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| Sujet: Clea Cassidy Cooper-Boden + I'm back ! Sam 28 Jan - 23:28 | |
| Clea Cassidy Cooper-Boden feat SOPHIA BUSH brooke-puck. ◊ L'essentiel en quelques mots.■ Nom : COOPER-BODEN. Cooper c'est mon nom de jeune fille. Quant à Boden, il s'agit tout simplement du nom de mon ex mari. ■ Prénom : CLEA CASSIDY. Clea est mon prénom d'usage, quant à Cassidy, il s'agit seulement de mon deuxième prénom. ■ Âge : 30 ANS ½. J'ai vu le jour le 08 juillet 1986. ■ Lieu de Naissance : C'est à MELBOURNE, en Australie, que j'ai vu le jour. ■ Nationalité : Je porte dorénavant la nationalité AUSTRALIENNE. ■ Occupation : Je suis WEBMASTER dans l'entreprise Savitar Technologies. ■ Statut Civil : DIVORCÉE. Je le suis depuis sept mois et j'ai toujours du mal à me faire à cette idée. ■ Orientation Sexuelle : Je suis HÉTÉROSEXUELLE et cela ne risque pas de changer un jour. ◊ Les petits détails croustillants.■ Les Anecdotes.- Tout ce qu'il faut savoir sur Clea, avant son retour à Melbourne:
C'est le 08 juillet 1986 à Melbourne, en Australie, que les membres de la famille Cooper m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Clea Cassidy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études en communication, plus précisément, j'étudie l'informatique, mais aussi en art, puisque j'étudie le théâtre, en deuxième domaine. depuis déjà neuf ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabots ou les Eliots. Après la bombe : Comment réagir face à un tel drame, quand plus jeune on a été rescapée d'une fusillade dans un lycée ? Je vous jure, j'avais déjà du mal à reprendre les cours après cette fusillade alors autant vous dire que lorsque les bombes ont explosé en début d'année dernière, j'ai complètement refusé de reprendre les cours et ce pendant plus d'un an. C'est d'ailleurs pourquoi à l'âge de vingt-huit ans je suis encore en neuvième année, alors que théoriquement j'aurai dû terminé mes études en juin dernier. Pourquoi fallait-il qu'une telle horreur se produise à nouveau et avec des bombes en plus ! Sérieusement, l'auteur de cet attentat n'avait rien retenu de la tuerie de Columbine ou quoi ? A croire que non, à en juger par le nombre de victimes qui avaient eu lieu le jour où ces bombes ont explosé. Oui, il y a eu des morts, il y a aussi eu des personnes blessées légèrement ou plus gravement, mais il y a surtout eu des personnes blessées psychologiquement, comme moi. Comment se relever d'un tel drame, quand on en a connu un semblable quelques années auparavant ? Et bien on apprend à vivre avec le temps, chaque jour on combat la peur, une nouvelle fois, on espère que ça ne se reproduira plus et finalement on laisse la peur prendre le dessus, jusqu'à ce jour où on réussi à passer au dessus de tout ça grâce à sa famille, des amis, voir même des personnes que l'on ne connaît pas... ------------------------------ Mon histoire : « Alex, je crois que c'est le moment d'y aller. » « Quoi ? Tu es sûre ? Pourtant le médecin avait dit qu'elle n'arriverait que dans trois semaines non ? » « Et alors, tu crois que les médecins ont la science infuse et qu'ils donnent la date exacte concernant les naissances à venir ? Ça se saurait si c'était le cas, tu ne crois pas ? » « Hey, doucement, je sais que les contractions te font mal, mais ce n'est pas une raison pour être aussi désagréable. » avait alors dit l'homme, en accompagnant sa femme, Anycia, à leur voiture, avant de demander au chauffeur de les emmener à la clinique le plus proche. Six heures plus tard, voilà qu'une petite fille était venue agrandir cette petite famille, composé jusqu'à maintenant d'un père, d'une mère et d'un petit garçon, à peine âgé de deux ans et demi, prénommé Clay Casey. Vous l'aurez sans doute deviné, cette petite fille c'est moi, Clea Cassidy Cooper. A croire que nos parents aiment les prénoms commençant par un C et un L, bref. C'est à Melbourne, en Australie, que j'ai vu le jour, tout comme mon frère ainé et que j'ai grandi jusqu'à l'âge de douze ans. Là-bas, je connaissais pleine de monde, j'avais plein d'amis, mais à cause du boulot de papa, nous avons dû déménager et c'est à Columbine, près de Littleton, dans le Colorado, en Amérique, que nous avons finalement emménagé en 1998. J'avais alors douze ans et mon frère venait d'avoir quinze ans, quand nous sommes entrés à la Columbine High School. Très rapidement, j'ai réussi à me faire de nouveaux amis, parmi eux, une fille qui était tout mon contraire, mais de qui j'étais devenue très proche au fil du temps, voir même inséparables. Toutes les deux nous faisions les quatre cent coups ensemble, mais pour autant nous ne dépassions les limites qui nous étaient fixées. Non pas que nous étions deux petites filles sages et obéissantes, mais nous savions très bien ce que nous ne voulions pas. Des clans ? Il y en avait déjà, mais je n'y faisais pas vraiment attention, je m'entendais avec tout le monde et qu'importe si certaines personnes de mon entourage me reprochaient parfois de parler avec les intellos, je faisais ce que je voulais et je me moquais pas mal que ça en dérange certains. Malheureusement, huit mois plus tard la vie de tous mes camarades, ainsi que la mienne a changé brutalement. Je m'en souviens comme si c'était hier. Ce 20 avril 1999, j'étais entrain de manger un bout à la cafétéria, en compagnie de mes amis et de mon frère aîné, quand tout à coup des bruits assourdissant se sont fait entendre. Au départ, nous n'avions pas compris ce qui était entrain de se passer, ce n'est que lorsqu'un membre du corps enseignant nous a demandé de sortir au plus vite de l'établissement, sans faire marche arrière que nous nous sommes rendus compte que quelque chose de grave était en train de se produire. Une fusillade... Voilà ce qui était entrain de se passer. Des coups de feu se faisaient entendre de part et d'autre du lycée et quand en sortant nous avions vu l'un de nos camarades allongé sur le sol, le corps ensanglanté, nous avions alors réalisé que la vie d'autres de nos camarades étaient en jeu. Dès qu'ils ont su la nouvelle, papa et maman sont venus nous chercher mon frère et moi, complètement paniqués à l'idée qu'il aurait pu nous arriver quelque chose. Heureusement, nous nous avons été épargnés. Oh bien sûr on aurait pu rentrer de suite à la maison, mais avec Clay nous avions préféré attendre afin de savoir ce qu'il en était vraiment. Ce n'est que plusieurs heures plus tard, lorsque nous avons appris du proviseur, que certains de nos camarades avaient été grièvement blessé et d'autres tués, ainsi qu'un de nos professeur, que le monde s'est écroulé sous mes pas. Qui avait bien pu faire cela et pourquoi ? D'après d'autres étudiants qui avaient réussi à s'en sortir sans traumatisme physique, les tireurs étaient au nombre de deux. Eric et Dylan... Ils étaient certes âgés de cinq ans de plus que moi, mais qui ne les connaissait pas ? Comment avait-il pu en arriver à commettre un acte aussi horrible ? Après cette fusillade, le lycée a été fermé durant quelques mois et heureusement, car je ne suis pas certaine que j'aurai pu remettre les pieds là-bas seulement quelques semaines après le drame. Néanmoins, à la rentrée de septembre, il a bien fallu y retourner et même si j'avais une boule au ventre à l'idée de retourner dans ce lycée, après ce qu'il s'était passé, j'ai du prendre sur moi, tout comme d'autres mes camarades. Revenir dans cet établissement, dans ces couloirs, c'était étrange. Comment ne pas penser à ceux que nous avions perdu ? Comment, malgré les nouvelles mesures de sécurité mise en place, ne pouvions nous pas avoir peur de ce qui pourrait nous arriver ? Bonne question... Une autre chose avait changé, la bibliothèque. Cette pièce fut détruite et reconstruite. Et pour cause, c'est dans ce lieu que les étudiants auraient à se rendre le plus souvent, mais c'est aussi dans celle-ci que la plus grande majorité des étudiants ont été tués. Puis, au fil du temps, la vie a reprit son court et nous avons tous recommencé à vivre petit à petit. Si mes études en avait prit un coup durant la première année qui avait suivi ce drame, j'avais malgré tout réussi à maintenir mes notes de manières à passer au niveau supérieur, les années suivantes. Ainsi, grâce à mes résultats scolaires, j'avais pu sans problèmes intégrer l'université d'Harvard, à l'âge de dix-neuf ans. Durant huit ans, tout se passait plutôt bien à l'université. J'avais toujours cette peur qu'il se passe quelque chose et je n'avais aucune envie de rentrer de l'une des confréries parce que les clans, très peu pour moi. Après ce que j'avais vu et vécu à Columbine, il était hors de question pour moi de me ranger dans une case et d'avoir à subir les conséquences des actes de certaines personnes de ces confréries. Non, au lieu de me tourner vers l'une d'elle, je préférai être totalement moi-même et ne pas me préoccuper de ce que l'on pourrait penser de moi. Oh bien sûr, bon nombre de confréries on déjà essayé de me recruter, mais cela sans succès. Mes études ? Elles se passaient bien jusqu'à ce mois de janvier 2013. A croire que c'est moi qui attirait les catastrophes ou que quelqu'un en avait après moi, enfin il y avait tout de même de quoi devenir paranoïaque non ? Vous ne comprenez pas pourquoi je dis cela ? Tout simplement parce qu'en janvier 2013, alors même que j'allais me rendre en cours avec mon frère aîné et quelques amis, un bruit assourdissant s'est fait entendre... Le reste je n'en ai aucun souvenirs, si ce n'est que je me suis réveillée à l'hôpital quarante-huit heures plus tard et que j'ai alors appris ce qu'il s'était passé à l'université. « Mon frère ? Où est mon frère ? Clay ?! Nous étions ensemble quand cette bombe a explosé, où est-il ? » Aucune réponse. Seuls des larmes s'étaient alors échappées des yeux de maman, qui s'était ensuite blotti contre papa. « Non ! Non ! Non ! Non ! Non ! Ce n'est pas vrai... papa, maman, ne me dites pas que Clay est... » « Si ma chérie... il est mort... il est mort sur le coup... et d'après les médecins il n'a pas eu le temps de souffrir. » Mon frère... mon frère n'avait pas survécu à cet attentat et moi si, pourquoi ? Me voilà alors devenue fille unique et dans l'incapacité de retourner à l'université. Non pas que j'avais été blessée gravement, j'avais juste une jambe cassée et perdu connaissance durant quarante-huit heures, mais psychologiquement parlant, je n'étais pas du tout en état de retourner en cours. J'avais peur qu'il se produise de nouveau quelque chose et surtout je n'arrivais pas à faire face à la mort de mon frère aîné. C'est pourquoi, dès ma sortie de l'hôpital, j'ai clairement fait comprendre à mes parents que je ne retournerai à l'université. Évidemment, même s'ils comprenaient très bien pourquoi, ils ne voulaient pas que je gâche mon avenir à cause de ça. Il aura tout de même fallu que je bataille pendant quelques semaines pour convaincre mes parents de me laisser prendre cette année sabbatique. Ce que je fais durant cette année ? J'ai essayé de me remettre de la mort de mon frère aîné, de me remettre de cet attentat et surtout j'ai essayé de comprendre pourquoi celui-ci avait eu lieu. Sans succès... je n'arrive toujours pas à comprendre comment ce mec a pu rentrer dans l'établissement avec ces bombes, malgré la sécurité très présente dans l'établissement et pourquoi il avait fait cela. Un an, neuf mois et vingt-deux jours plus tard, me voilà de nouveau entre les murs de cette université. Celle-la même où ma vie a basculé de nouveau. Rien n'avait changé ici, si ce n'est que la surveillance de l'établissement s'était un peu plus développée et que les personnes se méfiaient plus facilement des personnes qu'ils ne connaissaient pas, quitte à en juger certaine, sans même les connaître. Oui, bon enfin ça ce n'était pas une nouveauté, ça existe depuis toujours. Juger les autres sur ce qu'ils font et ne pas regarder soi-même ce que nous faisons, c'est le sport favori de l'être humain. Quelque chose en moi aussi avait changé. Déjà je n'avais plus mon frère auprès de moi tous les jours et je ne pouvais plus me confier à lui de vive voix, mais en prime, je me sentais seule maintenant que mes amis avaient pour la plupart terminés leurs études. Quand à ceux qui redoublaient et qui étaient avec moi en cours auparavant, je ne sais pas, mais je ne me sentais plus sur la même longueur qu'eux. Sans doute m'en voulait-il d'avoir lâché les cours durant les mois qui avaient suivi ce malheureux drame et la disparition de Clay ou bien alors était-ce parce que certains d'entre eux n'avaient pas vécu la même chose que moi et du coup, inévitablement, nous nous étions éloignés les uns des autres, allez savoir. Toujours est-il que depuis mon retour à l'université, je me sens plutôt seule et c'est pourquoi j'ai décidé d'aller à l'encontre de mes principes, même si ce n'est pas mon genre et que j'ai décidé de poster ma candidature pour entrer dans l'une des confréries de l'université. Ah mais attention, ce n'est pas pour autant que je mettrai mes anciens amis totalement de côté, si je suis acceptée dans l'une d'elles. Ah ça non ! Je vous rappelle tout de même que je suis quelqu'un de loyale envers mes amis et qu'à la base je suis anti-clan. Sentimentalement parlant, je suis totalement célibataire. Non pas que je n'ai pas envie de me caser avec quelqu'un, mais il faut dire qu'avec ce que j'ai vécu l'année dernière, l'amour est passé au second plan pendant un temps et je n'ai pas forcément été réceptive aux avances de certains hommes. Mais désormais cela va changer, parce que j'ai décidé de reprendre ma vie en main et même si mon frère me manque énormément et si j'ai encore peur de ce que me réserve l'avenir, j'ai pris la ferme décision d'aller de l'avant, sans laisser le passé venir gâcher tout ce que j'entreprends et surtout sans me laisser aller, comme l'aurait fait d'autres personnes, qui comme moi auraient vécu tout ce que j'ai vécu durant toutes ces années. Et pour cause, je suis une battante et je sais que mon frère n'aimerait pas que je me laisse aller parce qu'il a disparu beaucoup trop tôt, tout comme je n'aurai pas apprécié qu'il agisse ainsi, si c'était moi qui avait perdu la vie lors de cet attentat... La suite de mon histoire ? C'est avec vous qu'elle s'écrira, alors qu'attendez-vous pour mêler votre vie à la mienne ? _______________________ http://www.i-love-harvard.com/t39641-the-cold-never-bother-me-anyway-clake?highlight=Clakehttp://www.i-love-harvard.com/t41038-topic-de-groupe-prise-d-otages-1?highlight=prise+d+otagehttp://www.i-love-harvard.com/t41180-you-spend-your-time-to-save-me-jake?highlight=Jakehttp://www.i-love-harvard.com/t43131-clake-beachin?highlight=Clakehttp://www.i-love-harvard.com/t45971-i-need-you-pv-clea?highlight=Cleahttp://www.i-love-harvard.com/t49080-clake-just-say-i-do?highlight=Clakehttp://www.i-love-harvard.com/t54842-apologies-clake?highlight=Clakehttp://www.i-love-harvard.com/t42992-flashforward-sweet-london-clake-3-ans-plus-tard?highlight=Clake の Une bombe. Des bombes. Je ne sais combien de bombes ont explosées ce jour-là. Toujours est-il que l'une de celles-ci a tué mon frère aîné et il m'a fallu énormément de temps pour me relever de ce drame. Pendant un temps, j'ai même failli tout abandonner pour le rejoindre, mais cette envie m'est très vite passée au dessus, grâce à l'aide de mes proches. の Parmi eux, il y avait Aria, une de mes amies d'enfance avec qui j'avais grandi quand je vivais encore en Australie, avant d'aller m'installer à Littleton. Il y avait aussi Léonora, sa cousine. Toutes les deux je les ai retrouvées à Harvard, en revenant après cette année sabbatique que j'avais prise suite aux attentats à la bombe qui m'avait enlevé mon frère, Clay. Parmi mes amis, il y avait aussi Chase, que je considérais et considérerai toujours comme mon petit frère de cœur. Et puis, il y avait aussi Tate... entre lui et moi, ça a longtemps été la guerre, mais heureusement ça a fini par s'arranger et depuis nous sommes devenus amis. Pourtant ce n'était pas gagné. の Et puis à côté de mes amis et de mes parents, il y a avait Jake. Celui qui autrefois avait été mon meilleur ami, puis qui était par la suite devenu l'amour de ma vie. On en a traversé des choses tous les deux. Tellement d'ailleurs, qu'il me serait difficile de toutes les citer. Il y a eu cette première nuit que nous avons passé ensemble dans ce chalet, perdus au milieu de nulle part, alors que j'étais en couple avec Tyméo. Puis cette prise d'otage qui m'a permis, nous a permis de nous rendre compte que nous nous aimions plus que comme des amis tous les deux. Ensuite, il y a eu Mary... on peut dire qu'elle m'aura bien pourri la vie cette garce. の Et enfin un jour, pas n'importe quel jour, non, le jour de mon anniversaire, Jake m'a emmenée avec lui à Las Vegas et j'ai eu le droit à une demande en mariage digne de ce nom. Bien évidemment, folle amoureuse de lui, je n'avais pas hésité une seule seconde avant de répondre par l'affirmative à sa proposition et c'est ainsi, que suite à ce mariage je suis devenue Mrs Clea Cassidy Cooper-Boden. Oh ce n'est pas pour autant que notre vie est devenue un long fleuve tranquille après cela, bien au contraire même. Puisque seulement quelques mois à peine après notre mariage, je suis tombée enceinte, mais avant même de pouvoir annoncer la bonne nouvelle à mon mari, j'avais perdu ce bébé. C'est à l'hôpital qu'il a appris la nouvelle, alors même que j'étais inconsciente. Après cela, Jake et moi avions eu une énième dispute, puis une fois de plus nous nous étions réconciliés. の Janvier 2016 : J'ai dû repartir subitement dans ma ville natale, en apprenant que ma maman était gravement malade et c'est le cœur meurtri que j'ai quitté Harvard et que j'ai dû m'éloigner de mon mari, malgré moi, car ce dernier ne pouvait pas me suivre. Durant les premiers week end qui ont suivi mon départ, je faisais les allers-retours entre Melbourne et Cambridge, puis peu à peu mes séjours se sont espacés, de plus en plus. Non pas que je n'avais pas envie de retrouver mon homme, mais disons que chaque retour à Melbourne qui suivait étaient de plus en plus difficile à supporter. の Mars 2016 : Deux mois. Deux mois que je n'avais pas vu Jake et que je n'avais plus aucune nouvelles de lui. Je le reconnais, c'était en partie de ma faute, parce que même s'il ne m'appelait pas, je ne l'avais pas appelé non plus de mon côté. Si je n'avais pas tenté de renouer le contact c'était pour deux raisons : maman venait de succomber à sa maladie et j'avais peur, en l'ayant au téléphone, de m'effondrer et prendre aussitôt la direction d'Harvard pour rejoindre l'homme que j'aimais, alors que je ne pouvais pas me permettre de faire ça. Pourquoi ? Tout simplement parce que mon père avait besoin de moi. Clay étant déjà retourné à Harvard, je ne pouvais pas laisser mon père, seul, alors même qu'il venait de perdre la femme de sa vie et la mère de ses enfants. の Juin/Juillet 2016 : Depuis mon retour à Melbourne j'avais consacré tout mon temps à m'occuper de maman, puis de papa, tant et si bien que je m'étais complètement oubliée moi-même. Ce n'est que lorsque papa m'avait demandé ce que j'étais en train de faire de ma vie que j'avais compris que je faisais vraiment n'importe quoi. Une fois après avoir pris conscience de cela, j'avais décidé de reprendre ma vie en main et lorsque l'une de mes amies d'enfance m'avait invitée à aller assister au Grand Prix qui se déroulait non loin de chez nous, j'avais accepté de l'accompagner, sans me poser de questions. Ce que je n'avais pas prévu ce soir-là, c'est que je tomberai nez à nez avec mon mari. Pourtant, j'aurai dû me douter qu'il serait là... comment est-ce que j'avais pu ne pas y penser ? Après quelques explications assez mouvementées, nous avions fini par nous embrasser et c'est dans les bras l'un de l'autre que nous avions passé la nuit qui avait suivi cette journée. Malheureusement, au réveil, j'avais dû me rendre à l'évidence, Jake était reparti à Harvard, sans un mot. A cet instant-là, en me rendant compte de cela, je m'étais sentie au plus mal. En ne reprenant pas contact avec lui, comme je l'avais fait, je l'avais perdu... Cela s'était d'autant plus confirmer quand quelques jours après cette nuit-là, j'avais reçu, par courrier, une demande de divorce venant de Jake. Si pendant plusieurs jours j'avais hésité à signer celle-ci, j'avais fini par apposer ma signature et renvoyer ces papiers à Jake, après une longue discussion que j'avais eu avec mon père. Un mois plus tard, notre divorce était prononcé. Un an... c'est le temps qu'avait duré notre mariage, aux yeux de la loi. Quel gâchis... Jamais je n'aurai imaginé que notre histoire se terminerait ainsi et j'aurai encore moins imaginé divorcer un jour. の Septembre 2016 : Après mon divorce, je n'étais plus moi-même. Les sorties, les fêtes, les relations amoureuses, ce n'était plus pour moi. Non, tout ce dont j'avais envie depuis que ce divorce avait été validé, c'était rester enfermée chez moi à ne rien faire et m'enfiler plusieurs épisodes de mes séries télévisées préférées, non-stop. Était-ce mon divorce qui me rendait malade ? Je ne sais pas, toujours est-il que, même si depuis quelques semaines, je n'étais vraiment pas au top de ma forme, je n'avais aucune envie de voir mon médecin, comme papa me le conseillait. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me disais qu'avec le temps ça irait mieux, mais aussi et surtout, parce que j'avais peur que l'on ne décèle chez moi, la même maladie que maman. Mais bon, autant se rendre à l'évidence, quant à la mi-septembre j'avais remarqué que ça n'allait vraiment pas mieux et que je ne pouvais plus rien avaler le matin, alors que je dévorais le soir, j'avais fini par me rendre chez mon médecin et une fois la prise de sang qu'il m'avait prescrit, faite et mes résultats en mains, j'avais eu l'impression de tomber de haut. Enceinte. J'étais enceinte de trois mois et je n'avais rien remarqué avant. Je ne m'étais pas douté une seule seconde que j'attendais un enfant et en prime cela faisant trois mois, je n'avais pas d'autres recours de garder mon enfant ou le faire adopter, ce qui était totalement inconcevable à mes yeux. Si cet enfant arrivait maintenant dans ma vie ce n'était pas pour rien et il était évident, qu'après avoir fait une fausse-couche, presque un an auparavant, je n'allais pas faire adopter cet enfant, ceci, même si le père de ce bébé et moi-même, nous n'étions plus en couple. の Aujourd'hui ça fait huit mois que je suis enceinte et je n'ai pas encore annoncé la grande nouvelle à mon ex. Non pas que j'ai peur de sa réaction, mais disons juste que depuis le départ de ce dernier, à chaque fois que j'ai essayé de le joindre pour lui dire que j'attendais un enfant de lui, je n'arrivais pas à le joindre. Face à ce silence, je me suis donc résolu à mener ma grossesse à terme, seule. Certes ce ne serait pas facile, mais bon après tout, je n'étais pas la première femme à élever un enfant toute seule. Dans le but d'assurer au mieux l'avenir de mon enfant, j'avais tout mis en oeuvre pour trouver rapidement un travail et par chance, après avoir prospecté un peu partout, une connaissance de mes parents m'avait informée qu'une nouvelle grande boîte recherchait un webmaster. Le seul hic à cela ? Cette entreprise se trouvait à Vancouver. Après plusieurs heures de réflexion, à peser le pour et le contre, j'avais finalement accepté la proposition et voilà comment j'avais débarqué, il y a quelques semaines à peine, dans la ville de Vancouver. Étonnamment, bien qu'étant enceinte de huit mois, cela n'a pas empêché le DRH de me confier le poste de webmaster de cette entreprise qui portait le nom suivant : Savitar Technologies. Ce que je connaissais de cette entreprise ? Pas grand chose pour le moment, mais bon j'avais tout le temps pour en apprendre un peu plus sur cette boîte et sur les personnes qui faisaient vivre celle-ci, maintenant que j'étais embauchée dans celle-ci à temps plein. ■ Les Tocs & Manies.Elle ne supporte pas les endroits clos ou les lieux remplis de personnes qu'elle ne connaît pas. の En Janvier 2015, elle a pris une balle dans le genou, lors d'une prise d'otage qui a eu lieu à Harvard, son ancienne université et aujourd'hui cette dernière est toujours logée au même endroit. の Elle est asthmatique depuis toujours et parfois ça peut vraiment être embêtant. の Elle ne met jamais de sucre dans son café et ne va jamais se coucher sans avoir bu un verre de lait auparavant. の Elle est accro aux sushis mais elle ne peut plus en manger actuellement. の Quand elle est amoureuse, elle est prête à tout pour l'homme qu'elle aime et peut devenir très jalouse quand une fille s'approche de trop près de celui à qui elle a donné son cœur. の Elle a très peu confiance en elle, c'est pourquoi elle a constamment besoin que la personne qui partage sa vie, la rassure. の Alors qu'elle ne s'y attendait pas, elle est tombée nez à nez avec son grand frère, supposé être décédé, dans un centre commercial, à Cambridge, alors même qu'elle étudiait encore à Harvard. の Elle est allergique au citron. Cela pourrait ne pas être très embêtant comme allergie, si dans un restaurant les serveurs n'avaient pas la fâcheuse tendance de mettre une rondelle de citron dans toutes leurs boissons. の Très superstitieuse, elle ne passe pas sous les échelles, n'ouvre pas son parapluie chez elle, etc. en revanche elle ne craint pas du tout les chats noirs. の Elle porte le même deuxième prénom que son mari. Enfin que son ex-mari... の Elle n'aime pas la neige et le froid. Non, elle, elle préfère l'été et la chaleur qui va avec. の | ◊ Derrière l'écran.■ Prénom : Myriam. ■ Pseudo : Pretty Girl. ■ Âge : 33 ans. ■ Pays : France. ■ Double-Compte : Amy & Cie. ■ Comment as-tu connu le forum ? : Je suis déjà dessus . ■ Veux-tu avoir ton mini-flood ? : Non, j'en ai déjà un. ■ Un dernier mot ? : C'est une remise à zéro du personnage et la reprise d'un de mes anciens personnages pas un nouveau dc les loulous . - Code:
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<ai>sophia bush ■</ai> clea c. cooper-boden. |
Dernière édition par Clea C. Cooper-Boden le Jeu 9 Fév - 4:25, édité 12 fois |
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