Mets une petite citation ici pour représenter ton personnage.
nom : Rutherford. prénom : Wyatt. âge : vingt-six ans. lieu de naissance : Nouvelle-Orléans, Louisiane, États-Unis. nationalité : Américaine et Canadienne, j'ai la double nationalité. occupation : Étudiant en master de psychologie légale, musicien et chanteur à mes heures perdues.. statut civil : Célibataire. orientation sexuelle : Hétérosexuel.
— Les petits détails croustillants.
◊ La Nouvelle-Orléans, berceau du rhythm and blue, Big Easy comme on l'appelle. Oui, c'est bien là-bas où j'ai vu le jour. L’aîné d'une fratrie de trois enfants. J'ai passé mon enfance dans le vieux carré français, vous savez, ce même quartier où autrefois, on pouvait voir beaucoup de personne parler français. Ma mère descend d'une famille d'ancien immigré français et elle a gardé en son cœur les origines de sa famille, ainsi que les vieilles traditions, on était donc obligé d'apprendre le français dans la famille. Mon père quant à lui, c'était un flic de la Criminelle, un vrai de vrai, jusqu'à la moelle. Il sauva ma mère de la prostitution dans la prostitution pour se marier avec elle quelques années plus tard. On fut donc élevé dans un monde assez étrange, ma mère, passionnée de danse et de musique, elle m'a aussitôt transmis sa passion pour le R’n’B.Tandis que mon père, c'était la sévérité incarné et avec lui ça devait filer droit, sinon on se prenait une baffe. ◊ Ce qui est drôle quand on grandit dans une famille déchiré entre deux familles traditionnelles, c'est que les enfants, sont souvent pris entre deux feux. Chez moi, cependant, mes parents faisaient de leur mieux pour respecter nos propres envies et décisions. C'est comme ça, qu'on se retrouvait avec ma sœur et mon frère, déterminé à suivre les traces de mon père et donc à rentrer dans la police une fois adulte, puis moi, le vilain canard de la famille, comme m'appelait mon géniteur. Je voulais vivre de la musique. Je trouvais ce monde merveilleux, émouvant et plein de couleur. C'est donc très jeune qu'on m'initia à différents instruments. La guitare, le piano et l'harmonica pour ne citer qu'eux. Au lieu de suivre un cursus normal comme tous les enfants, mes parents se mirent d'accord pour m'envoyer dans un conservatoire pour apprendre de manière plus poussé, mais aussi pour qu'on m'enseigne le chant, indispensable quand on veut vivre de cette passion. ◊ Guitare, piano et harmonica, comme j'en parlais, c'était vraiment des instruments que j'aimais pratiquer. Je prenais plaisir à en jouer tout en chantant des musiques du standard des années quatre-vingt. Que ça soit dans ma chambre ou même dans ma rue, je n'avais aucune gêne. Puis c'était le vieux carré français, c'était la fête tous les soirs dans les rues. Il n'était donc pas rare que je m'assoie au bord du bâtiment où on vivait. Assit sur une petite chaise sur le trottoir, mes instruments avec moi pour chanter quelques musiques et rafler des billets au passage. C'était un bon moyen et tout à fait légal pour se faire une petite cagnotte, que je gardais précieusement pour plus tard. ◊ Dès que j'atteignais l'âge d'aller au lycée, cependant mes parents m'obligèrent à quitter le conservatoire, selon eux, j'en connaissais suffisamment pour pouvoir continuer à m'exercer tout seul. Ils n'avaient pas tort, mais je me sentais malgré tout, pas à ma place. À la sortie du lycée, je m'empressais de m'inscrire à l'université, en faculté de langue, histoire de faire quelque chose qui me plaisait un minimum. J'étais fasciné par les langues européennes, comme le français que je parlais déjà couramment, grâce à ma mère et mes grands-parents maternels, qui insistaient pour me l'apprendre. Mais durant mes cours à l'université, j'apprenais l'espagnol, l'italien et les vieilles langues mortes comme le latin et le grec. On m'apprenait également les joies de la vie d'étudiant bien entendu, les soirées avec l'alcool, le tabac et surtout le sexe. Pour moi, c'était quelque chose de fort intéressant et qui se mariait très bien avec la vision que j'avais de la musique. La seule exception était la drogue, que je fuyais comme la peste. ◊ Puis ce fut le drame... Mes parents divorcèrent. À cause de ma mère, même si je n'étais pas forcément au fait de tout ça. Elle n'avait pu s'empêcher de retomber dans un monde où mon père l'avait déjà sauvé par le passé. Désespéré et n'ayant aucune envie de recommencer, il préféra la laisser assumer ses erreurs et il quitta la Nouvelle-Orléans après avoir obtenu la garde de ma sœur et mon frère, encore mineur à ce moment là. J'étais majeur et libre de faire ce que je voulais, mais, n'ayant pas mon indépendance, je n'eus pas le choix que de les suivre. On traversa tout le pays en diagonale pour rejoindre le Canada, Vancouver pour être plus précis. C'était la ville natale de mon père, canadien du côté de sa mère. Ayant accepté un poste de lieutenant de la criminelle, il préféra refaire sa vie ici avec nous. De mon côté, je n'eus pas le choix de reprendre des études à l'université de Columbia. Cette fois-ci en Psychologie légale, car mon père tenait vraiment à ce que je travaille dans le même milieu que lui. Il savait que policier ce n'était pas pour moi donc il opta pour quelque chose de similaire. Sauf que cette fois-ci, j'étais prêt à m'opposer à lui et il accepta mes conditions... Qu'il devait me laisser poursuivre ma passion à côté et si j'arrivais à percer dans la musique, il devrait me laisser abandonner les études ou le métier dans lequel je serais. ◊ Plusieurs années passèrent depuis cet incident, j'ai maintenant 28 ans, je vis toujours à Vancouver et franchement, je me suis fait à ma vie. Même si la psychologie n'est pas très intéressante, je fais l'effort de ne louper aucun cours. J'ai réussi à obtenir de mon père qu'il me paie un petit appartement dans le quartier ouest de la ville, à côté de la faculté justement, comme ça, j'ai enfin mon indépendance et je peux me concentrer sur la musique tout en suivant mes cours à côté. Car je compte bien respecter notre serment. Mes journées se résument donc à me rendre à l'université, faire de la musique avec mes amis, faire la fête le soir puis voir ma famille de temps en temps, histoire de leur donner de mes nouvelles. Si ça, ce n'est pas la belle vie, n'est ce pas ?
pseudo/prénom : Light. âge : 28 piges. pays : France. double compte : nicht. Comment as-tu connu le forum ? : via partenariat. Un dernier mot : Non pas envie:o.
Dernière édition par Wyatt Rutherford le Dim 20 Aoû - 1:22, édité 7 fois
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Sujet: Re: Wyatt • Don't ever look back Sam 19 Aoû - 23:51
BIENVENUEEEEEEEEEEE à la maison et bon courage pour la suite de ta fiche !
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Sujet: Re: Wyatt • Don't ever look back Dim 20 Aoû - 0:28
WELCOOOOOOOOOOOOOOOME :D
Invité Invité
Sujet: Re: Wyatt • Don't ever look back Dim 20 Aoû - 0:36
Merci mes jolies
Invité Invité
Sujet: Re: Wyatt • Don't ever look back Dim 20 Aoû - 10:44
Bienvenue à toi sur le forum, amuse-toi bien parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: Wyatt • Don't ever look back Dim 20 Aoû - 22:21