[DC] I'm the big boss here (HS).

Feat Richard Madden Tumblr.

Ashton Green

Les citations c'est pour les andouilles #sort.

Principales qualités
Adroit
Solide
Dévoué
Rationnel
Persévérant
Courageux Principaux défauts
Angoissé
Brute
Envieux
Tempétueux
Possessif
Joueur
— Les petits détails croustillants.

◊ Être l'aîné, c'est être le responsable et dès que tu n'as plus été le seul enfant de la famille, tu l'as vite compris. Malgré ton fort caractère, tu as accueilli chaque frère et sœurs avec tout l'amour dont tu étais pourvu. Bien que plus proche de l'une des jumelles qui constitue cette petite et simple famille, tu t'obstinais à protéger tout le monde. Mais tu n'étais qu'un enfant, puis un adolescent. Tu avais tes défauts et à l'époque, partager était à la fois coutume et souci. Parfois, il t'arrivait de ne plus vouloir donner à tes frères et sœurs, mais recevoir à ton tour. Alors, à ce jour que tu n'oublieras jamais, .tu as fait l'égoïste. Tu en avais envie, de ce jouet, tu le voulais pour toi tout seul, même si Bradley (ton frère cadet) le désirait également. Possessif, tu as pensé que toutes ses tentatives pour attirer ton attention n'étaient que mensonge. Voilà pourquoi, alors que ton jeune frère se noyait, tu continuais de ne pas croire en ses appels à l'aide. Jusqu'à ce que le doute survienne et que tu te retournes. Là, plus de jouet, plus de possession : la protection prit le dessus. Et même si tu y mis tout ton être, Bradley ne revint pas à la vie.
◊ À partir de ce jour, tout changea pour toi. Le regard des camarades de classes, des professeurs, des voisins, de ta famille. Tout le monde te pensait responsable de la mort de Bradley et dès le début, tu compris que c'était vrai. Tu avais agis non pas comme un frère aîné, mais comme un égocentrique. Pourtant, dans toute cette haine qui devint ton quotidien, une personne continua de croire en toi, en ta force de grand frère. Zaharia, la jumelle avec tu te sentais le plus propre, te prit presque sous son aile - du moins, tu le ressentis ainsi. Elle s'obstina à vouloir te parler, à toi le Monstre de la famille. Le meurtrier. Le Tueur. Bref, celui dont on ne doit pas prononcer le nom. Alors que tu pensais être mort avec Bradley et que ton prénom ne serait plus jamais prononcé, Zaharia braqua son regard sur toi et tu repris espoir en l'avenir.
◊ Elle devint ton île, ta bouée, ton radeau sur cette mer hostile. Tu ne jurais plus que par elle et ne rêvais que de sa compagnie. Tu ne survivais à chaque journée, à chaque jugement que pour plonger ton regard dans le sien. Et quand, plus vieux, tu réalisas que tu la voyais plus comme une âme-sœur que comme une simple sœur, tu trouvas ça normal. Elle avait été là depuis le début et jusqu'au bout, tu la voulais pour toujours à tes côtés. Alors, avec beaucoup de courage, tu finis par lui avouer sur cette balançoire que tu éprouvais des sentiments amoureux pour elle, des sentiments beaux bien qu'interdits. Sauf que Zaharia ne le prit pas de cette façon. Quelque chose se rompu en toi ce jour-là, une confiance que tu n'avais plus. Comprenant bien vite que tu lui faisais plus de peine que tu ne lui offrais d'amour, tu te mis à l'éviter sans cesse, au grand bonheur de ta mère et de ton autre sœur. Tu sus que Zaharia n'était pas pour toi, qu'elle ne le serait jamais.
◊ Souffrant mille morts de la voir chaque jour sans pouvoir la toucher, tu finis par prendre le large hors du pays, provoquant le soulagement de toute une famille. Ils étaient bien mieux sans toi, c'était une évidence. Tu te débrouillas pour vivre seul et continuer à t'offrir des études potables avec ton petit salaire de vendeur dans ce tabac-presse. Finalement, las de ta petite vie minable, tu décidas d'exercer un métier dangereux, qui mettrait constamment ta vie en danger et t'aiderais à te sentir vivant. Tu choisis de devenir Démineur et c'est par là que se dirigèrent tes études par la suite.
◊ Malgré ta situation stable depuis plusieurs années dans le Colorado, tu décides, du jour au lendemain, de retourner à Vancouver. Plus exactement, de t'y faire muter. À l'approche de la trentaine, tu ressens le besoin de revenir aux sources et de revoir ceux et celles qui ont prié pour ta mort. Tu veux les regarder en face et leur dire que malgré toutes les bombes qui sont passées entre tes mains, tu es toujours là. Pire que de la mauvaise herbe. Et que même si tu es en tort, tu t'en veux de tout ça. Mais, surtout, tu veux savoir pourquoi Zaharia ne te répond pas. Car oui, dans l'impossibilité de te passer d'elle, tu lui as fait parvenir lettres, mails et messages vocaux par centaines et milliers. Tu veux la revoir, tu veux savoir si ce que tu ressentais autrefois pour ta petite sœur est toujours là et si, oui ou non, tu dois te faire sauter de suite pour pensée interdite.