plaisir prend rapidement place aux creux de mes tripes, à tel point que je laisse quelques soupirs profonds s'échapper de mes lèvres. Et j'en redemande en tendant le bassin vers toi. Je veux sentir ta langue, encore et encore. Tu t'arrêtes pourtant, ta langue longeant les autres parties de mon corps, remontant jusqu'à mon dos. C'est exquis de sentir ce contact humide parcourir mes courbes. Tu me fais frissonner, vibrer. Pourtant tu t'éloignes de moi, alors étonné, je pivote la tête pour apercevoir tes gestes. Tu déboutonnes ton jean pour le faire glisser contre tes cuisses et libérer ta virilité gonflée. Tu me fais un commentaire salace, je te souris. « J'aime ça. J'ai encore plus envie de te sucer. » Elle est conséquente, et te voir la caresser de ta paume, ça me tue d'envie. A tel point que je n'attends pas ton accord ni un ordre, et que je me tourne et m'abaisse à ton niveau. Je m'agenouille entre tes jambes, me penche en avant pour recouvrir ton sexe de mes lèvres. Je te regarde en même temps, l'engouement s'incrustant en moi.

Cette ambiance érotique dans laquelle nous sommes plongés me donne terriblement faim de toi. Je ne peux résister à l’appétit que ton beau cul provoque au creux de mon bassin. Je n’ai aucune envie d’être sage. D’autant plus que tu m’as promises une nuit inoubliable. Alors, je me lâche sans pudeur, je m’approprie ce corps qui me donne cruellement envie et dont tu m’as tellement privé aujourd’hui. C’est dangereux de m’allumer sans me contenter et tu sembles l’entrevoir par ce contact surprenant de ma part. Je n’y vais pas par quatre chemins, je savoure la chaleur de ta peau comme de tes formes qui m’excites cruellement. Je sais que tu y es sensible. Ton corps savoure ce contact affriolant et tu viens même le réclamer. Cela te rend encore plus délicieux à mes yeux. En conséquence, je me laisse gagner par le désir. Je le laisse griser ma peau, mes pensées, mais surtout ma virilité. Elle se tend contre le tissu de mon pantalon et je ne me gêne pas de te priver de mes taquineries pour lui offrir un semblant de liberté. C’est l’effet que tu as et je te laisse l’observer, malgré la légère frustration que je perçois dans tes prunelles. Je me caresse sous ton regard intéressé, laisse ma paume rendre la taille de ma virilité plus conséquence. Tu savoures le spectacle et tes paroles activent d’autant plus mon ambition à te sujet. Putain, que tu es érotique et les gémissements qui s’échappent de mon écran rend la scène plus exaltante, mais surtout ce sourire coquin qui s’épanche sur tes lèvres. Ton commentaire me fait mordre ma lèvre. « L’idée la tente carrément. » Depuis notre rencontre au magasin, j’en meurs d’envie. On avait si bien commencé, que je savoure la vision que tu m’offre. Ton corps nu qui se met à mes genoux, ta bouche qui vient envelopper ma protubérance que je lâche pour te laisser devenir son maitre, ton regard qui s’ancre au mien, sont autant d’éléments qui me font cruellement bander au creux de ta bouche. Je soupire de plaisir, lèche ma lèvre comme si je me sentais assoiffé. « Putain, Terry. » Ma voix est suave alors que je ne quitte pas ton regard. Ma main libre frôle ta joue, glisse dans ta nuque et tes cheveux pour t’ordonner de poursuivre parce que c’est exquis. Tu envoutes ma virilité. Tes coups de langues la rendent si ferme et cela n’a rien à voir avec les images érotiques qui défilent derrière nous. C’est toi qui en est responsable et je savoure en partageant avec toi. Je ne me retiens pas, je veux que tu bandes juste en voyant l’effet que tu me donnes. Je sais que l’idée te passionne tout autant.

Je me mords la lèvre tant le plaisir est cruel lorsque ta main se glisse contre ta virilité pour te prodiguer quelques caresses. Tu te touches sans répit, libérant ton sexe de ton jean pour te procurer un plaisir sans nom. J'ai pourtant envie d'être celui qui vient titiller ton désir, le creux de tes reins. J'ai envie de m'occuper de toi sans que tu n'aies besoin de te faire du bien en solitaire. Alors je m'accroupis à genoux devant toi et recouvre ton sexe de ma bouche gourmande. J'entreprends des vas-et-viens délicieux autant pour moi que pour toi. Je ne cesse de t'observer, de me délecter de tes traits tirés par l'extase, tout en m'appliquant dans des coups de langue maîtrisés. Mon regard est rempli de désir, celui que je te lance en permanence est vraiment coquin, pénétrant. Je te sens gonfler entre mes lèvres, je t'entends soupirer tout ton plaisir, mêlant des cris à ceux de la vidéo pornographique que tu regardes certainement en même temps. Je veux que tu prennes ton pied, alors je relâche la pression contre ton sexe pour te balancer sensuellement : « Tu veux jouir une première fois au creux de mes lèvres ? Tu peux. » J'ai bien l'intention de te recevoir au creux de mes fesses, de te sentir exploser et m'envahir en profondeur. Je frôle le bout de ton épée de ma langue, titillant seulement l'extrémité pour te faire jouir, gémir. Ta main contre ma nuque me pousse à reprendre mes mouvements, lentement, pour faire perdurer le plaisir. Je t'accorde une sucrerie qui dure longtemps, je n'arrêterai pas jusqu'à ce que tu décides de jouir en vérité. Tant pis si mes lèvres s'assèchent, je ne me lasse pas de sentir ta chair se tendre, de te transcender par l'extase. Et je glisse une main contre mon sexe pour me caresser de mon côté, étant trop jouissif de partager cette excitation avec toi.

Ton espièglerie coquine m’amuse comme m’envoute. Je me laisse ensorceler par tes actions intéressées tant tu possèdes cet érotisme qui me fait chavirer. Je me noie dans la lueur taquine de tes prunelles, savoure la vision que tu m’offres sur ton corps nu, qui se soumet à mes désirs tout en m’en faisant prisonnier. Tu es cruellement désirable et mon excitation s’affermit face au bien être que tu me procures. Je t’observe avec attention, me délecte de la chaleur humide de ta langue et de tes lèvres autour de ma virilité gonflée par le plaisir que tout ceci lui procure. Je me laisse posséder par ce plaisir, qui gronde délicieusement en moi. Ma peau s’échauffe, ma respiration s’accélère face au feu que tu provoques au creux de mon bassin. Les bruits de succions de ta bouche se mêlent aux gémissements de ces scènes érotiques qui s’échappent de mon télévision et je dois bien avouer que ça m’excite cruellement. Je plane sous la pression de ta langue qui titille de manière si experte ma virilité. A croire que t’es un dieu dans le domaine de la fellation. Une idée qui ne me déplait absolument pas. Bien au contraire, je me détends avec force et laisse l’ambition grignoter avec force mes reins. Tes mots me font mordre ma lèvre avec satisfaction. Tu me questionnes. « Difficile de dire non à une telle proposition. » Je t’indique dans un sourire complice alors que mes doigts s’immiscent dans ta fine chevelure. Mon corps est en demande de tes actions et tes taquineries ne font qu’accroitre la fournaise qui embrase mon être. Dieu que t’es bandant, Terry. Tu me donnes cruellement chaud et mon souffle s’endiable de plus beau lorsque tu prends mon plaisir prisonnier de tes lèvres gourmandes. Cette sensation m’enivre. C’est un délice et je te pousse à poursuivre par la pression de mes doigts dans ta nuque. Je me laisse embarquer par ce flot de bien être qui déferle au creux de mes reins. L’incendie qui se déclare se fait plus brûlant, dévastateur et rend ma chair cruellement en demande de ta bouche. Je gémis, grogne de plaisir et me laisse totalement posséder par cette extase qui m’envahit avec force. Que c’est bon, putain ! « Continue. » Je lâche dans une voix troublée par l’extase qui m’envahit. « Comme ça, oui... » Et mon bassin se contracte sans que je ne puisse le contrôler. Cela te permet de voir dans quel état tu es capable de me mettre. Mes reins cherchent tes lèvres, sont cruellement en demande de leurs caresses brûlantes et tout mon être se dirige naturellement vers ses terres paradisiaques que je retrouve dans un râle puissant, profond, presque primaire. Je finis cette course vertigineuse vers l’extase entre tes lèvres où ma jouissance se répand. Mon regard brumeux retrouve le tien et je t’observe déguster ce met qui semble te plaire. « Tu es beau, putain… » Je tâche en frôlant ta mâchoire dans une voix suave. Tu me donnes faim et mon regard demeure particulièrement sombre, intéressé par toi. Je t’invite à te relever, à retrouver la chaleur de mes lèvres et je te vole un baiser lent et sensuel. Je m’enivre de l’odeur luxuriante, qui se dégage de ta peau en demande et mes doigts viennent de nouveau envouter ta protubérance, cruellement excitée. Elle est gonflée, brûlante et en attente de plus de luxure. Et je sais que tout ceci est le commencement d’une longue et puissante danse charnelle entre nos deux êtres en demande de la chair de l’autre. Je meurs d’envie de continuer de te toucher et de te posséder de nouveau. J’ai toujours faim de toi.